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Missing tome 5 sur 5

Luc Rigoureau (Traducteur)
EAN : 9782012014947
237 pages
Hachette (12/08/2009)
3.83/5   67 notes
Résumé :
Résumé:
Jessica est maintenant âgée de 19 ans. Elle a accepté de travailler pour le FBI. Suite aux attentats du 11 Septembre 2001, elle a été enrôlée par le gouvernement pour traquer les terroristes en Afghanistan.

Traumatisée par cette expérience, elle a, entre autre, perdu ses pouvoirs divinatoires, et pour de vrai cette fois. De retour à New York, Jess a été admise à la prestigieuse école de musique de Julliard, et vit en colocation avec Ru... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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Vous l'avez peut être remarqué, mais je poste de moins en moins vu que je suis en pleine phase « phase terminale des lectures obligatoires pour les cours ». Même si je continue à lire des livres qui m'intéressent, je dois avouer que je suis vite lassée ayant déjà 2h de lecture dans les pattes (et la lassitude de ces satanés romantiques qui font trainer l'intrigue en longueur avec leurs descriptions ^^). Comme je ne veux pas laisser tomber le blog, je vais tenter de chroniquer des livres que j'ai lus il y a longtemps et pour qui j'ai eu un véritable coup de coeur. Comme je vous rabats les oreilles avec elle, je vais commencer par la génialissime Meg Cabot.

Je ne vais pas faire un résumé des cinq livres de la série (je ne serai pas fidèle) mais je vais tenter de vous en donner une vue d'ensemble. Il faut savoir que cette série était celle qui me tentait le moins et dont j'ai longtemps différé la lecture mais qui est, selon moi, la plus réussie. L'héroïne principale, Jessica, est une héroïne crâne-brûlé comme je les aime : forte, indépendante, osée, drôle… Mais, dans son lycée, son franc-parler n'est pas apprécié de tous. Jess s'en fiche. Elle n'a besoin que d'une moto et de sa meilleure amie. Ah et si elle arrivait à choper le canon Rob, ce serait parfait. Un jour qu'elle finissait une colle, elle rentre à pied chez elle malgré l'orage. Dieu seul sait comment, elle est frappée par la foudre et a des visions étranges qu'elle ne comprend pas. Puis, plus l'intrigue avance, plus la situation s'éclaire : Jess est capable de situer les personnes disparues en voyant simplement leur photo. Voilà le cadre. Les cinq tomes tournent autour de cinq enquêtes visant à retrouver une cible en particulier, enfin sauf le dernier qui développe surtout l'histoire Rob/Jess.

Le résumé a l'air bateau comme ça, mais ce qui est étonnant c'est que l'enquête ne prédomine pas. On suit Jess au lycée, ses débâcles avec Rob et ses mésaventures de justicière. C'est donc un récit rythmé, haletant mais qui reste extrêmement drôle et léger. Jess s'adresse à son lecteur, lui fait des blagues et ne se plaint jamais. Que demander de plus ? Sans compter que les scènes sont aussi variées que nombreuses. Vous pouvez suivre les conflits avec sa mère qui souhaiterait voir sa fille un peu plus féminine et enchainer avec une vision qui éclaire Jess. Ou bien encore, vous pouvez suivre l'évolution de ses relations (houleuses) avec le FBI et enchainer avec une dispute des deux ados. Au fil des pages, on devient plus accro et chaque tome nous semble encore meilleur que le précédent. Les deux derniers tomes sont vraiment caricaturaux et chaque page tournée nous fait éclater de rire tout en se demandant ce qui va encore arriver à la pauvre Jess. Chose exceptionnelle, aucun tome ne nous ennuie et je ne regrette qu'une chose : qu'il y ait seulement cinq tomes x)

Un extrait sur chacun des cinq tomes ici : http://lecturesdunenuit.blogspot.fr/2015/08/la-serie-missing-de-meg-cabot.html
Lien : http://lecturesdunenuit.blog..
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Meg Cabot nous offre une belle conclusion à la saga Missing. Retrouvailles est la parfaite conclusion rêvée, sans réellement y croire. L'histoire est projetée dans le futur, dans une autres ville, dans d'autres conditions. On retrouve les éléments qui ont faits le succès de Missing : de l'action, du paranormal et des sentiments.

