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EAN : 9782379332715
Passes Composes (13/09/2023)
4.25/5   16 notes
Résumé :
Des temps mérovingiens ne surnagent aujourd’hui que quelques images d’Épinal : le vase de Soissons, la culotte du bon roi Dagobert… Si rien ne prédisposait les rois des Francs à diriger un vaste territoire en Europe, il y eut pourtant une dynastie qui occupa le trône trois siècles durant, plus que toutes autres à l’exception des Capétiens. Comment les Mérovingiens parvinrent-ils à un tel succès ?

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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Sous le nom d'empire mérovingien, Bruno Dumézil, historien déjà connu pour ses essais sur l'Antiquité tardive et le haut Moyen-Age, étudie les trois siècles où régnèrent sur l'ancienne Gaule, prise au sens large, les Mérovingiens, dynastie, clan ou groupe nombreux qui exerça le pouvoir entre le retrait des Romains et l'avènement des Carolingiens. L'auteur fait remarquer que dans l'Europe occidentale de ces temps-là, où aucun ordre politique ne se maintient longtemps, trois siècles sont une durée prodigieuse pour une dynastie, signe d'une stabilité politique et géographique remarquables qu'il s'emploie à étudier de près. Malgré la rareté des sources, Bruno Dumézil retrace l'histoire agitée de ce groupe, mais aussi l'administration et la société de ces époques : l'histoire politique prend beaucoup de place dans son essai, mais non toute la place. Comme l'auteur ne recourt pas souvent aux témoignages de l'archéologie, on lira un essai d'histoire de batailles et d'intrigues de palais, accompagné d'une réflexion critique sur ce qui a été dit et écrit sur les Mérovingiens par le passé. La difficulté qu'aura le lecteur à mettre un visage, un caractère, sur la multitude de noms qu'il rencontre, indique assez que ces trois siècles furent, en Gaule et en Occident en général, une époque où la littérature et la culture n'existaient plus qu'à peine, sauf dans l'Eglise. On connaît mieux Julien l'Apostat, Augustin ou Libanios, qui vécurent au IV°s, que Childéric ou Brunehaut, deux siècles plus tard, qui ne rencontrèrent pas d'historiens à leur mesure en leur temps. C'est ce silence presque total et cet anonymat qui permettent encore de qualifier ces temps de barbares.
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Du 5e au 8e siècle, la dynastie mérovingienne a régné sur le regnum francorum. Elle reste pourtant mal connue, réduite à quelques images d'Epinal, Clovis et le vase de Soissons, le bon roi Dagobert, les rois fainéants. Il reste peu de documents de cette époque car on y utilisait de préférence le papyrus, support fragile et qui se conserve mal, à la différence du parchemin. La dynastie qui les a supplantés, les Carolingiens ont gardé une meilleure image, celle d'un empire centralisé mais plus éphémère car la force de l'empire mérovingien fut justement sa souplesse, sa capacité à partager le regnum en sous-royaumes, Austrasie t Neustrie, Burgondie, avec à leurs têtes des membres de la dynastie, quitte à revenir à l'unité lorsqu'un monarque fort émergeait tels Clotaire ou Thierry, Childebert. ..Grégoire de Tours a raconté la guerre civile, la rivalité entre Frédégonde et Brunehaut (qui finit écartelée), de 568 à 613. Cette époque voit aussi l'émergence de l'aristocratie, au service de l'Etat, guerriers ou administrateurs ou fondateurs d'abbayes au VIIe siècle. Très riche d'informations et agréable à lire.
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Clovis et le vase de Soissons, le bon roi Dagobert, la lutte à mort entre deux régentes Brunehilde et Frédégonde, Charles Martel arrêtant les Arabes à Poitiers, les derniers rois fainéants ... Les images abondent, largement façonnées par les instituteurs de la Troisième République et popularisées par l'ouvrage d'Augustin Thierry : "Récit des temps mérovingiens » (1840).

Voilà un livre qui remet bien des pendules à l'heure ... et qui montre combien les travers politiques (on parle aujourd'hui de cleptocratie) des puissants perdurent siècles après siècles.

La précision de cet ouvrage universitaire contraste cependant avec le constat de la pauvreté des archives disponibles. L'utilisation du papyrus et non du parchemin a hélas fait disparaître la majorité des archives de l'époque, sans compter le prisme déformant des chroniques survivantes (Grégoire de Tours, Frédégaire, Grégoire le Grand, Paul Diacre, Michelet ...).

Il n'en reste pas moins vrai que la dynastie des mérovingiens occupa (plus ou moins directement, entre 451 – victoire de la coalition à la bataille des Champs Catalauniques contre Attila, à la suite de laquelle Mérovée, roi des Francs saliens, fut reconnu par Rome - et 751, sacre de Pépin le Bref) le trône du regnum francorum trois siècles durant, plus que toutes les autres dynasties françaises à l'exception des Capétiens.

