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4,13

sur 1461 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
D'un joli coup de crayon, Léonie Bischoff retrace la vie d'une auteure mystérieuse, aventureuse, sulfureuse : Anaïs Nin. Tout est dans le titre : « La mer des mensonges ». Je ne sais pas si Anaïs avait le pied marin mais elle avait un goût avéré pour dissimuler la vérité.

Menteuse invétérée, Anaïs rechigne à blesser son entourage mais elle confie la vérité dans son oeuvre la plus célèbre : son « journal ». Elle aurait d'ailleurs dit : « la seule personne à laquelle je ne mente pas est mon journal. Et même à lui, par tendresse, il m'arrive de mentir par omission ».

D'aucuns diraient que cette femme est immorale. Elle est simplement un être de chair et de sang qui a vécu comme bon lui semblait, sans jamais se soucier des conventions sociales, légère comme l'air, tellement vaporeuse qu'elle a fini en cendres, éparpillée dans la baie de Santa Monica.

Pour cet album étonnant, Léonie Bischoff a obtenu le prix du public au festival d'Angoulême en 2021.

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J'ai découvert Anaïs Nin avec son roman Vénus Erotica qui est pour ma part la pionnière de l'écriture érotique au féminin, un livre que j'ai beaucoup apprécié au passage. Dans ce beau roman graphique, Léonie Bischoff rend un belle hommage à l'autrice.

Nous suivons la vie d'Anaïs à travers son journal intime qui met l'accent sur la relation avec son père ayant abandonné sa famille. Elle fera aussi des rencontres comme le romancier Henry Miller où il est très intéressé par les écrits d' Anaïs car l'acteur veut aussi rompre avec le style de littérature habituelle de l'époque, une relation amoureuse naitra entre Anaïs et Henry mais aussi avec son épouse.

L'oeuvre montre aussi que Anaïs est une personne complexe en proie avec ses démons mais c'est aussi une femme libre qui prend de l'assurance au fil de l'histoire et qui prône une sexualité épanouis et sans tabous.

J'ai été totalement conquis pas ce livre, de plus, le dessin de Léonie Bishoff est vraiment très beau et est en parfaite concordance avec le style de l'histoire. Elle dessine certaine scène an ajoutant une sorte de poésie qui apporte beaucoup de charme.

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Une opportunité de lecture offerte par la médiathèque : le livre fraîchement équipé n'attendait que moi et je n'ai pu résister aux dessins délicats et sublimes de sa conceptrice. de ce côté-là, le livre est une pépite. Les dessins aux crayons de Léonie nous emportent dans leurs volutes colorées surfer entre la vie triviale de cette femme de lettres, Anaïs Nin et sa vie rêvée entre les pages de son journal intime. Clairs et légers quand la vie est insouciante, les traits se durcissent et oscillent entre les rouges et bruns organiques quand l'instinct prend la parole ou bien encore de bleu sombre quand les rêves obscurcissent l'écran des nuits de la célèbre diariste. J'ai parcouru l'ouvrage sans cesser de m'émerveiller sur la puissance de souffle de ces dessins crayonnés. Ils épousent parfaitement le corps et l'âme de cette femme tour à tour naïve, sensuelle, bestiale ou névrosée.
Concernant maintenant le récit du roman graphique, il suit chronologiquement une partie de la vie d'Anaïs Nin, celle où elle rencontre le romancier américain Henry Miller et en devient rapidement la maîtresse et la mécène. Je connaissais vaguement la femme de Lettres mais ne m'étais jamais arrêtée sur ses écrits. Je dois dire que l'ouvrage ne m'en donne pas plus que ça l'envie. J'y ai découvert des passages de sa biographie qui me dissuade de la lire, notamment, sa liaison incestueuse avec son père qui a abusé de son innocence lorsqu'elle était enfant. Cette partie m'a dérangée. Bien que tout soit décrit et mis en scène avec tact, j'avoue ne pas voir en cette jeune femme qui court éperdument à satisfaire sa soif de connaissance d'elle-même et de sa sensualité au point de se travestir par des mensonges incessants aux yeux de ceux qu'elle aime, une icône féminine annonçant la femme moderne. Elle rejoint de mon point de vue la cohorte des femmes abusées et meurtries qui ont tenté toute leur vie d'effacer les traumatismes et de recoller les morceaux de leur être éclaté et tiraillé. le projet de Léonie Bischoff est une réussite car elle esquisse merveilleusement le portrait de l'écrivaine dans un livre à la sensualité légère et à l'érotisme marquant. Elle ne gomme en rien la part sombre du personnage d'Anaïs Nin, aussi ogresse et monstrueuse parfois que la figure paternelle qui l'a engendrée. Une lecture intéressante qui a donné « corps et couleurs » pour moi à un nom un peu flou de l'histoire littéraire étudiée il y a bien longtemps sur les bancs de la fac !
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Une oeuvre au long cours : quelque huit ans de réflexions, de recherches et de tentatives avortées, à l'issue desquels Léonie Bischoff a enfin trouvé l'indispensable fil d'Ariane le résultat ? Un album aussi passionnant qu'inspiré sur les années de formation d'une artiste à la recherche d'elle-même dans le Paris des années 1930.
Qui est Anais Nin ? Une artiste fascinante à la réputation sulfureuse, elle a osé livrer son intimité sous forme de journal, dont un qu'elle garde secrètement. Elle lève le voile sur les mystères de l'intimité féminine.
Exilée de France en Amérique à la suite du divorce de ses parents, puis elle revient en France avec son mari, muté au sein de la filiale parisienne de la National City Bank. Son aversion pour la vie domestique conduit la jeune femme à se réfugier dans l'écriture. Elle avait commencé à écrire lors de la séparation de ses parents. Elle confiait à son journal ce qu'elle ne pouvait pas dire à son père.
Une rencontre avec H.Muller va bouleverser sa vie. Anaïs Nin placera tous ses écrits sous le signe de l'érotisme et de l'inconscient.
Anaïs Nin placera tous ses écrits sous le signe de l'érotisme et de l'inconscient. Elle tombe amoureuse de son esprit . Anaïs inaugure et invente ce que l'on appelle aujourd'hui le polyamour, la possibilité d'aimer plusieurs personnes à la fois.
Léonie Bischoff réussit très bien à montrer ces questionnements intérieurs, la force et la fragilité de cette femme qui se révèle à elle-même en même temps qu'elle se révèle à ses amants.

