L'arbre d'Halloween

Le soir d'Halloween, Tom Skelton est bien décidé à savourer cette fête qu'il affectionne tant. Paré de son costume de squelette, il parcoure la ville avec ses amis en quête de friandises. Mais cette année son ami Joe Pipkin n'est pas là, lui qui est pourtant un inconditionnel de cette fête. Allant le trouver chez lui, ce dernier leur donnera rendez-vous près d'une sinistre demeure. Ils y découvriront un mystérieux arbre d'halloween, au pied duquel Mr Monsuaire leur proposera de former un cerf-volant pour s'envoler vers un bien étrange voyage à la découverte des mystères de la fête des morts...


Dans ce court roman de 166 pages, on retrouve toute la beauté de la plume de Red Bradbury. C'est tellement agréable de le lire, on se laisse porter par sa prose si poétique! Il nous emmène ici dans un long voyage à travers le temps et l'espace pour découvrir les origines de la fête d'halloween. Partant de l'Égypte, pour finir en apothéose de El dia de Los muertos au Mexique en passant par Notre-dame à Paris, ce petit groupe d'amis devra essayer de sauver Pipkin qui semble coincé dans les ténèbres. Parourant les cavernes, cimetières et catacombes, ils rencontreront momies, sorcières et gargouilles. Un joli conte fantastique parfait pour passer un agréable moment dans une ambiance d'halloween !

Ah, les délices d'octobre!
Attention, ce que je vais dire peut choquer: je n'avais jamais lu Bradbury avant ce tout petit roman! C'est dommageable, puisqu'au fond, il y avait sûrement bien des oeuvres plus adaptées pour découvrir cet auteur qui est assurément de talent. Mais allez savoir pourquoi, au gré de mes lectures et différents passages en librairie, j'ai toujours soigneusement évité ces classiques. Je trouve rarement attirante l'idée de lire une oeuvre qui a déjà été disséquée dans tous les sens, sur laquelle tout a été dit et où la réflexion a été si loin qu'on est à peu près convaincu, une fois le livre refermé, qu'on a loupé à peu près quinze niveaux de lecture. Mais cette fois-ci, ce petit livre de Bradbury a tout de suite attiré l'oeil: rares sont les bouquins qui s'intéressent à Halloween, tout comme les fans de cette petite fête. J'ai toujours, le 31 octobre, une excitation toute particulière qui est rarement partagée. On finit toujours par regarder des films d'horreur entre copains, et c'est une putain de soirée. Mais ça n'empêche: cette fête, si merveilleuse et excitante soit-elle, est reléguée au second plan une fois passé à l'âge adulte.
Alors quand j'ai découvert la quatrième de couverture qui vantait à la fois poésie, Halloween, beautés de l'automne et enfance, je n'ai pas mis longtemps à me décider!

Et déjà, première surprise: l'écriture de Bradbury! Ne le connaissant pas, je m'étais mis en tête qu'il avait une écriture très classique, très "inerte". C'est, évidemment, tout l'inverse tant l'écriture de cet auteur s'apparente à un feu d'artifice! Ses mots sont en chute libre, ils explosent aléatoirement et insuffle au récit un mouvement effréné, colossal! La vie déborde de cette écriture, se faufile entre les mots, pulse à chaque ligne. C'est véritablement une merveille, ça m'a rappelé Fante et Brautigan dans toute cette véracité, cette honnêteté, cette énergie. Prenez par exemple cette description, à titre d'exemple:
" Joe Pipkin est le môme le plus fabuleux qui ait jamais vu le jour. le plus joyeux gamin qui soit jamais tombé d'un arbre, en proie à un fou rire à cause de cette bonne blague. le plus valeureux gosse qui, près de gagner une course à pied où ses copains traînassent comme des limaces, ait jamais perdu exprès l'équilibre pour mordre la poussière, les attendre et franchir en même temps qu'eux la ligne d'arrivée. le plus merveilleux enfant qui ait jamais déniché toutes les maisons hantées de la ville, si difficiles fussent-elles à découvrir, et soit revenu signaler aux autres leur existence pour els emmener prospecter les caves, gravir les murailles chargées de lierre, mugir dans les cheminées, piétiner les flaques sur les toits comme des gorilles qui beuglent ou des chimpanzés qui dansent. le jour de la naissance de Pipkin, toutes les bouteilles de soda du monde se sont ouvertes en pétillant; et de folâtres abeilles sont venues par les prés et les champs piquer rombières et demoiselles. A la date de son anniversaire, les eaux du lac refluent en plein été, puis reviennent décharger sur la rive un raz-de-marée d'enfants, un déferlement de corps alertes où bouillonne une écume de rire."
Et la description est bien plus longue, toujours plus belle et vivante! L'écriture de Bradbury secoue: elle mêle poésie et une action qui jamais ne cesse ou perd en intensité. C'est ceci que j'ai le plus aimé, dans cet petit livre: ça décoiffe et c'est magnifique.

