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4,39

sur 1850 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Des bons ou très bon romans, il y en a un paquet. Mais Max est au-delà. C'est un roman vraiment exceptionnel. Un roman qu'il est très difficile de lâcher, un roman qui reste profondément gravé, un roman que l'on aimerait faire découvrir à la terre entière, aux adolescents comme aux adultes. Car, oui, Max est étiqueté « littérature jeunesse » et il serait vraiment dommage de passer à côté de ce titre en raison de sa classification. Dans le panel des oeuvres traitant de la Seconde Guerre mondiale, il occupe une place à part en abordant la question des Lebensborn, ces pouponnières nazies créées dans le but d'accélérer le développement de la race aryenne. Max en est un pur produit. Il n'est qu'un foetus au moment où il commence à nous raconter son histoire, mais du haut des quelques centimètres que mesure son corps, il est déjà un parfait petit nazi. Détestable, arrogant, sans états d'âme. En un mot : endoctriné. Sorti le premier du ventre maternel, avant tous les autres bébés conçus, il se rêve en fils spirituel du Führer et il n'aura de cesse, tout au long de son existence d'enfant, de penser et d'agir comme le digne héritier qu'il pense être, jusqu'à ce que la confiance aveugle qu'il porte au régime nazi et à son chef ne vienne se heurter à des pensées et à des émotions nouvelles et déstabilisantes…
Max n'est pas un documentaire historique mais une oeuvre de fiction qui se revendique comme telle. Aussi, le lecteur qui veut en apprendre davantage sur les Lebensborn ira consulter des ouvrages historiques et Max aura eu le mérite de le pousser à cette curiosité. C'est le premier point fort du roman : faire comprendre au lecteur que derrière cette narration fantasque consistant à donner la parole à un foetus se cache une réalité historique glaçante. le personnage de Max est le deuxième point fort. À de multiples reprises, la franchise et la spontanéité de l'enfant peuvent faire sourire : il apparaît comme une pièce dénuée de toute capacité à la réflexion de la mécanique bien huilée du régime nazi. Il raconte les choses telles qu'il les voit, sans aucun filtre. Mais le sourire qui se dessine sur les lèvres du lecteur est généralement dépourvu de légèreté car le cynisme quasi permanent de Max fait littéralement froid dans le dos. Et pourtant, on se surprend, parfois, à l'apprécier… ou du moins à apprécier quelques-unes de ses réactions qui viennent trahir, sans que lui-même ne le sache ou ne le comprenne, son appartenance au régime qu'il porte aux nues.
Max est incontestablement un roman qui fait réfléchir. Lisez-le !

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Glaçant ! Ça a beau être un livre jeunesse,j'en ai fait des cauchemars ! Il faut dire que contrairement à Max, rebaptisé par le Führer en personne ,Konrad von Kernesol,je ne suis pas de pure race aryenne et j'ai la faiblesse de ressentir des émotions incontrôlables !
Sarah Cohen_ Scali a eu l'idée très originale de traiter le sujet du programme "Lebensborn" mis en place par Himmler en 1933 en Allemagne, et l'enlèvement d'enfants polonais et des pays baltes à partir de 1940, par une fiction qui donne la parole à Konrad, avant même sa naissance et jusqu'à ses dix ans. Cette idée géniale permet au lecteur de s'immerger dans la pensée Nazie et d'en approuver toute l'abjection. C'est un roman hors du commun. Il comporte trois parties mais pour moi il est divisé en deux : avant et après la rencontre de Konrad avec Lukas ,un jeune juif polonais. L'auteure a su construire un roman truffé d'informations historiques extrêmement intéressantes, tout en développant des portraits psychologiques d'une rare intelligence.
Les conflits intérieurs du jeune Konrad m'ont permis de ne plus cauchemarder car ils témoignent d'une humanité qui n'est pas totalement anéantie...
A lire absolument et même s'il est dur à faire lire aux jeunes gens car au delà du nazisme,il alerte sur la nécessité absolue de résister à tout endoctrinement. C'est Diablotino,la spécialiste de cette époque qui m'a convaincue de lire ce roman....Merci merci !!!
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Mais quelle lecture !!! Une histoire qui glace le sang, d'autant plus qu'elle est basée sur des faits historiques... Max, ou plutôt devrait-on l'appeler Konrad est un bébé parfait, né dans un Lebensborn, cette lubie d'Hitler pour créer son armée parfaite... Des enfants nés de parents qui ont été sélectionnés avec des critères précis de ''purs'' aryens. Une horreur, la déshumanisation la plus criante d'un acte d'amour et de la vie... Bref, passons... Donc, Max naît dans ce contexte. le jour où Hitler fête son anniversaire... il sera donc baptisé par le Furher en personne. le bouquin est coupé en 4 parties... La première, la vie dans ce Heim, l'usine à bébé... Max y apprendra à faire fi des sentiments humains, tel que l'amour... vient ensuite la 2e partie, très dures, où cet enfant sert d'appât pour trouver de jeunes Polonais qui pourraient intégrés un programme où ils apprennent à devenir Allemands.. La 3e partie se déroule justement dans ces écoles où l'on enlève toutes substances à la différence et où l'on moule et éduque pour haïr les Juifs... Et puis, la 4e partie, dans ce Berlin dévasté, à la fin de la guerre, où ne reste que les regrets, les remords, la tristesse, les constats... Un texte fort, qui écorche, qui fait mal... dont personne ne sortira indemne, autant les lecteurs que les personnages... Il faut le lire, pour le souvenir...
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Un roman classé à la bibliothèque chez les ados.... Je suis un peu surprise qu'un tel roman soit dans cette catégorie, peut être car le narrateur est un foetus, un bébé , un enfant.... mais si l'on ne connait pas L Histoire ni le contexte je pense que ce roman porte moins.