Les personnages sont restés tels qu'ils étaient quand nous les avons quitté, un peu plus vieux, comme le lecteur. Mais l'identification lecteur/personnage reste également inchangée. Les préoccupations du lecteurs sont toujours les mêmes que celles des personnages, l'entente est toujours là, l'équilibre est resté parfait. Nous avons grandis ensemble, mais séparément, nous nous ressemblons toujours et c'est ça qui fait le charme de ce dernier tome.

Meg Cabot garde dans Retrouvailles son style d'écriture percutant et sachant aussi bien plaire aux ado' qu'aux parents (ça ne sera pas la première fois que je vois mes parents lire un livre de Meg Cabot...). L'intrigue reste émouvante, peut-être parce qu'on sait que c'est la fin, et qu'on espère que ça finisse bien, peut-être parce que beaucoup d'entre nous, comme moi, ont lu ces livres et ont grandi en même temps que Jessica...

La fin se devine assez dans les très grandes lignes, mais le détails reste une agréable surprise.
Il serait dommage de ne pas lire Missing T5 : Retrouvailles de Meg Cabot, si l'occasion se présentait...
Lien : http://lunazione.over-blog.c..
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Hé bien je retrouve pour une dernière fois Jess. Elle vieillit, ce qui donne un livre plus mature et moins tiré par les cheveux. Je trouve que Meg Cabot a bien bouclé la série missing. Je trouve ce 5ième tome différent des précédents. Si vous avez commencé la série il est important de lire ce dernier livre. J'aime le fait que Meg Cabot parle justement de la série téléviser conçue suite à cette série de livre. J'aime retrouver Jess quelques années plus tard, avec plus de sagesse et d'expérience. Ce que je n'aime pas... rien. Voilà une série de terminée. Pas la meilleur certes, mais j'ai passée de bon moment.
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tome centré sur les personnages, l'intrigue y est un peu moins "intéressante".
ici on retrouve Jess âgée de 19 ans, brisée par ce qu'elle a vécu à la guerre. Jess se montre fragile mais elle retrouvera la force de se battre grace au beau Rob.
une conclusion parfaite, où notre héroïne commence une autre vie, pour une série palpitante.
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Suite et fin : ce tome 5 est comme les autres tomes, une belle histoire que je conseillerais volontiers à des adolescents ! Malheureusement, à mon âge ça ne fonctionne que moyennement car même constat que dans les précédents tomes , rien n est assez approfondi !
On retrouve une Jess 2 ans plus tard qui a traversé la guerre et qui en revient brisée... qui pourrait donc l aider à se relever et à vivre plutôt que survivre ? Une fin a la Walt Disney, conformément au style de l histoire !
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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
« — Va te faire foutre !

(Excusez mon langage.)

Vlan ! Ses mains ont recommencé à me serrer le kiki.

— Tu n’es pas très polie, a grogné Randy. Bon Dieu, il va la boucler, ce clébard ?

À cet instant, une drôle de chose s’est produite : la tête de l’affreux s’est volatilisée. Du moins, c’est l’impression que j’ai eue, sur le coup. Ce n’est que quand, libre soudain, je me suis écroulée sur le sol en haletant, que je me suis rendu compte que la caboche de Randy était toujours attachée à son cou. Si elle avait disparu, c’était à cause de la mandale que Rob venait de lui assener. Une fois par terre, je me suis retrouvée dans une position idéale pour voir Rob marteler d’une volée de horions Randy Whitehead Junior, et les dents de ce dernier sauter les unes après les autres – un spectacle fort satisfaisant, croyez-moi. Par conséquent, j’ai été en mesure d’expliquer à mes parents quelque peu ahuris – et enfin tirés de leur lit par le vacarme que faisait Brutus – que si Rob était en train d’assassiner Randy, c’est parce que celui-ci avait auparavant tenté de me zigouiller.

