Le scénario était plutôt alléchant : Pologne, Gdansk, février 1997. Lorelei, une fillette de 10 ans, est sauvée de l'incendie de sa maison, son père chercheur d'ambre a péri dans l'incendie. La fillette est assaillie par des rêves terrifiants où le corps mutilé d'une femme revient de manière obsédante. Dix ans plus tard, des corps mutilés sont découverts. Izabella Polinska, la psychiatre de Lorelei, fait appel à un détective Ludovic Lardennois spécialiste en analyse des rêves, le narrateur. Au final, rien de bien haletant, tout est convenu, ça manque de profondeur comme si l'histoire avait été bâclée, dommage !
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Une histoire peu passionnante, non captivante et vite oubliée.
Trop d'incohérences qui rendent le récit peu crédible !
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une mysterieuse chambre d'ambre, un fou dans un asile qui dit qu'il a commis des meurtres, on trouve tout ce qu'il dit mais il est enfermé et c'est pire qu'une prison, comment il peut commettre ces meutres? On est surpris a la fin mais il faut lire les deux dernieres page pour découvrir un 2e dénouement extraordinaire
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La Pologne ,l'ambre voilà deux mots qui m'ont alléchée .Mais j'ai eu du mal à rester accrochée à cette histoire que je trouve mal conduite un peu attendue ..je me suis ennuyée et c'est le pire pour un roman policier .
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Avec le recul, j’ai la certitude que je suis tombé amoureux du docteur Polinska dès cette première rencontre. De son visage. De ses cheveux blonds. De ses yeux bleus transparents. De sa bouche charnue. De son corps que je devinais. De sa force. De l’énergie qu’elle mettait au service de ses convictions. De sa timidité. De sa candeur. De son innocence. De tout ce que je percevais d’elle et que j’aimais déjà. Bien que je n’aie pas réalisé à ce moment-là à quel point j’étais accroché. Et que cet amour n’allait faire que croître avec le temps.
J'aurais surtout voulu être certain que je comptais autant pour elle, qu'elle pour moi. Comme si on pouvait obtenir de telles garanties !
Je devais vraiment changer. Semblable à ces larves terrestres qui ont besoin de muer pour grandir, se transformer et s’envoler. Je devais devenir un autre sans rien garder du passé. C’est vrai qu’on ne repart jamais de zéro. Difficile de chasser l’enfance et tout le reste. Alors, disons que j’allais tenter d’oublier ce passé en espérant que je pourrais me bâtir une nouvelle vie.
Cette nuit, je suis retournée dans la vieille maison… dans ma vieille maison. C’est devenu une habitude maintenant, une sorte de rituel. J’ai un besoin impérieux de m’y rendre, même si ce retour m’écorche un peu plus chaque fois. C’est un retour douloureux et sans espoir, je le sais bien, auquel je me soumets docilement et contre lequel je ne peux rien.
L’ambre est surtout utilisé en bijouterie, c’est vrai. Mais n’oubliez pas que c’est une résine d’arbre fossilisée. Au cœur de l’ambre peuvent se trouver incrustés des éléments qui restent ainsi protégés pendant longtemps, parfois des millions d’années. Des petits fragments de végétaux, des insectes…