Le dessin au trait léger de Léonie Bischoff montre la grande fragilité, en partie grâce à un dessin au trait léger, au rendu proche de crayonnés rehaussés de couleurs discrètes.





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De très beaux dessins, une atmosphère fascinante, au service de cette biographie d'Anaïs Nin qui suit le fil de son journal intime.
L'Anaïs du journal est présentée ici comme le double de la vraie Anaïs, se permettant des pensées et des fantasmes qu'elle hésite à concrétiser dans la réalité.
(Elle n'hésite pas très longtemps, à vrai dire.)
On découvre donc sa vie d'épouse auprès d'un mari aimé, mais aussi sa liaison torride avec Henry Miller et quelques autres épisodes. La BD restitue bien la difficulté à être une femme libre dans l'ambiance des années 30, mais n'évite pas les longueurs et s'essouffle un peu en voulant trop en dire : on s'ennuie un peu à la fin.
Challenge Bande dessinée 2022
LC thématique de septembre 2022 : "État des lieux"
Challenge ABC
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Anaïs Nin, écrivaine connue pour son journal "mon réconfort, mon miroir, ma drogue". Elle y explore sa vie, son caractère, celui des autres, les différentes facettes de sa personnalité, mais aussi ses rêves, ses fantasmes, c'est pourquoi son journal n'est pas totalement conforme à la réalité.
Dans cette magnifique bande dessinée aux planches semblables à des aquarelles, Léonie Bischoff retrace les années 1930, celles qui ont permis à Anais Nin de se révéler, de se désinhiber, de s'émanciper, des années de formation, de rencontres.
De nombreux amants dont le principal l'écrivain Henry Miller, Otto Rank, disciple de Freud, son éditeur, son psy, son professeur de danse, June la femme de Miller qui la fascine par sa capacité à vivre dans un univers parallèle. Des rencontres sensuelles, sexuelles et intellectuelles.
Un retour sur son enfance, la terrible figure de son père qui l'a abandonnée et revient...pour le pire ( planches cauchemardesques, noires et couleur de feu).
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Anaïs Nin est une écrivaine américaine née en France de parents originaires de Cuba, qui est connue pour la publication de journaux intimes qui s'étalent sur plusieurs décennies et offrent une vision profonde de sa vie privée et de ses relations. Elle est aussi l'une des premières femmes à écrire des ouvrages érotiques. Je l'ai découverte, ou du moins j'en ai entendu parler, il y a des années de cela via la dessinatrice Diglee (clic) qui en parlait régulièrement dans ses posts sur son blog et sur les réseaux sociaux. Alors en voyant qu'un roman graphique biographique lui était consacré, j'ai sauté le pas !

Parlons d'abord de l'objet. Cet ouvrage édité par Casterman est juste magnifique ! Avec sa couverture cansonnée épaisse, son papier épais et un peu lisse, et surtout les dessins de Léonie Bischoff qui semblent fait aux crayons de couleur, c'est une petite bombe ! J'adore l'objet-livre. Je le trouve superbe et rien que pour ça, même sans connaitre le sujet, je pense que j'aurais craqué.

