La question est donc posée : l'état d'exception permanent qui se constate dans les prisons françaises est-il lié à des effets de conjoncture ou à des «pesanteurs» diverses (manque de moyens, routines, négligences...) ou bien s'agit-il d'un état institué des choses, destiné à reproduire des effets politiques ou idéologiques réglés ? En d'autres termes, quelles sont les limites d'une approche humanitaire des prisons qui en envisage l'état toujours sous l'angle de la s... >Voir plus