Rappelle-moi mes trois raisons de croire à la mort, les raisons intimes et péremptoires par celle cela même qu'elles viennent de toi: [...] la deuxième c'est cette belle lettre d'adieu que tu termines par cette phrase : "... et je meurs plus riche que tous puisque tu m'as aimé"
LETTRES À MON MARI DISPARU (1915-1917) - Marguerite Cadier-Reuss, préface de Paul Reuss