C’est tout à son honneur, mon père a tenté de séparer les adversaires, ce qui a donné lieu à une scène plutôt comique – imaginez un quinquagénaire en boxer et maillot de corps essayant d’arracher un costaud à un pornographe ivre ayant abusé de la sœur dudit costaud. En réalité, celui qui a réussi à arrêter le pugilat a été le type qui a déboulé à grands pas dans le jardin en beuglant :

— Que personne ne bouge ou je tire ! FBI !

— Oh ! a murmuré ma mère qui était penchée sur moi. Bonjour, docteur Krantz.

— Bonjour, Toni, a répondu l’interpellé sans cesser de pointer son arme sur le malheureux Randy (qui ne semblait pourtant pas vouloir aller où que ce soit). J’avais peur d’être arrivé trop tôt pour que vous m’offriez un café. Mais je constate que je suis là juste à l’heure. Alors, Jessica, vous avez remis ça ?

Entre-temps, mon père avait réussi à éloigner Rob de sa victime. Mon chéri a tamponné sa lèvre ensanglantée et m’a adressé un immense sourire. »
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« — Va te faire foutre !

(Excusez mon langage.)

Vlan ! Ses mains ont recommencé à me serrer le kiki.

— Tu n’es pas très polie, a grogné Randy. Bon Dieu, il va la boucler, ce clébard ?

À cet instant, une drôle de chose s’est produite : la tête de l’affreux s’est volatilisée. Du moins, c’est l’impression que j’ai eue, sur le coup. Ce n’est que quand, libre soudain, je me suis écroulée sur le sol en haletant, que je me suis rendu compte que la caboche de Randy était toujours attachée à son cou. Si elle avait disparu, c’était à cause de la mandale que Rob venait de lui assener. Une fois par terre, je me suis retrouvée dans une position idéale pour voir Rob marteler d’une volée de horions Randy Whitehead Junior, et les dents de ce dernier sauter les unes après les autres – un spectacle fort satisfaisant, croyez-moi. Par conséquent, j’ai été en mesure d’expliquer à mes parents quelque peu ahuris – et enfin tirés de leur lit par le vacarme que faisait Brutus – que si Rob était en train d’assassiner Randy, c’est parce que celui-ci avait auparavant tenté de me zigouiller.

C’est tout à son honneur, mon père a tenté de séparer les adversaires, ce qui a donné lieu à une scène plutôt comique – imaginez un quinquagénaire en boxer et maillot de corps essayant d’arracher un costaud à un pornographe ivre ayant abusé de la sœur dudit costaud. En réalité, celui qui a réussi à arrêter le pugilat a été le type qui a déboulé à grands pas dans le jardin en beuglant :

— Que personne ne bouge ou je tire ! FBI !

— Oh ! a murmuré ma mère qui était penchée sur moi. Bonjour, docteur Krantz.

— Bonjour, Toni, a répondu l’interpellé sans cesser de pointer son arme sur le malheureux Randy (qui ne semblait pourtant pas vouloir aller où que ce soit). J’avais peur d’être arrivé trop tôt pour que vous m’offriez un café. Mais je constate que je suis là juste à l’heure. Alors, Jessica, vous avez remis ça ?

Entre-temps, mon père avait réussi à éloigner Rob de sa victime. Mon chéri a tamponné sa lèvre ensanglantée et m’a adressé un immense sourire. »
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-Alors, tu lui rends sa bague, et adieu Berthe ! Tu sautes dans le premier avion pour New York, je te dégoterai un nouveau mec archicraquant qui s'aura t'apprécier à ta juste valeur.

