AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,23

sur 865 notes
5
108 avis
4
78 avis
3
16 avis
2
3 avis
1
0 avis
Un seul univers mais deux grandes cités : Gemina, capitale du sud, et Dehaven, capitale du nord. Deux auteurs, Guillaume Chamanadjian et Claire Duvivier, ayant chacun écrit une trilogie qui se déroule dans une de ces deux capitales. On se retrouve aujourd'hui avec une chronique du premier tome de Capitale du Sud : le sang de la cité, de Guillaume Chamanadjian, paru aux Forges de Vulcain.

Passé un temps, je voyais le sang de la cité et Citadins de demain absolument partout. Difficile de ne pas se laisser tenter mais je suis toujours très méfiante avec ces livres dont on parle trop. Ce n'est pas un gage de qualité et comme, en outre, j'ai tendance à en attendre beaucoup, je suis bien souvent déçue. Alors j'ai attendu que les copines blogueuses s'emparent du phénomène, histoire d'avoir leurs avis sur la question. Vous vous doutez bien que, puisque nous sommes là aujourd'hui, c'est que j'ai fini par craquer.

Le sang de la cité se déroule à Gemina, cette fameuse capitale du Sud, une ville très animée où la plupart des gens sont de bons vivants. Ils sont à la fois gourmets et amateurs de bon vin. La cité est découpée en différents quartiers administrés par des Ducs, qui sont aussi des chefs de clans aux noms d'animaux : la tortue, l'hirondelle, le lion, etc. … On suit les pas de Nox, jeune homme au mystérieux passé puisque sa soeur et lui ont été trouvés et délivrés par le Duc Servaint dans le sous-sol de la cité quand ils étaient petits. Il a choisi de les élever et de prendre soin d'eux presque comme s'ils étaient ses propres enfants.

Nox est un personnage très attachant, bien que très classique. Il est l'archétype du héros de fantasy qui voit un jour le ciel lui tomber sur la tête lorsqu'un étrange pouvoir lui vient. le sien, c'est d'être capable de percevoir le chant de la cité et, grâce à lui, de passer dans un autre monde, un monde où Gemina est différente, déserte de toute vie humaine, mais envahie par une brume qui abrite une créature mortelle. Effrayé tout autant qu'intrigué, il réalise très vite qu'il a tout intérêt à garder ça pour lui, d'autant plus que le Duc Servaint semble s'être mis en tête de le faire participer à ses combines politiques.

Le sang de la cité est ce qu'on appelle un tome d'introduction. le rythme est assez lent, l'auteur cherche avant tout à nous faire découvrir à la fois son univers et la cité de Gemina. Pourtant, on ne s'y ennuie pas. Les personnages sont certes nombreux mais pas trop non plus, les particularités de la ville sont intrigantes, les intrigues politiques bien amenées, et la petite touche de magie apportée par le Nihilo bienvenue. La tension monte tout du long et c'est là que je me félicite : le second tome vient de sortir et je vais pouvoir le découvrir très vite !

Un roman classique par certains côtés mais finalement assez original par d'autres, notamment la cité, qui est vraiment un personnage à part entière. Une cité populaire, animée et qui n'est pas sans danger. Un rythme lent mais des personnages intéressants et une intrigue dont j'ai hâte de découvrir la suite. En somme, un très chouette moment de lecture.
Lien : https://etemporel.blogspot.c..
Commenter  J’apprécie          90
Nous sommes plongé à Gemina, une cité d'inspiration méridionale qui sent bon le raisin et qui rappelle les cités-états italiennes de la Renaissance, avec pleins de familles qui se disputent le pouvoir dans la cité. Nox, notre héros, a été recueilli dans des circonstances mystérieuses, par l'un des ducs de la cité qui a de grandes ambitions pour la ville. A travers ses yeux, nous allons découvrir la vie politique de la cité, mais aussi – et c'est ce qui m'a charmée – le quotidien de ses habitants, Nox étant commis pour une épicerie fine. On se balade au grés de ses livraisons dans les ruelles labyrinthiques de la cité, en découvrant les légendes de la ville, en buvant du vin, en jouant à la Tour de Garde (une sorte d'échecs) et en mangeant de bons petits plats ensoleillés. Bien sûr, Nox va ensuite se retrouver entrainé dans des intrigues politiques qui le dépasse, tel un pion politique qui peu à peu ouvre les yeux sur son rôle dans la stratégie de son duc (ce qui a un côté assez déroutant : nous sommes du coup plongés dans un livre où l'on ne comprend aucun tenant et aboutissant politique au début, et où l'on découvre les choses par bribes). Il va également découvrir des phénomènes mystérieux l'emmenant dans une cité miroir de la ville, lugubre, et dont le secret semble être connu de vieux rendus fous et inquiétants. Mais tout ceci est délivré par petites touches, avec plein de poésie.

