L’ouvrage est le fruit d’un séminaire organisé pendant trois ans (entre 2008 et 2010) au Centre d’études du vivant de l’université Paris Diderot. A un lecteur non averti, les diverses contributions réunies par Laurent Cherlonneix pourront parfois sembler redondantes tant leurs objectifs se recoupent. Mais la raison des effets de cette paradoxale diversité redondante tient au sujet d’étude même de ce livre, à savoir le vivant.
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