Author Rebecca C. Tuite takes on a tour of her new book '1950s in Vogue: The Jessica Daves Years 1952-1962'.
See more of the book here: http://bit.ly/2rpMf5e
One of only seven editors-in-chief in American Vogue?s history, Jessica Daves has remained one of fashion?s most enigmatic figures ? until now. Diana Vreeland?s direct predecessor in the role, it is Daves who first catapulted the magazine into modernity.
A testament to a changing America on every level, Daves?s Vogue was the first to embrace a ?high/low? blend of fashion in its pages and also introduced world-renowned artists, literary greats, and cultural icons into every issue, offering the reader a complete vision of how fashion, interiors, art, architecture, entertaining, literature and culture were all connected and all contributed to refining and defining personal style. Profiling icons of American style from John and Jackie Kennedy to Charles and Ray Eames, Daves?s Vogue also featured the couture creations of Dior, Chanel, Givenchy and Balenciaga.
Organized in multifaceted, thematic chapters, 1950s in Vogue features carefully curated photographs, illustrations and page spreads from the Vogue archives (with both iconic and less-familiar images from photographers including William Klein, Irving Penn, Karen Radkai and Erwin Blumenfeld), as well as reproductions of fascinating archival materials and correspondence.
Erwin Blumenfeld/5
3 notes
Résumé :
La photographie vaut bien une appendicite. C’est en récompense de sa vaillance lors de la bénigne opération que le jeune Erwin Blumenfeld se vit offrir son premier appareil photo.
Rédigée à la fin de sa vie, son autobiographie retrace son parcours depuis son enfance berlinoise jusqu’à ce qu’il devienne l’un des plus grands photographes de mode des années 1950. Au fil de ses rencontres apparaît une truculente galerie de portraits tandis que l’époque s’écrit da... >Voir plus
Rédigée à la fin de sa vie, son autobiographie retrace son parcours depuis son enfance berlinoise jusqu’à ce qu’il devienne l’un des plus grands photographes de mode des années 1950. Au fil de ses rencontres apparaît une truculente galerie de portraits tandis que l’époque s’écrit da... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Cette autobiographie d'Erwin Blumenfeld est un bonheur de lecture.
Au-delà des éléments qu'il a pris et ressorti de ses expériences sur terre, romancées ou pas, vraies en majorité mais avec un petit je-ne-sais-pas de doute, c'est tout une philosophie de vie joyeuse qui ressort, même dans les circonstances les plus dramatiques.
Il y a de la pudeur mêlée à un humour (juif) très particulier qui nous emporte immédiatement dans l'histoire de sa vie. Je dis pudeur, même si Erwin Blumenfeld ne cache pas la réalité des choses, les plus crues, les plus personnelles et les insupportables. C'est une pudeur de vérité. Il dénonce sans agressivité, sous une forme amusante et amusée mais pas dupe.Il sait dire qu'un chat est un chat, en fin observateur des autres et de sa vie.
Néanmoins, on reste un peu sur sa fin, car berlinois affirmé, son autobiographie traite aux trois quarts et avec beaucoup de nostalgie, de la première phase de sa vie en Allemagne, Hollande et France.
Sa période américaine où son art de photographe de mode domine est évoquée par anecdotes. Il ne nous révèle pas grand chose de son art de photographier et du plaisir qu'il a eu à le faire, comme s'il avait accepté à contre-coeur le modèle américain de faire de l'argent sans vendre son âme, surtout son âme d'artiste.
Au-delà des éléments qu'il a pris et ressorti de ses expériences sur terre, romancées ou pas, vraies en majorité mais avec un petit je-ne-sais-pas de doute, c'est tout une philosophie de vie joyeuse qui ressort, même dans les circonstances les plus dramatiques.
Il y a de la pudeur mêlée à un humour (juif) très particulier qui nous emporte immédiatement dans l'histoire de sa vie. Je dis pudeur, même si Erwin Blumenfeld ne cache pas la réalité des choses, les plus crues, les plus personnelles et les insupportables. C'est une pudeur de vérité. Il dénonce sans agressivité, sous une forme amusante et amusée mais pas dupe.Il sait dire qu'un chat est un chat, en fin observateur des autres et de sa vie.
Néanmoins, on reste un peu sur sa fin, car berlinois affirmé, son autobiographie traite aux trois quarts et avec beaucoup de nostalgie, de la première phase de sa vie en Allemagne, Hollande et France.
Sa période américaine où son art de photographe de mode domine est évoquée par anecdotes. Il ne nous révèle pas grand chose de son art de photographier et du plaisir qu'il a eu à le faire, comme s'il avait accepté à contre-coeur le modèle américain de faire de l'argent sans vendre son âme, surtout son âme d'artiste.
critiques presse (1)
Un père juif qui a la folie des grandeurs, une mère juive à cheval sur les principes, des parents qui attendent de lui qu’il fasse de «grandes choses»… C’est à quoi le petit Berlinois Erwin Blumenfeld, armé de l’appareil photo reçu après son appendicite, a fini par échapper.
Lire la critique sur le site : LaTribuneDeGeneve
Citations et extraits (1)
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Je n'ai jamais été allemand ; en vérité, j'étais seulement berlinois, et je le suis resté, toujours et exclusivement berlinois et plus précisément berlinois du sud-ouest. Les autres quartiers, c'était déjà l'étranger.
Videos de Erwin Blumenfeld (2)
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