Le système de gouvernement est alors fondé sur la prédation : captation puis redistribution du butin de guerre et du tribut des peuples asservis au profit des fidèles du roi, les grands qui forment l'aristocratie militaire des leudes. Mais les titres conférés (duc, comte, patrice) ne sont pas héréditaires. Il y a donc un fort turn over car la vie est courte en ces temps obscurs.

Le don de propriété aux leudes permet au roi de se constituer un réseau de pouvoirs. Ce sont eux qui manient de façon équilibrée les principes dynastiques et l'élection pour assurer la continuité de la lignée seule légitime issue de Clovis, quitte à pratiquer l'élimination physique de certains enfants rivaux et/ou de membres secondaires de la dynastie … qui constituent aussi une réserve en cas de vacance du trône.

A la mort de Clovis en 511, le monde franc est catholique. Il n'y a plus de paganisme ni d'hérésie arienne, même s'il existe d'autres croyances (hébreux, bonosiens en Burgondie, manichéens en Provence). le roi a pour charge de protéger les chrétiens vivant sur ses territoires, il est un agent du Ciel sur la terre.

Le rôle de l'Eglise et la diffusion de la foi aux marges de l'empire est éminent comme le maillage de fondations religieuses auxquelles le roi fait don de terres. On se souviendra des importantes figures d'évêques que furent Cloud, Ouen, Eloi, Colomban, Loup, Wandrille, Léger, Boniface ... devenus saints.

A la mort du roi, il n'existe pas de principe de primogéniture. On partage son territoire (Teilreiche) entre ses fils. Si l'héritier est trop jeune, la reine est flanquée d'un conseil de régence, dont le maire du Palais.

C'est ainsi qu'Ebroïn, maire du palais de Neustrie, prend l'essentiel des décisions sous Clotaire III. Au VIIème siècle, les trônes comme les fonctions de maire du palais se transmettent entre parents car outre le pouvoir, il y a des enjeux financiers importants, même si les concessions de terres reviennent au fisc royal à chaque rotation.

Pépin II de Herstal est le maire du palais d'Austrasie sous le roi Thierry III.
Mort en 714, il laisse deux fils, Charles (Martel) et Childebrand. Il ouvre une période de recomposition rapide et presque complète du royaume, après des années de guerres civiles.

Charles, brillant chef de guerre, défait les Arabes – entrés en Espagne en 711 - à Poitiers en 732. Une occasion de se débarrasser d'Eudes, duc d'Aquitaine, considéré (par lui !) comme païen. En 736, Charles prend le contrôle de la Provence, Avignon, Narbonne. En 737, à la mort de Thierry III, Charles gouverne seul.

Quelques mois avant sa mort, ses deux fils Carloman et Pépin III le Bref sont associés au pouvoir de maire du palais, ils intronisent un nouveau roi : Childéric III. Carloman, pourtant l'aîné de Pépin, se retire dans un couvent. Childéric est déposé. Pépin est couronné avec l'accord du pape Zacharie et des leudes puis sacré roi des Francs en 751. Père de Charlemagne, il est le fondateur de la dynastie carolingienne.

Une épopée qui relève du miracle, celle d'une stabilité globale due à une adaptation intelligente des élites franques à un milieu changeant …
Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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DumézilBruno – "L'empire mérovingien : Ve-VIIIe siècle" – éd. Passés composés / Humensis, 2023 – ISBN 978-2-3793-3271-5
– format 22x15, 348p. – Généalogie simplifiée des Mérovingiens pp. 26-27 ; Annexes pp. 293-346 : abréviations, notes, sources pp. 315-319, bibliogr. pp. 321-332, lexique pp. 333-334, liste des mérovingiens régnants p. 335, index pp. 337-343

Un ouvrage fort bien écrit, élaboré, compréhensible pour comprendre le "regnum francorum" qui s'étend des règnes de Chlodion, Mérovée et Childéric, fondateurs de la lignée qui s'impose avec l'avènement de Clovis, roi des francs, baptisé par l'évêque catholique Rémi :
"Certes, les Francs n'étaient pas les seuls dans ce cas : les rois burgondes étaient eux aussi devenus catholiques dans les années 430. La grande originalité des Mérovingiens fut plutôt que le choix de l'orthodoxie romaine ne se trouva jamais remis en cause" (p. 111)

Ils surent habilement reprendre l'héritage administratif de l'empire romain, tout en le combinant avec les usages des tribus franques (composer avec la noblesse incarnée dans les "leudes"), en sachant rester regroupés autour d'un souverain tout en acceptant la présence de "Teilreiche" plus ou moins autonomes ou les régences exercées le plus souvent par les reines mères...
Ils finirent par s'effacer vers la fin du VIIIème siècle devant les pippinides fondés par Charles Martel, maire du Palais et son fils Pépin le Bref, permettant l'avènement des Carolingiens et la constitution de l'empire de Charlemagne (Karl der Grosse, empereur germanique), dont les limites sont fort semblables à celles de l'Union Européenne...