Si j'avais un reproche à faire, ça serait sur le style auquel il a fallu que je m'habitue : je l'ai trouvé au début légèrement ampoulé et emphatique. Mais une fois habituée, plus moyen de lâcher le bouquin.

Au final, il ne se passe pas énormément de choses dans ce tome, très introductif (qui se conclue quand même sur un sacré feu d'artifice qui donne envie de lire la suite vite vite… mais comme la suite n'est pas publiée, il va falloir patienter xD ). Mais j'ai aimé cette fantasy bucolique, pleine de poésie et de bonne chère. Une sorte de pendant à "Gagner la guerre", pour les amateurs, en plus doux et plus authentique, où la cité est la vraie héroïne de l'histoire.
Commenter  J’apprécie          90
Un jour, Claire Duvivier, auteure du magistral roman "Un long voyage", fait le voyage jusqu'"Aux Forges de Vulcain", son éditeur. Accompagnée de Guillaume Chamanadjian. Son compagnon. Qui n'a jamais publié de roman. Ce qui rend d'emblée sceptique l'éditeur, car le couple lui "vend" un projet de saga fantastique écrit à quatre mains. Avec pour trame deux cités-États portuaires. L'une au nord, Dehaven, sorte d'Amsterdam matinée d'Anvers, cité austère. L'autre au sud, Gemina, réplique de la ville de Sienne, plus latine.
Seul point commun : une passion réciproque de leurs habitants pour un jeu de société nommé "La tour de garde".


Bon an, mal an, l'éditeur se laisse convaincre. Guillaume Chamanadjian écrit donc le cycle "Capitale du sud", et Claire Duvivier "Capitale du nord".

"Le sang de la cité" narre les pérégrinations de Nox, commis d'épicerie fort dégourdi. Lui et sa soeur Daphné ont été recueillis par Servaint, le Duc de la maison de la Caouanne, après que celui-ci ait occis Adelphe du Souffleur, père putatif de Nox et Daphné.

Or, le duc de la Caouanne est tout, sauf une tortue. Il ambitionne de construire un canal qui séparerait Gemina en deux, afin d'acheminer des marchandises vers le port plus facilement. Ce qui ne plaît pas du tout aux maisons du centre de la cité, en raison du manque à gagner qu'occasionnerait ce canal, leurs droits de passage sur les marchandises passant sur leurs prés carrés risquant d'être supprimés.

Pendant ce temps, Nox découvre que son histoire personnelle ressemble étrangement à certaines vieilles légendes contées dans la cité. Et qu'il a le pouvoir de passer dans le Nihilo, un monde parallèle. Pouvoir extrêmement pratique mais fort dangereux. Enfin, Servaint nomme Nox négociateur de la maison de la Caouanne, mission impliquant autant art de la diplomatie que maniement de dagues.

Mélange de Game of Thrones (sans café Starbucks), House of Cards, Harry Potter et festin de fin d'aventures dans Astérix, on ne lâche "Le Sang de la Cité" des mains que pour commencer "Trois Lucioles", la suite de cette histoire.
Commenter  J’apprécie          80
C'est avec plaisir que je joins ma voix au choeur de chroniques positives concernant Capitale du Sud ! Pour preuve, je l'ai dévoré en deux jours, malgré mes questionnements du début. En effet, je me demandais où Guillaume Chamanadjian allait bien pouvoir nous emmener, tant l'intrigue évolue subtilement.