Sur le pur plan narratif, l'histoire n'est pas vraiment transcendante. On comprend bien vite que le livre lorgne sur le style de récit qu'on avait pu lire chez Dickens, notamment ses cantiques de Noël. J'avais lu il y a 5 ans "A Christmas Carol" le 24 décembre, et je me rappelle de cette vague d'émotions formidables, qui m'avait sans difficultés tiré des larmes sincères... "L'arbre d'Halloween" n'atteint, malgré son écriture sublime, à aucun moment un tel niveau d'émotion. Néanmoins, c'est suffisant pour que l'adhésion du lecteur soit complètement conquise. Rajoutez à cela la petite pagination et vous voilà face à un livre on ne peut plus facile à lire.

Bon, que vous dire de plus? "L'arbre d'Halloween" est un petit bouquin extrêmement agréable à lire. Loin d'avoir de grandes ambitions, il remplit son rôle à merveille, notamment grâce à l'écriture géniale de son auteur: sublimer l'automne, et nous en apprendre plus sur cette fête sous-estimée qu'est Halloween. Une histoire simple et accrocheuse permettra au lecteur un moment de grand plaisir.
E bref, une réussite. Et surtout: je me suis procuré dès le lendemain les "Chroniques Martiennes". On ne peut pas se passer d'une écriture comme celle-là!

Ray Bradbury reste pour moi l'un des meilleurs écrivains de son époque, et même de plusieurs. Alliant science-fiction, fantasy et psychologie, de sa plume acérée, il dépeint aussi bien les travers du futur que les angoisses du passé.
A travers "L'Arbre d'Halloween", il ne se contente pas de nous rappeler l'origine de la fête d'Halloween, il va plus loin. Il nous transporte d'époques en lieux, et nous rapproche des peurs ancestrales, notamment l'éternelle crainte de voir le Soleil disparaître pour toujours.

Il est très difficile de classer "L'Arbre d'Halloween" dans un genre ou un style particulier. En effet, ce n'est pas un simple roman basique, c'est une succession de poésies qui, de page en page, donne le rythme, applique une mélodie ancestrale qui, comme un charme ensorcelant, nous porte jusqu'à la dernière phrase. Halloween ne s'écrit pas simplement, il se chante et se danse dans cet ouvrage, en de sombres mélodies narrées par une traduction extraordinaire.
J'ai rarement vu un travail de traduction réussissant à servir l'oeuvre avec autant de beauté.

Au final, que retenir de "L'Arbre d'Halloween" ?
Que Ray Bradbury peut de temps en temps écrire quelques bêtises, mais qu'il reste un maître dans l'art d'écrire, d'explorer le temps et l'espace avec un style tout bradburien ! Et qu'il est l'exemple concret du mélange audacieux et harmonieux entre poésie et roman.

J'ai lu du 02/10/2021 au 10/10/2021.