Ce sont les Francs qui assurèrent et assumèrent le basculement de l'Europe romaine-méditéranéenne s'étendant sur le pourtour de la "mare nostrum" vers l'Europe du Nord essentiellement germanique.
Face à ce que les francophones appellent peu élégamment "les invasions barbares", que les germanophones nomment bucoliquement les "Völkerwanderungen", l'Empire romain d'Occident s'effondre, se délite, se morcelle à partir du début du quatrième siècle.
La petite tribu des Francs va récupérer la mise tout au long du cinquième siècle, et les Mérovingiens dirigent les destinées du "regnum francorum" jusque vers le fin du septième siècle : les carolingiens prennent la suite vers le huitième siècle. Il faut attendre le quinzième siècle pour voir l'Europe et sa civilisation partir à la conquête du monde...

Aujourd'hui, à l'heure où l'Europe s'effondre de nouveau faute d'avoir la moindre nouvelle vision du monde à proposer, l'ouvrage de Dumézil apporte des lumières sur ce que furent ces cinq premiers siècles de cette période que les historiens du dix-neuvième réunirent sottement sous le vocable inapproprié de "Moyen-Age".
Un ouvrage captivant et fort bien rédigé.
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Après le baptême de Clovis puis une somme sur les Barbares, Bruno Dumézil se consacre à un autre sujet de notre patrimoine, les Mérovingiens. Avec le peu de sources qui lui sont offertes, ce brillant chercheur retrace, dans cet ouvrage, la naissance, l'essor puis la fin de cet empire qui a su perdurer trois siècles.
Dans l'Antiquité tardive, personne n'aurait soupçonné que les Francs dirigeraient un empire en Europe. Car les francs désignaient alors des entités diverses, séparées et éparpillées. Ainsi la première action salutaire des Mérovingiens fut de les rassembler et de leur fournir une base territoriale, ce qui donna un empire.
Loin des idées reçues selon lesquelles les rois francs administraient mal et violemment la chose publique, ils ont développé, dès le VIe siècle, un grand réseau d'administrateurs, de comtes et une justice stable. de même, les mérovingiens ont rapidement suivi le modèle du prince chrétien en propageant, au moyen notamment de conciles, une unité religieuse sans toutefois l'imposer.
Durant les trois siècles de son empire, entre le Ve et le VIIIe siècle, le monde occidental a bien changé mais l'empire mérovingien a su perdurer. La durabilité de cet empire est à envisager comme une adaptation intelligente des élites franques à un milieu changeant. Car, pendant leurs règnes, ils ont créé puis expérimenté de nombreuses stratégies politiques qui leur ont permis de prospérer et de se maintenir au pouvoir.
Ainsi, Bruno Dumézil en visant toujours à rétablir la vérité historique au vu des dernières recherches et face aux écoles de pensées de la fin du XXe siècle, cherche à nous montrer que les Mérovingiens sont certes issus de diverses traditions mais ont surtout fait preuve d'une grande innovation.
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critiques presse (4)
LaViedesIdees
20 février 2024
Le royaume franc qui émerge entre le VIe et le VIIIe siècle a promu la diversité politique et religieuse, avant que les Carolingiens mettent fin à ce pragmatisme. Entre Rome et Charlemagne, l’Europe a-t-elle connu un empire ?
Lire la critique sur le site : LaViedesIdees
NonFiction
13 février 2024
Bruno Dumézil démontre avec brio que le royaume de Clovis est un empire, dont le succès repose sur le consensus, des règles dynastiques souples et un art du gouvernement adapté aux territoires.
Lire la critique sur le site : NonFiction
LeMonde
29 septembre 2023
Comme le rappelle malicieusement Bruno Dumézil, les Mérovingiens furent plus prudents qu’il ne l’est lui-même en intitulant sa décapante synthèse "L’Empire mérovingien".
Lire la critique sur le site : LeMonde
LeFigaro
18 septembre 2023
L’historien examine la permanence du premier royaume franc qui, à l’inverse de la plupart des autres monarchies barbares, a marqué pendant trois siècles l’histoire européenne.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
En proposant des dignités, des offices et des commandements régionaux, les rois mérovingiens avaient surtout réussi à se positionner comme les véritables créateurs de l'ordre social. Or, depuis l'effacement de l'Empire romain en Occident, la société peinait à se structurer autrement que par la pratique de la guerre ou l'accumulation de richesses. En l'absence d'un cadre institutionnel pérenne, il fallait sans cesse démontrer son prestige, sa fortune, sa capacité à nuire ou à protéger ... Autour des années 500, le faste ostentatoire des sépultures avait considérablement augmenté, sans lien avec les nouveaux besoins religieux et même en décalage avec un christianisme qui se désintéressait de ces dépôts funéraires ; sans doute ce phénomène traduit-il le stress des familles du nord des Gaules, pour qui chaque changement de génération constituait un risque de remise en cause du statut obtenu. Or, ce faciès archéologique dit "des tombes de chefs francs" s'effaça dans le courant du VI°s. A mesure que le pouvoir mérovingien s'enracinait, les familles cessèrent de redouter les lendemains : une transmission paisible des patrimoines serait assurée, les enfants des puissants auraient à leur tour leur chance de recevoir fonctions et honneurs. En retour, ces notables devenus officiers royaux témoignèrent leur loyauté à la dynastie qui les avait confortés dans leur situation. Cela n'interdisait pas au Palais de maintenir un peu de mobilité sociale en privilégiant parfois une élite de compétence sur une élite de naissance ; ce faisant, ils évitaient d'être dépendants d'un groupe social unique et étendaient encore le nombre de leurs obligés. En somme, les premiers successeurs de Clovis surent se rendre utiles ; ce fut sans doute pour cela qu'ils seraient rapidement considérés comme indispensables.