Et puis... Je me suis attachée à Nox, héros attendrissant, ai touché du bout des doigt les complots qui se tramaient avec l'envie d'en savoir plus et, enfin, j'ai assisté au dénouement de choc. Alors, je n'ai qu'une hâte : découvrir la suite !
Lien : https://lesfantasydamanda.wo..
Commenter  J’apprécie          80
Le Sang de la Cité c'est le premier tome de la trilogie Capitale du Sud mais c'est aussi le tout premier volume de la série La Tour de garde écrite conjointement par Guillaume Chamanadjian et Claire Duvivier qui s'occupe en parallèle de la trilogie Capitale du Nord.
Un monde fantasy, deux capitales : l'une au nord (Dehaven) et l'autre au sud (Gemina)… Chacune avec ses spécificités et ses personnages. Vous pouvez lire les 2 trilogies indépendamment mais je pense qu'il vaut mieux passer de l'une à l'autre car elles se renvoient la balle.
C'est bon, vous avez tout saisi ?

Le Sang de la cité = le tout premier tome donc.
On y rencontre surtout Nox, un adolescent qui court les rues pour faire des livraisons (de vin notamment). Il a été sauvé enfant (ainsi que sa soeur) de l'emmurement par Servaint de la Caouane auquel il se sent redevable et qui l'entraîne petit à petit et subtilement, dans des complots entre les différentes maisons se partageant la ville (chacune d'elles est représentée par un animal totem, celui de la Caouane est la tortue).
Nox est un pion précieux sur l'échiquier mais il n'est pas si crédule et soumis que les adultes qui l'entourent semblent le penser… Et surtout, il a une arme secrète (un pouvoir…) que personne ne soupçonne, pas même lui ! Il est intimement lié à la ville qu'il connaît comme sa poche… ou presque !

Ce n'est pas un coup de coeur mais j'ai aimé être transportée dans tous les recoins de cette capitale du sud pleine d'odeurs et de couleurs et découvrir les rouages de la manipulation politique.
La comparaison avec le merveilleux Gagner la guerre de Jean-Philippe Jaworski n'est pas usurpée : importance de la ville et de ses moindres recoins, atmosphère de Renaissance italienne, complots à tous les coins de rue… mais là où Benvenuto est un salopard adulte aux agissements plus que limites, Nox est un jeune homme à peine sorti de l'adolescence – mais pas totalement naïf pour autant – catapulté dans un monde de manipulations. le discours est donc un peu moins brutal chez Guillaume Chamanadjian (quoique…) et l'engagement du lecteur fatalement assez différent.

Nox est malgré tout un héros plutôt attachant et à mon avis encore plus prometteur que ce qu'on découvre ici (je pense qu'il a des ressources insoupçonnées) ; c'est un personnage que j'ai aimé suivre d'un bout à l'autre de Gemina et que j'ai envie de retrouver dans le tome suivant…
Daphné, sa soeur particulièrement déséquilibrée nous réserve aussi son lot de surprises, j'en suis sûre. Assez en retrait dans ce tome introductif, elle tire à mon avis bien davantage les ficelles que l'auteur veut nous le laisser voir. Je suis curieuse d'en savoir plus bien que son comportement me donne le frisson car me mette particulièrement mal à l'aise !

Côté style, c'est là aussi plus que prometteur. Pour un premier roman, chapeau bas. C'est travaillé sans être imbuvable, descriptif et visuel juste comme il faut, rythmé au bon moment, assez intrigant pour titiller la curiosité du lecteur sans tout lui révéler sur un plateau…
Mon seul bémol vient peut-être de la longueur des chapitres car j'avoue les préférer plus courts, mais c'est une préférence de lectrice qui m'est toute personnelle.