Le sujet, lui, c'est des moments de la vie d'Anaïs Nin qui permettent de mieux cerner le personnage. Sans aller jusqu'à une biographie complète et linéaire, je pense que l'autrice livre suffisamment de clés de compréhension pour donner envie de pousser et découvrir et les écrits et le récit de vie complet de l'écrivaine américaine. C'est dense mais jamais lourd. Je pense toutefois que si j'avais mieux connu Anaïs Nin j'aurais plus apprécié le voyage.

On découvre sous la plume et le crayon de Léonie Bischoff, la femme qu'était Anaïs Nin. A travers une narration classique et efficace qui se permet de jouer sur les rythmes et les temporalités au fur et à mesure de l'analyse que l'écrivaine fait d'elle-même, nous découvrons sa vie de femme mariée, sa vie d'écrivaine, son enfance, ses relations aux hommes de sa vie ainsi son rapport à la sexualité et à son corps, ce qui correspond bien à ce que j'avais lu sur elle via Diglee.

Anaïs est un personnage fascinant. Elle a l'air d'une femme banale mais sa passion pour la compréhension de la psyché humaine et en particulier la sienne est fascinante. Elle tient un journal depuis toujours et continue encore et encore. On découvre vite qu'il y a deux versions de ce journal, celle censurée connue de son mari et celle non censurée qu'elle garde pour elle-même. Elle s'y livre pleinement, sans fard, y fait son introspection et décrit ses émotions tumultueuses et ses fantasmes. J'ai beaucoup aimé ce que cela dit de la femme Anaïs. J'ai cependant été gênée à plusieurs reprises, moralement parlant, par ses désirs qui contreviennent à ma morale personnelle, surtout quand elle passe à l'acte, mais cela est présenté par l'autrice de ce livre sans voyeurisme, sans jugement, de manière à ce que chacun se fasse son opinion et surtout juste pour qu'on comprenne mieux Anaïs.

L'autre facette de sa personnalité qui m'a énormément intéressée, c'est bien sûr l'écrivaine. J'ai beaucoup aimé la voir écrire, chercher l'inspiration, côtoyer des auteurs, en particulier Henry Miller (et sa femme) avec qui elle entretiendra une très longue relation enrichissante des deux côtés. C'est chouette de voir une femme écrivaine reconnue dans un certain milieu pour ce qu'elle fait même si elle n'est pas encore publiée. C'est également passionnant de voir à quel point elle réfléchit sur elle-même et sur la notion d'oeuvre. Elle cherche à se trouver et à trouver la liberté à laquelle elle aspire. Elle se confronte à d'autres artistes pour cela, mais également à des "scientifiques" comme des psychanalystes puisque cette méthode la fascine.

Pour évoquer tout cela, Léonie Bischoff a souvent mis en scène son héroïne en pleine mise en abyme avec son double, presque démoniaque mais surtout passionnée, toute droite inspirée de la Grèce antique. C'est poétique et sublime !

Ça ne plaira pas à tout le monde, mais de mon côté, j'ai adoré le parti pris graphique. J'ai trouvé la composition des pages à l'image de l'héroïne de l'histoire, douce et torturée à la fois, psychédélique même parfois. L'utilisation de crayons de couleur à la mine multicolore rend magnifiquement. Cela donne une vraie lumière au récit et aux propos, ainsi qu'une richesse de couleurs rare, illustrant les multiples facettes d'Anaïs. C'est varié et très expressif. Il y a une vraie recherche dans la composition des scènes, le choix des couleurs, de l'angle de vue, de l'éclairage de la lumière. C'est extrêmement poétique, plein de métaphores, la dessinatrice aimant jouer avec les symboles. Ça fait très Art Nouveau !

Léonie Bischoff a ainsi réussi à croquer à merveille la personnalité complexe et foisonnante d'Anaïs Nin. En moins de 200 pages, elle a évoqué son rapport à l'art, au corps, à l'amour et à la sensualité, sa bisexualité, ses rapports troubles avec les hommes et l'engagement, sa quête de la compréhension d'elle-même, etc. C'est extrêmement riche et cela donne autant de clés pour donner envie d'en savoir encore plus sur cette écrivaine, le tout avec un graphisme onirique qui m'a emportée dès les premières pages. Mission réussie !
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C'est un bien bel album que Léonie Bischoff a consacré ici à Anaïs Nin.