Il est clair que la SF et moi, ça fait 2 mais j'avais envie de découvrir ce livre de Bradbury car il allait parfaitement avec le Pumpkin Autumn Challenge. J'aime sortir des sentiers battus en octobre. C'est pourquoi je me suis lancée dans cette lecture.
Je dois dire que j'en ressors agréablement surprise car j'ai pris mon temps à découvrir ce livre et à découvrir Bradbury autrement qu'avec son Fahrenheit 451. Ray Bradbury a une plume sublime, elle nous captive même si on n'apprécie pas l'intrigue en elle-même. En fait, j'ose même dire qu'elle est que secondaire face à l'écriture de l'auteur. On a un côté assez poétique, percutant, rythmé... Je vois bien cette aventure s'enchaînait telle une partition de musique. En tout cas, Bradbury insuffle parfaitement la magie d'Halloween avec sa plume.
Quant à l'intrigue, elle est d'une simplicité inégalable. Pourtant, je trouve cela judicieux car ce livre a un côté pédagogique appréciable. Je n'apprécie pas l'histoire mais j'ai adoré le fait que l'auteur l'utilise pour raconter les origines d'Halloween mais surtout la conception et la perception de la mort à travers les époques et les cultures. Les rites funéraires ne sont pas les mêmes au Mexique avec la fameuse "dia de la muerte" qu'en Egypte ancienne avec les momies. Ainsi, à travers cette aventure dans le temps, on retrouve des symboles emblématiques d'Halloween ainsi que leurs origines comme les sorcières, les momies, etc. C'est pourquoi je trouve ce livre intéressant.
Enfin, le dernier point que je vais aborder est les personnages. Je dois dire que c'est du génie car je n'ai pas réussi à m'attacher à un des gamins, ni à Montsuaire. Pourtant, ce sont eux qui vont vivre des aventures et le fait que les gamins soient déguisés en l'une des créatures emblématiques d'Halloween. Cela pourrait être un point négatif mais je considère cela comme du génie de la part de Ray Bradbury. Effectivement, cela permet à nous de s'impliquer dans cette aventure, d'en être l'acteur et de la vivre.

Pour conclure, je n'ai pas en soi adoré ma lecture mais je la trouve très intéressante pour plusieurs raisons. Tout d'abord, la plume de Ray Bradbury est juste sublime. Ensuite, l'intérêt de (re)découvrir les origines d'Halloween et la mort à travers le temps et les cultures valent le détour.

Ma note : 7/10

Ray Bradbury nous invite à un voyage dans le temps pour comprendre les origines de la fête des morts. de la Préhistoire à l'Égypte Ancienne, des temps sombres de l'Europe aux fêtes lumineuses et musicales du Mexique, il plonge une bande d'amis partis à la rescousse d'un des leurs dans un périple initiatique et millénaire qui mêle Histoire et philosophie.

La mort est toujours liée à la vie. En dépit des craintes profondément ancrées en chacun de nous depuis la nuit des temps, le soleil succède toujours aux ténèbres, et le printemps à l'hiver.

Ce très joli conte est là pour nous le prouver. Il mêle une belle et grande histoire d'amitié à un concept passionnant traité de façon originale. J'ai été particulièrement sensible à la poésie de la langue, à certains passages extraordinairement évocateurs. Et j'ai aimé les dernières lignes, très visuelles.

Ce récit est l'occasion de découvrir Ray Bradbury dans un registre autre que la SF et j'ai hâte de dénicher La foire des Ténèbres à présent !

J'avais prévu de lire ce livre à Halloween depuis bien longtemps. Je l'ai dévoré en seulement deux jours. J'ai accroché dès les premières pages : la plume de l'auteur est poétique à souhait et je me suis laissée bercer par ses phrases, le choix de ses mots, des images utilisées et j'ai pris énormément de plaisir à lire certains passages à voix haute.

Un groupe d'enfants fête Halloween tous ensemble, mais le plus important de la bande, Pipkin, manque à l'appel, ce qui est étonnant vu qu'il adore cet événement. Ses camarades partent donc à sa recherche et finissent par le dénicher près d'une maison étrange, à l'écart de la ville. Là, ils font la connaissance de Montsuaire qui les emmène à travers le temps pour découvrir ce jour des morts célébré différemment selon les époques et les pays, mais également pour sauver Pipkin.