Bref, ce n'est pas un coup de coeur car il m'a manqué ce je-ne-sais-quoi de percutant qui aurait laissé une trace indélébile dans ma mémoire mais c'est assez bien joué pour me donner envie de continuer l'aventure auprès de Nox. Et c'est encore plus bien joué car avant ça, je me plongerai dans l'autre trilogie pour découvrir la capitale nordique, semble-t-il beaucoup plus froide et structurée ! Mission accomplie donc.
Et vous, avez-vous succombé à la Tour de garde ?
Lien : https://bazardelalitterature..
Commenter  J’apprécie          81
Le sang de la cité est un premier volume et, originalité, non seulement celui d'une trilogie Capitale du Sud mais d'une double trilogie. Son pendant est consacré à la Capitale du Nord et écrit par Claire Duvivier ( Un si long voyage). On peut dire que les éditions Aux Forges de Vulcain nous gâtent.
Guillaume Chamanadjian se consacre donc à Gemina, assez inspirée de l'Italie. Dans cette cité-état, de grandes Maisons aux noms d'animaux sont installées dans de vastes quartiers qu'elles n'entendent pas partager. Et tout débute par un retour en arrière ; une guerre gagnée par la Maison de la Caouane (la tortue). le Duc Serviant la gagne et anéantit le Souffleur. Il délivre aussi deux orphelins dont nous allons suivre la vie : Nox (pour Nohamux) et Daphné. Les deux enfants deviennent les protégés du Duc pour servir ses intérêts politiques.
Mais, comme dans L'assassin royal ou dans le Cycle de Syffe, nous ne l'apprendrons qu'au fil du livre puisque nous suivons essentiellement le parcours et le point de vue de Nox — et ses pérégrinations au sein de la Cité. C'est bien là la grande force de ce roman qui mêle les courses de Nox dans les ruelles, ses expériences culinaires (savoureuses). La Cité est particulièrement vivante avec les parfums, les saveurs, les dialogues.
On ne se perd pas dans des descriptions à n'en plus finir ou dans des considérations sur le pouvoir ; on vit ce qui se trame, on suit les pas de Nox ( une grande force du « show don't tell » une fois de plus).
J'ai apprécié ce roman jusqu'au bout ; une fois plongée dedans, je ne pouvais plus en sortir…

Une vraie réussite et, pour moi, l'un de mes coups de coeur de cette année.
Lien : https://imaladybutterfly.wor..
Commenter  J’apprécie          80
Capitale du Sud nous plonge dans un univers immersif, dans une cité ensoleillée, les petites ruelles pavées, au milieu des champs de vigne et surtout : des complots.

Nous suivons le personnage de Nox, retrouvé enfant dans un sous-sol avec sa soeur puis recueilli par le Duc Servaint et ses suivants. Ce personnage est somme toute assez classique : tantôt loyal, courageux, effrayé, perdu, généreux, mais il garde sa part de mystère et m'a très vite intriguée. On se prend facilement d'affection pour sa bonne volonté et sa fraîcheur. Les autres personnages sont bien construits et semblent chacun à leur place, comme des pions à la tour de garde (jeu auquel s'adonne les gens de la cité). L'évolution de Nox et ses doutes grandissants sont parfaitement gradués et crédibles.

Le rythme est très contemplatif, avec de long chapitre et une avancée lente, j'avoue que c'est le gros défaut du livre : un manque de rythme. le vocabulaire de l'univers peu expliqué, c'est assez mystérieux, mais on arrive quand même à suivre et on finit par comprendre quel mot correspond à quoi. Je pense qu'il faut quand même être un peu habitué aux fantasy.