Max soit Konrad est le représentant en os de la doctrine Nazie, il pense, il respire et il vit pour son mentor. Ses actes et pensées sont atroces même si l' on a tendance à se dire que ce n'est qu'un enfant.

Ce roman est pour moi un coup de coeur, malgré le contexte . C'est une remise à niveau de nos cours d'histoires en quelque sorte.

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Max est le premier enfant né dans le lebensborn de Steinhöring : ses géniteurs ont été sélectionnés pour accroitre la race aryenne. de sa naissance en 1936 à la fin de la Seconde guerre mondiale en 1945, on suit son parcours d'enfant endoctriné, aveuglé par la propagande, témoin des nombreuses expériences des nazis.
Ce roman ne peut laisser indifférent : l'histoire est racontée par ce bébé qui grandit sous le régime nazi, avec sa naïveté mais aussi sa détermination et son sentiment de supériorité. Peu à peu, on découvre à travers son regard les atrocités commises au nom de la politique natale d'Hitler : l'eugénisme, les kidnappings, la germanisation forcée...
Un roman qui choque, qui remue, qui interroge, à lire absolument !
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Mon avis : Quand on évoque la seconde guerre mondiale, on parle très peu du programme "Lebensborn" en Allemagne qui a été initié par Himmler. Fabriquer un enfant aryen avec des parents sélectionnés sur des mensurations bien précises, élevés dans des maisons, envoyés dans des camps d'entrainement et conditionnés selon les principes d'Hitler et du "Mein Kampf" pour garantir la future race allemande de blonds au yeux bleus. Une race supérieure et suprême.

Konrad von Kebnersel dit Max est né le même jour que le Fürher dans la maison de Steinhöring. Il était même en compétition avec un autre bébé mais il a gagné, il était minuit une quand il est sorti du ventre de sa mère. Attention ! il est le premier représentant de la futur race aryenne.

Max va nous raconter son histoire, de son état embryonnaire jusqu'à l'arrivée des américains dans Berlin, en passant par sa rencontre avec Lucas, un juif polonais blond au yeux bleus qu'il va considérer comme son frère.

Un roman historique sur la propagande allemande sur l'extermination des juifs, le nazisme. J'ai adoré la narration vu à travers les yeux d'un enfant. On suit sa détermination à être le meilleur, ses doutes, ses questions sur la nécessité d'être élevé par des parents. Max a pour mère l'Allemagne et son père est le Fürher en personne. il peut paraître d'une froideur extrême mais il est comme on l'a élevé, à l'inverse de Lucas qui survit grâce à sa froideur.

Un livre très bien documenté, j'ai beaucoup aimé aussi le côté neutre, l'auteur ne fait pas un procès d'intention, il nous raconte la vie de Max et de Lucas qui est triste et très touchante et on ne peut que compatir sur ces deux enfants. L'auteur nous montre que finalement aucun sort n'est enviable.

Il faut vraiment lire ce livre.

