Nadine, une journaliste américaine téméraire et ambitieuse, n’était jamais retournée en Afrique du Sud depuis son dernier reportage qui s’était terminé par un drame. Elle y revient dix ans plus tard avec les parents d’un jeune Américain assassiné aux pires heures de l’apartheid.
J'ai découvert le plume d'Amanda Eyre Ward grâce à ce roman. J'ai apprécié son écriture, cela se lit très facilement et rapidement.
Ce livre est aussi le premier que je lis traitant de l'apartheid ainsi que la période qui suit son abolition. le choix du sujet traité ma plu et m'a fait découvrir des choses que je ne connaissais pas (Je pense à l'existence de la commission vérité).
Ce livre fût une bonne lecture et m'a donné envie de découvrir d'autres romans de cet auteur.
Amanda Eyre Ward est un auteur atypique qui n'aime pas les sujets faciles, c'est le moins qu'on puisse dire : un enfant qui disparait dans "A perte de vue", 3 femmes dans le couloir de la mort dans "Le ciel tout autour", et ici dans "Pardonnez-moi", l'Apartheid...
Ce sont à chaque fois des romans brefs, intenses, et à l'écriture efficace, difficiles à lâcher, sans aucun larmoiement malgré des sujets ô combien délicats ; celui-ci m'a un peu déçue car je l'ai trouvé un peu confus, mais je me suis pourtant laissée surprendre et j'en suis convaincue : c'est vraiment, vraiment un auteur à suivre de très près.
Un véritable "reportage" sur la fin de l'apartheid, un livre très documenté et poignant. L'auteur sait utiliser des sujets forts pour faire des histoires prenantes.
L'histoire est prenante et se lit d'une traite, mais parce qu'il y a un mais, j'ai lu ce livre comme le récit d'un fait divers avec à l'arrière plan la fin de l'apartheid. D'ailleurs l'arrière plan prend beaucoup de place dans la vie de cette journaliste très ambitieuse.