J'ai adoré le décor de la cité qui m'a tout de suite embarquée, l'ambiance était très chouette et témoignait d'une influence du sud de la France. le mystère autour du narrateur a vite attiré mon intérêt et j'ai beaucoup aimé ce personnage, ainsi que les autres. J'ai adoré la fin avec le côté complots et le climax qui grimpe vite. Sur la fin, le rythme est très bien géré et on sent bien l'étau se refermer sur les personnages. le style était dépourvu de défaut. le rythme était dommage, mais j'ai adoré tout ce qui était autour et pour moi ça a largement compensé ! Une excellente lecture.
Commenter  J’apprécie          80
Petite merveille d'écriture, d'univers fantastique et de projet. Au sein de cette cité régie en quartiers appartenant chacun à des clans, un ordre politique est en balance constante au fil des projets d'infrastructures qui se font et se défont. Une mystérieuse origine entoure la naissance du héros, Nohamux et sa soeur, qu'on imagine découvrir dans les tomes qui suivront. Les personnages sont très attachants et plein de défauts qui nous les rendent proches. Nohamux a de légères accointances avec Fitz, de la série L'assassin royal.
Commenter  J’apprécie          70
La Cité vue à travers les yeux ( et les jambes) de Nox est une mégalopole surpeuplée, constituée de multiples duchés, protégée par deux murailles immenses. Commis d'épicerie sur le port- mais pas que- Nox est lié depuis son enfance à la maison de la Caouane, la tortue de mer. Il partage son temps entre livraisons de vins prestigieux et sessions de poésie avec ses amis. Suite à un coup d'éclat, il hérite d'un livre de poésie extraordinaire, au chiffrage mystérieux, qui raconte l'origine de la Cité. Très vite, Nox se rend compte que le texte fait écho à sa propre histoire. Malgré lui, il se retrouve emporté dans des enjeux politiques qui le dépassent, et confronté à la part sombre de sa ville, une cité-miroir peuplée de monstres.
Tout en appartenant au registre fantasy, ce roman n'en est pas moins une analyse sans concessions de la place de la politique et du pouvoir dans une société. Il est certain que je vais me procurer les prochains opus.
Commenter  J’apprécie          70
J'ai été très agréablement surprise par ce roman, qui a su me faire vivre ma lecture. Guillaume Chamanadjian nous dépeint une cité du sud vivante et rayonnante, pleine d'odeurs et de couleurs. Dès les premières pages nous suivons le personnage de Nox qui crapahute à travers les rues de Gemina, pour livrer des paquets aux clients de l'épicerie Saint-Vivant pour laquelle il travaille. du vin, de la nourriture, l'ambiance chaleureuse est le plus gros atout de ce roman, qui offre une immersion vraiment très intéressante.

Gemina est une cité divisée en de très nombreux clans portant des noms d'animaux. Rapidement nous découvrirons quels sont les rapports entre les maisons du port, et Nox, appartenant au clan de la Tortue, va malgré lui devoir apprendre comment fonctionne la politique, car à cause des agissements de sa soeur, il devra faire preuve de diplomatie, et apaiser les tensions, sous le regard de son père adoptif, duc de son clan.

Ce roman possède également une petite touche de mystère, avec la présence d'une sorte de magie liée à une légende, que Nox découvrira par hasard, à travers la lecture d'un poème. Il serait dommage de trop en dévoiler sur cet aspect de l'histoire, mais l'équilibre entre complot et surnaturel est parfait.

J'ai tout aimé dans ce roman. La découverte du passé de Nox, la perspective d'en savoir plus petit à petit sur de nombreux clans, la sensation de sentir la chaleur de la pierre sous mes pieds en marchant le long du port, le mystère installé par les découvertes plus qu'étranges de Nox, dans une ville où il pensait tout connaître...

C'est donc un premier roman que j'ai trouvé parfaitement écrit, et que je recommande absolument si vous voulez faire un petit séjour au soleil, dans un roman de fantasy qui prend son temps, sans toutefois que l'on ai le temps de d'y ennuyer. C'était une très belle découverte, et je trouve le projet de la tour de garde passionnant !

Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          70




Lecteurs (2199) Voir plus



Quiz Voir plus

La fantasy pour les nuls

Tolkien, le seigneur des ....

anneaux
agneaux
mouches

9 questions
2490 lecteurs ont répondu
Thèmes : fantasy , sfff , heroic fantasyCréer un quiz sur ce livre

{* *}