Après la boule de cristal, Monsieur Arnold mène brillamment ses consultations du mardi avec le pendule. Même cabinet, même cérémonial, à l'aide d'un objet appartenant au client, le mage commence sa consultation. Quand le pendule commence à osciller, Monsieur Arnold voit tout, le pire comme le meilleur...
Deuxième volet des aventures d'Arnold Smith, le célèbre voyant parisien. La construction du roman est similaire au volume précédent. Les consultations sont présentées sous forme de nouvelles. Une fois de plus, même si le mage est le personnage principal, l'intrigue est centrée sur les clients de celui-ci. Tous n'ont que l'amour en tête et espèrent que cet homme qui voit tout puisse les aider à résoudre leurs soucis. Tantôt drôle, tantôt dramatique, ce roman est aussi réussi que le premier tome. Très agréable à lire, il vous fera passer un bon moment.
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Je n'ai pas particulièrement apprécié ce recueil de nouvelles. Elles partagent un dénominateur commun : le mage, qui aujourd'hui va recevoir douze clients et consulter avec le pendule.
L'univers de mysticisme est posé en deux phrases. L'intérêt se situe davantage dans les différences de cas que voit passer le mage dans son cabinet, mais, parmi ces douze cas, très peu m'ont semblé intéressants. Pour tout avouer, je l'ai lu il y a deux semaines, et je n'ai plus que des bribes de souvenirs les concernant.
L'avantage est qu'il se lit vite, les nouvelles ne faisant que quelques pages.
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Chaque mardi, le mage reçoit 12 clients qui viennent le solliciter pour résoudre leurs problèmes et interrogations, 12 histoires drôles, cocasses, tristes voire dramatiques ...
Ce livre est très rapide à lire, les histoires sont variées et j'ai bien envie de lire les autres tomes de cette série
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j'adore cet auteur roman qui m'a fait bien rigoler
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page 92
Elle n'était pas habillée comme les autres filles. Sa longue jupe balayait le sol et découvrait à peine ses pieds ravissants et nus chaussés de sandales, tout cela lui donnait une allure de gitane.
"Le chateau du clown" (Plon) est le 40ème roman de Guy des CARS, dont il lit les premières lignes à Bernard PIVOT. L'écrivain définit ce qu'est un roman, alors que le personnage de son livre, lui, a existé. Au cours d'un séjour dans le Sud il visite le château de GROK, château monstrueux ou le clown est enterré. Guy des CARS raconte, comment, jeune journaliste, il a fait une tournée avec le Cirque Pinder. Dans son roman il raconte l'ascension et le déclin de GROK.PIVOT lui parle de sa "pas bonne" réputation dans le milieu littéraire, celui-ci dit qu'il est "lu". Il a des lettres de grands écrivains, GIDE, VALERY, CARCO, COLETTE qui l'ont encouragé. Il parle du seul prix littéraire qu'il ait eu dans sa carrière, du Goncourt qu'il n'a pas eu, et de la bataille que ça a suscité à l'époque. De noblesse authentique, il est fier des militaires de sa famille, notamment celui de l'Algérie. Il se dit "heureux", entouré de gens intelligents...ne se voyant pas d'ennemis.Mot de la langue française qu'il n'aime pas : valableMot que vous aimez bien : l'amitié
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