Et surtout, à partir de l'année 1861, Camille Saint-Saëns, son aîné de dix ans, qui fut beaucoup plus qu'un professeur de piano. Un ami, un frère, un conseiller morale est esthétique frémissant parfois devant les audaces de son cadet, un véritable compagnon de route dont seule la mort le séparera, après plus de soixante ans (un bel et rare exemple d'amitié musicale, attesté psr une importante correspondance).