-Et si elle veut, a chuchoté son voisin masculin, dis-lui qu'on peut toujours lui casser la gueule.

Le pauvre nul devait croire que je ne percevrais rien.

Sauf que si mon pote.

Et, cette fois, j'ai fort bien identifié qui c'était.

-Ruth ? ai-je lancé avec une suavité des plus exquise. Aurais-tu l'obligeance de m'expliquer ce que fabrique mon frère dans ton lit.

-Zut, a-t-elle marmonné avant d'ajouter à l'adresse de Mike : Tu vois ? Je t'avais prévenu qu'elle t'entendrait.

-Salut, Jess ! m'a saluée Mike.

-Omondieu ! me suis-je exclamée, persuadée que j'étais à un cheveux de la crise cardiaque.

Certes, ce n'était pas une surprise totale. N'empêche, j'étais... j'étais...

Un peu dégoûtée, je l'avoue.

-ça me scie, ai-je râlé. Je ne suis partie que depuis deux jours, et vous vous êtes déjà sautés dessus.

-Allons, Jess, a tempéré Ruth, pas très à l'aise, ce n'est pas comme ça que ça s'est passé. Je... j'ai...

-Omondieu ! ai-je derechef ânonné. Si tu oses me dire que tu aimes mon frère, je te jure que je me mets à dégobiller.

-Pourtant c'est comme ça. Je crois que je l'ai toujours...

Comme ça ou pas, depuis hier ou depuis l'éternité, je refusais d'en écouter plus.

-Passe-le-moi, ai-je ordonné.

-Mais Jess...

-Obéis !

-Franchement, Jess, a enchaîné la voix grave de mon frère, ce n'est pas ce que tu cr...

-Si jamais tu lui brises le cœur, je te brise les os un à un, pigé ?

-Ce n'est pas ce dont tu as menacé Tasha à propos de Doug ? s'est-il étonné.

-Si.

-Dans ce cas, ce n'est pas à Ruth que tu devrais dire ça plutôt qu'a moi.

-Non. Pour ce qui vous concerne, ma loyauté va à Ruth, pas à toi.

-Merci beaucoup !

-C'est ma meilleure amie. Toi, tu n'est que mon frère.

-Il se trouve que je l'aime.
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-Je n’ai pas de casier, a-t-il protesté. Mes erreurs de jeunesse ont été effacées.
J’ignore pourquoi il a cru bon de préciser ce détail. Qu’est-ce qu’il croyait ? Que j’allais pirater le système informatique de quelque agence gouvernementale afin de vérifier son dossier, histoire de découvrir ce dont il avait pu se rendre coupable, si longtemps auparavant, source de ses ennuis et de sa farouche méfiance envers les forces de l’ordre ? De toute façon, j’avais déjà essayé.
Ha !
Bon, d’accord sans résultat.
Snif.
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-Jess... a-t-il murmuré sur un ton menaçant.
j'ai pris la plus grande goulée d'air possible, puis j'ai agrippé son tee-shirt et je l'ai attiré tout contre moi.
-Acceptes-tu de m'épouser, Rob ?
-Tu es cinglée.
-Je ne plaisante pas.
Bizarrement, sitôt les mots prononcés, j'ai pu de nouveaux respirer de façon normale, et le sang a cessé de rugir dans mes tympans.
-Je me suis conduite comme une idiote, ai-je repris. Mais j'avais pas mal de choses à régler. Je crois que j'en suis sortie, maintenant. Presque, en tout cas. Il est évident que mes études passent d'abord, et les tiennes aussi, mais ensuite, je pense que nous devrions nous marier.
-Et ta mère ? a-t-il objecté avec une gravité que je ne lui connaissais pas.
-Je te rappelle que je suis majeure. Par ailleurs, elle s'en remettra. Alors partant ?
J'avoue que l'attente n'a pas été facile, et j'ai retenu mon souffle. Aussi, ç'a été un vrai soulagement quand il a dit :
-Partant.
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