pp. 109-110
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Sur le plan géopolitique, le Regnum Francorum profita de ne pas assumer sa stature impériale. Byzance, encore capable de mener des opérations lointaines jusqu'au début du VII°s, n'aurait pas permis qu'un souverain chrétien usurpe le titre d'Auguste. De plus, un empire proclamé aurait suppose un investissement militaire fort et constant pour le conserver, ce dont les Mérovingiens se seraient sans doute révélés incapables. Le monde franc se contenta de se donner des airs d'empire, de jouer avec les mots et les symboles, notamment à l'époque de Théodebert I° et de Dagobert I°, mais sans en devenir prisonniers. L'espace entre le Rhin et la Loire constituait un territoire vital et intangible, mais les marges de la domination restaient plus floues. Dès lors, la perte de l'Italie padane ou l'autonomisation des duchés de l'Est ne constituèrent pas des drames. En outre, puisque le véritable coeur du Regnum battait dans une petite région capitale, les Francs n'eurent pas à gaspiller leurs forces pour conserver des lieux de mémoire disputés, comme l'Empire byzantin qui s'épuisa à récupérer Rome sous Justinien ou à reprendre Jérusalem à l'époque d'Héraclius. Le raid arabo-musulman de 732, qui avait touché Poitiers et menacé Tours, demeure isolé : le pouvoir central franc y répondit avec force, sans doute dans le contexte de la rivalité avec le duc d'Aquitaine, mais peut-être aussi parce que cette incursion fut perçue comme une menace sur sa propre existence.

pp. 287-288
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Parce qu’il écrit en moraliste chrétien, Grégoire de Tours entend montrer les péchés des puissants et leur suite logique, le châtiment divin qui frappe les coupables.

Par conséquent, il s’attarde à décrire les situations les plus scandaleuses, au mépris peut-être du fonctionnement ordinaire du royaume. D’autres regards sont pourtant possibles.

Reprenons par exemple le récit d’Agathias, qui écrit depuis la Constantinople de Justin II (565-578). Ses Histoires entendent imiter Thucydide, Polybe et Procope, tout en instillant l’idée que le succès d’un État s’explique avant tout par l’usage de l’intelligence et de la justice.
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De façon un peu paradoxale, la mémoire européenne du XXe siècle a érigé le monde de Charlemagne en âge d'or, alors que son empire avait été construit par la conquête et s était pas révélé viable. Diffus mais solide, largement consensuel, le royaume des Mérovingiens apparaîtrait comme un modèle plus stimulant pour une époque de flottement des identités, d équilibres incertains entre l'expression des forces centrifuges et le souhait d’ institutions communes,. P. 290.
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Parce qu’il écrit en moraliste chrétien, Grégoire de Tours entend montrer les péchés des puissants et leur suite logique, le châtiment divin qui frappe les coupables.

Par conséquent, il s’attarde à décrire les situations les plus scandaleuses,
au mépris peut-être du fonctionnement ordinaire du royaume.
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Vidéo de Bruno Dumézil
Bruno Dumézil vous présente son ouvrage "Charlemagne" aux éditions PUF. Entretien avec Pierre Coutelle.
Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/2891922/bruno-dumezil-charlemagne
Note de musique : © mollat Sous-titres générés automatiquement en français par YouTube.
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