Jusqu'au début de leur voyage, j'ai adoré cette histoire qui m'a fait vibrer et stresser. L'ambiance était sombre. le récit était captivant. J'avais très envie de découvrir ce qui allait se passer.
Mais ça n'a pas duré. Par la suite, certains passages sont lugubres, d'autres inquiétants. Quelques uns sont intéressants culturellement parlant, mais le plus souvent, ils m'ont semblé fades, l'atmosphère instaurée au début a disparu pour laisser la place à un récit froid.

C'est une lecture qui m'a plu de par le style d'écriture de l'auteur – un petit peu comme dans Chroniques Martiennes donc ce n'était pas une surprise en soi. le début est captivant, mais la suite est en dents de scie avec certains moments intéressants et d'autres moins, certains compréhensibles et d'autres totalement insensés.
Je crois que j'ai aimé, mais je n'en suis pas certaine… c'est étrange.
Lien : https://psylook.kimengumi.fr..

Je me suis laissé tenter par ce roman car j'avais conservé un très bon souvenir de "Chroniques Martiennes". J'avoue ne pas avoir été totalement conquis par l'histoire en elle-même. J'ai eu l'impression de lire un roman expérimental ayant pour vocation d'éduquer le lecteur sur l'origine des symboles de cette fête d'Halloween. C'est un peu sans queue ni tête, ça bouge tout le temps, c'est agité, on s'y perd un peu.
Cependant, cet aspect expérimental du livre comporte aussi des qualités. En effet le récit est raconté avec une fougue imaginative et un sens de la poésie qui m'ont beaucoup plu. C'est grâce aux qualités verbales du texte que je me suis laissé emporter jusqu'à la fin. Certains passages descriptifs de l'histoire exaltent un sens de l'imagination, un humour et une joie juvénile réellement communicatifs. Je salue au passage le travail du traducteur, qui a su restituer en Français toute la vitalité du texte original. Un livre à découvrir pour son univers foisonnant de mots, d'expressions et de monstres mythiques.

Encore une première pour moi, le monde du fantastique. Ce n'est pas la sphère que je préfère, car chaque fois que j'ai tenté d'entrer dans cet univers, je me suis heurtée à de hauts murs infranchissables. Mon esprit, sans doute trop cartésien, refuse d'avancer, souvent dépassé par les événements incongrus qui se déroulent dans les histoires issues d'esprits démesurément créatifs. Pour les besoins d'un défi, je cherchais un titre contenant la lettre W. Après avoir dédaigné un certain nombre d'ouvrages, mon choix s'est arrêté sur celui-ci, court, dont le nom de l'auteur me disait vaguement quelque chose. Ignare que je suis !

Après avoir été un peu déstabilisée au début de cette aventure fantastique, par manque de pratique, j'ai presque instantanément été séduite par le vocabulaire choisi de l'auteur. Sa richesse et sa précision ne laissent rien au hasard et a agi sur moi comme un aimant, ne me permettant à aucun moment de lâcher le fil de cette odyssée, car c'en est bien une. Contre toute attente, je me suis laissée emportée, tout comme les enfants, par l'effrayant Montsuaire tout droit sorti de la Famille Adams. Pourtant, sous son aspect terrifiant, il se révèle être un guide ferme et cocasse pour les sept garçons qui ont eu le courage de frapper à la porte de son impressionnante demeure. Idéale pour Halloween !

Montsuaire rebondit sur les différents costumes qu'ont choisi de revêtir ses petits visiteurs curieux, le Squelette, la Sorcière, la Momie, le Fantôme, la Gargouille, le Mendiant et la Mort pour les emmener dans le temps et l'espace à la découverte de l'origine de la Fête des Morts. Les diverses croyances se mêlent dans un joyeux tumulte, des rites païens aux croyances religieuses, qu'elles soient druidiques, chrétiennes, romaines, égyptiennes ou autres. Je n'ai pas tardé à m'attacher à cette bande de gamins espiègles, avides de frissons et inquiets pour leur ami Pipkin qu'ils poursuivent dans une course effrénée, sans relâche, sous le pilotage bienveillant de l'impressionnant Montsuaire.