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Programme "Lebensborn" ... « La fabrique des enfants parfaits » comme le titrait l'express dans un article paru en 2012.., 8 000 enfants en Allemagne. 12 000 enfants en Norvège, Autriche, Belgique , Luxembourg et France ( Lamorlaye) . Nés dans les instituts Lebensborn ...auxquels viennent tristement s'ajouter 200 000 enfants polonais et ukrainiens enlevés ( arrachés, volés à leur famille) et germaniser de force. Entre 1933 et 1945, le III e Reich avait décréter de faire naître, de modeler, de dresser une nouvelle humanité. Eugénisme, hygiène raciale, démoniaque utopie criminelle. C'est à travers la voix d'enfants que Sarah Cohen Scali nous fait parvenir le témoignage de toutes ces victimes : Max enfant né dans une des pouponnières du lebensborn et Lukas enfant polonais rapté, tous deux enrôles dans une Napola ( établissements paramilitaires nazis) . Récit bouleversant, brûlant, terrifiant, nécessaire, utile. « Ce récit s'inspire de faits réels ». Témoignage donc. Car qui aurait pu donner la parole à ces enfants ? Enfants disséminés à travers l'Europe, livrés à leur propre sort lors de la débâcle du régime nazi, enfants cachés, enfants perdus, traumatisés, enfants aux identités effacées. Enfants jamais reconnus comme victimes. Oui, le récit est bouleversant. Et c'est à travers l'éveil de la conscience de Max que les mots nous parviennent. A travers sa mémoire à livre ouvert, et ce qui se présente devant nos yeux est effroyable. Mais ce qui terrifie dans tout cela c'est la non condamnation des responsables de cette monstruosité.
« En 1947-1948, Max Sollman ( directeur administratif du Lebensborn), Gregor Ebnor (médecin général SS ), et leurs complices ont été jugés à Nuremberg, mais le tribunal allié n'a pas retenu le « caractère criminel » du Lebensborn. Ils furent libérés à l'issue du procès ». . ;
Pas de crimes, pas de victimes...
Effroyable, insupportable verdict.
Max, est un livre important, qui rend un visage, une identité, une mémoire, à des enfants qui furent les victimes d'un régime européen fasciste.
«  N'oubliez pas que cela fut,
Non, ne l'oubliez pas :
Gravez ces mots dans votre coeur,
Pensez-y chez vous, dans la rue,
En vous couchant, en vous levant ;
Répétez-les à vos enfants,
Ou que votre maison s'écroule,
Que la maladie vous accable,
Que vos enfants se détournent de vous. »
Primo Levi, si c'est un homme, extrait.

Astrid Shriqui Garain

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Gros coup de coeur pour ce roman, que je découvre avec surprise classé dans la catégorie "jeunesse". Je ne le mettrais pas dans des mains trop jeunes, il faut vraiment une certaine maturité émotionnelle pour comprendre et ne pas rester trop choqué par cette lecture, que du reste je recommande pour tout grrrand adolescent-jeune adulte.
Une idée plus qu'originale, se mettre dans la peau d'un bébé encore à naître, petit narrateur qui nous mène dans la découverte de la vie jusqu'à ses neuf-dix ans.
A cette idée originale, on peut ajouter, dans le désordre, une écriture à la fois fluide, pleine de sous-entendus, belle pour dire l'horreur tout en pudeur ; une thématique autant horrifiante qu'instructive, l'explication, "de l'intérieur", du fameux programme nazi du Lebensborn, ou comment créer de toutes pièces (de tous corps) une "race supérieure" (du moins estimée telle par le Furher ; un talent énorme pour construire la psychologie, si fine, si réaliste, des différents protagonistes, et, la cerise, un suspens qui tient le lecteur en haleine (mais où l'auteure veut-elle nous conduire ??!).
Pas un quart de seconde d'ennui, toute ligne est nécessaire, indispensable, mais des hauts-le coeur, de la révolte, de la colère, des serrements de gorge ... autant de réactions alliant esprit et corps nous assaillent, du début à la toute fin.
Adepte de la non-violence, j'ai reçu ma claque de l'année 2018.
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Cette lecture est poignante et au-dela de tout ce que l'on peut imaginer.Ce livre de par ses verites historiques,a provoque en moi un malaise.La cruaute,la violence,les provocations sont insupportables,du point de vue psychologique et corporel.Comment des hommes ont-ils pu etre aussi inhumain?
A travers cet ouvrage,il est question du lebensborn;grand projet d'Hitler pour peupler l'Allemagne et ses territoires de purs aryens,de germaniser le monde pour le prochain millenaire.Des enfants ont été concus pour etre offerts au fuhrer,d'autres ont été kidnappes car il fallait faire vite.Que sont devenus ces enfants a la fin de la guerre ?Comment s'en sont-ils sortis psychologiquement?Quel a été l'avenir de tous ces enfants endoctrines?
Je ressens beaucoup de compassion pour Max,cet enfant sans emotion,qui finit par perdre son monde,et son Lukas.
Je vais poursuivre cette lecture avecle livre de Marc Hillel qui a enquete sur le lebensborn,car j'ai besoin et envie d'en savoir plus
A tout ceux qui vont lire ce livre,je leur conseille de s'accrocher,ce livre vaut vraiment la peine d'etre lu
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Max est un roman de Sarah Cohen-Scali, publié le 31 Mai 2012 qui a remporté le Prix Sorcières en 2013. Ce roman de 480 pages, publié chez Gallimard Jeunesse dans la collection Scripto, n'est pas destiné aux plus jeunes de par son sujet difficile ; il est en effet destiné aux adolescents à partir de 15 ans. On peut le considérer comme un roman historique, contextualisé à la première personne, ce qui est assez déroutant de prime abord.

