Le Clan des Sept, tome 5 : Un exploit du Clan des Sept

Le clan des sept, ces premiers livres de la bibliothèque rose que l'on dévorait à l'époque où internet n'existait pas, durant ces sixties magiques, époque heureuse, pour les enfants en tout cas, s'ils aimaient un peu l'aventure policière, il y avait de quoi se régaler.
Et dans cet exploit du clan des sept, les héros font un peu comme Balzac, ils observent leur environnement, mais à la différence de l'écrivain qui y trouvait son inspiration, eux trouvent moyen d'observer des événements en apparence anodins qui vont les conduire à mener et réussir une nouvelle enquête passionnante pour leur public.

J'ai dû me tromper, j'ai lu ça bien plus tôt pour que ça m'ait plus. C'est tellement cucul. Je me souviens que mon frère lisait le club des cinq donc par opposition systématique j'avais choisi le clan. Pour cette deuxième lecture je me suis ennuyé ; ces petits jeunes ils sont bien mignons, bien propres sur eux et surtout très obéissants. Et ils font bien leurs devoirs le soir. Quatre garçons et trois filles on n'est pas loin de la parité. Mais évidemment sept c'est impair. Qui couper ?
Ce qui m'a le plus étonné dans ma lecture pour être un peu positif, c'est que certaines illustrations du livre ont resurgi intactes de ma mémoire. le petit vieux chauve qui me faisait peur, la vilaine fille avec sa poupée et la petite vielle avec son vilain chapeau à cerise. La mémoire est prodigieuse, après plus de cinquante années.