Ce petit livre regorge d'informations sur l'origine de cette fête aujourd'hui très commerciale. le passé reprend vie et, avec lui, s'impose les cruelles réalités oubliées de l'Histoire. J'avoue avoir éprouvé le sentiment de retrouver, le temps de l'aventure, mon insatiable curiosité d'enfant en faisant complétement partie de la joyeuse bande des chenapans sous la houlette du guide érudit.

Pour ma découverte de Ray Bradbury, je reste stupéfaite de la magie qui a opéré sans difficulté. Je m'attendais, plus ou moins, à une histoire de manoir hanté et je me suis retrouvée dans un conte d'Halloween, poétique et onirique, fourmillant d'informations fascinantes, arrachée du quotidien par un auteur, maniant avec talent, les mots magiques de l'enfance si souvent oubliés par les adultes.

Si ce livre n'est pas forcément à la portée des plus jeunes, il est accessible à la plupart des lecteurs avec ses différents niveaux de lecture. C'est aussi l'ingéniosité rare de l'écrivain, de proposer à chacun l'interprétation de son choix selon son âge, ses connaissances, ses croyances et sa capacité à rêver. Cette aventure fantastique enfantine, au-delà des informations qu'elle délivre, est aussi une réflexion philosophique sur l'arrivée des ténèbres de novembre, suite à la lumière de l'été, facilement comparable au noir de la mort après la luminosité de la vie et, donc, la peur de l'inconnu. À chacun de ressentir sa propre perception de cette histoire déstabilisante autant que poétique et ambitieuse, servi par un conteur hors pair qui a su ébranler mon incompréhension d'un monde jusqu'alors hermétique pour moi.

Ce petit roman, lecture parfaite d'Halloween, nous conte l'histoire de 9 garçons le soir d'Halloween. 9 ? En fait plutôt 8, car l'un d'eux, Pipkin, est malade et leur dit d'aller vers la maison près du ravin, alias, le Sinistre Repaire, promettant de les y rejoindre. Là-bas, ils rencontrent M. Montsuaire et s'aperçoivent que Pipkin est emmené dans l'au-delà. Et M. Montsuaire de les embarquer dans une sorte de voyages dans le temps et le monde, à travers l'Histoire d'Halloween. On y retrouve des momies, des sorcières, la Santa Muerte, des druides et des gargouilles.
C'est un conte fantastique un peu horrifique, mais surtout divertissant, instructif et très poétique, car c'est une prose poétique emplie d'assonances et d'allitérations. Pour vous situer l'ambiance, prenez un peu de Stephen King et un peu de Tim Burton une nuit d'Halloween et nous y voilà !

Ce texte est assez déstabilisant. Bien que j'ai toujours réussi à suivre globalement le fil de l'histoire, tout est très onirique. A tel point que certains passages m'ont paru assez compliqués à me représenter. Et même si cela n'a pas porté atteinte à ma compréhension globale, j'ai trouvé cela dommage.

La plume est assez incroyable. C'est un véritable texte poétique en prose. Toutes les phrases ou presque sont composées de rimes. Ce qui donne une vraie musicalité au texte. (...)

Quant à l'histoire en soi, j'ai trouvé intéressant de nous aventurer dans différents pays et différentes époques pour découvrir comment d'autres cultures pouvait fêter Halloween. de l'Egypte antique à l'Irlande en passant par le Mexique, il y a de quoi être dépaysé ! (...)

Bref, je suis contente d'avoir découvert ce texte même si je ne m'attendais pas vraiment à cela, surtout après avoir découvert Fahrenheit 451 !

La chronique complète sur mon blog !


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