Redimensionnant le décentrement postcolonial, Dipesh Chakrabarty nous invite à nous observer « dans deux perspectives à la fois » : celle de l’histoire « humanocentrique » et celle de l’histoire planétaire, qui « décentre l’humain » en élargissant « les idées de politique et de justice au non-humain », et nous plonge, encore une fois, dans une autre condition historique et politique.
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Il y a dans les contes pour enfants et la fantasy pour adultes, un motif récurrent qui permet de comprendre le propos de Dipesh Chakrabarty, c’est celui du nain qui, au millième coup de pioche, réveille le dragon endormi sous la montagne.
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