J'ai découvert cette artiste américaine il y a de nombreuses années grâce à la lecture de son journal, version épurée. Elle avait en effet pris l'habitude d'y consigner chaque jour depuis son plus jeune age ses impressions et sentiments sur sa vie de tous les jours, pas si anodine que cela vu de maintenant : enfance à Cuba au début du XXème siècle auprès d'un père pianiste célèbre toujours absent et d'une mère cantatrice ayant dû arrêter sa carrière, départ pour New-York suite à la séparation des parents, puis mariage et arrivée à Paris avec son banquier de mari. C'est ici que commence l'album, et l'on découvre ainsi les pensées de cette artiste sur les différents évènements qui vont traverser sa vie : un mariage insatisfaisant, l'envie d'écrire, mais surtout la rencontre avec Henri Miller...

Et c'est là que je me suis rendue compte que j'avais lu la version épurée du journal : pour protéger son époux, Anaïs y tait sa relation adultérienne avec Henri (même si on la devine) et son épouse June, alors qu'elle est ici largement évoquée et même présentée comme libératoire. Et je ne vous parle même pas des rapports avec son paternel... Bref, on découvre la vie passionnante d'une femme en train de se libérer et de devenir elle-même, à travers un graphisme épuré aux couleurs douces, qui pourraient presque parfois même paraitre fades. En tout cas un bien bel album (pour adultes) que je recommande.
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Anaïs Nin sur la mer des mensonges est un portrait audacieux d'une pionnière de l'écriture érotique.


Visuellement saisissante, la bande-dessinée de Léonie Bischoff offre une plongée captivante dans l'univers complexe d'Anaïs Nin, une écrivaine franco-américaine qui a su repousser les limites de la société de son époque. Toutefois, bien que la beauté artistique soit indéniable, j'ai personnellement eu du mal à adhérer pleinement à l'histoire qui m'a été présentée.


Au coeur des années 1930, Anaïs Nin, épouse d'un banquier, lutte contre l'angoisse et cherche à trouver sa place dans une société qui cantonne les femmes à des rôles secondaires. L'oeuvre explore ses expériences d'une enfance marquée par les déplacements entre deux continents et trois langues, ainsi que son désir d'être écrivaine. Son journal, sa drogue, son confident, lui permet d'explorer la complexité de ses émotions et d'éveiller la sensualité qui brûle en elle. C'est lorsqu'elle rencontre Henry Miller que sa vie prend un tournant décisif.


Léonie Bischoff dresse avec talent le portrait d'Anaïs Nin, une femme qui a su braver les conventions de son époque en osant publier des ouvrages érotiques. Les illustrations captivantes alimentent le cheminement intérieur du personnage, offrant une immersion visuelle intense dans son monde intime. La bande-dessinée aborde des sujets cruciaux tels que la place des femmes dans la société et leur sexualité, soulignant le caractère révolutionnaire des écrits d'Anaïs Nin.


Cependant, malgré ces qualités indéniables, j'ai eu du mal à véritablement apprécier ma lecture. La complexité de l'oeuvre, tant dans le choix du sujet que dans les thèmes abordés, ainsi que sa construction narrative, ont été autant de barrières à mon immersion totale dans l'histoire. Je souligne toutefois qu'Anaïs Nin sur la mer des mensonges a remporté le prix du public d'Angoulême en 2021, et cela n'est pas surprenant compte tenu de la qualité de l'ensemble.


Personnellement, je ne connaissais pas grand-chose de la vie d'Anaïs Nin avant de me lancer dans cette lecture, si ce n'est qu'elle était une écrivaine qui avait réussi à faire publier des ouvrages érotiques. Malheureusement, après avoir terminé la bande-dessinée, je n'ai pas ressenti le désir de me plonger davantage dans ses oeuvres. Certains sujets abordés, tels que la relation complexe entre Anaïs et son père, m'ont troublée et dérangée. Bien que je suppose que cela ait été intentionnel pour remettre en question l'ordre moral établi, cela a affecté ma connexion émotionnelle avec le personnage.


Conclusion
Anaïs Nin sur la mer des mensonges est une bande-dessinée qui mérite d'être découverte pour son esthétique magnifique et son portrait audacieux d'une écrivaine en avance sur son temps. Cependant, mon expérience personnelle m'a laissé un sentiment mitigé. La connaissance préalable de la vie d'Anaïs Nin pourrait aider à apprécier pleinement l'oeuvre, bien qu'elle ne soit pas indispensable pour en saisir toute la dimension.
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Biographie intéressante car Anaïs Nin est dépeinte avec ses côtés sombres, sa complexité, une forme de sincérité moralement choquante pour l'époque. Aujourd'hui encore, le propos reste subversif. Quant au graphisme, il faut souligner son originalité et sa "féminité" tant est qu'il soit possible d'associer un genre à un dessin...
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