Nous pouvons résumer l'histoire de la façon suivante : En 1936, à Steinhöring en Bavière une voix nous parvient de l'intérieur du ventre d'une mère, d'une « frau ». C'est Max, ou Konrad von Kebnersel, qui nous parle et c'est lui qui nous racontera toute son histoire. Sa mère est dans une « pouponnière » des plus immondes. Cette pouponnière en est une parmi d'autres, toutes issues du programme « Lebensborn » initié en Décembre 1935 par Heinrich Himmler, le tristement célèbre proche et collaborateur d'Adolf Hitler. La mère fait partie de ces nombreuses jeunes filles répondant aux exigences sélectives qui « travaillent » pour le compte du Reich en portant l'enfant d'un SS qu'elles ne verront qu'une seule fois pour la conception de cet enfant. Les enfants, si ils répondent aux exigences de la pureté aryenne mises en place par le régime, sont enlevés de leurs mères pour intégrer des écoles ou des Napolas afin de parfaire leur éducation nationaliste et fanatique.
Max désire du plus profond de son être naître le 20 Avril 1936 à minuit et une minute afin d'être le premier enfant issu de ce programme mais aussi afin de naître le même jour que son idole, son maître à penser qu'il admire tant dés le stade embryonnaire, Adolf Hitler. Il « réussit » à naître comme il le décide et devient l'être parfait et exemplaire de la race aryenne : cet être fabriqué a de beaux cheveux blonds, des yeux bleus profonds et comme il le dit lui-même « un visage d'ange ». Il va passer le début de son enfance dans ce centre Lebensborn en rejetant toute affection, tendresse ou tout autre sentiment synonyme pour lui de faiblesse. Il ne veut pas décevoir son idole et se doit d'être dur comme l'acier et coriace comme le cuir. Il va même jusqu'à être baptisé par le Furher en personne ce qui l'emplira d'une extrême fierté.


Dés la couverture le ton est donné : un embryon anonyme car sans visage, un brassard nazi sur le bras droit. le tout est déposé sur un fond rouge sang. Ce foetus est entouré d'indications métriques concernant la forme de son crâne, sa taille, l'angle entre son nez et sa tête, la mesure de ses mains ou de ses pieds. A cela s'ajoute, écrit en blanc, le titre de l'ouvrage qui est aussi le nom du personnage principale par lequel nous aurons connaissance de l'Histoire et de l'histoire : Max. Ce prénom est écrit en caractère gothique, plus précisément en antiqua qui était la police de caractère dite aryenne. L'horreur est présente dés la couverture. Elle choque, elle frappe mais elle représente vraiment les centres Lebensborn, de l'eugénisme du nazisme mis en pratique.

L'écriture est crue, dure et sans détour. La narration est à la fois simple et lourde de sens, sans pour autant omettre des détails historiques. En effet, Sarah Cohen-Scali, diplômé de philosophie et d'art dramatique, nous offre à la fin de son ouvrage ses pistes de réflexions et ouvrages de références qu'elle a utilisé pour se documenter. Les péripéties sont inventées mais sont représentatives du destin de milliers d'enfants nés dans ces laboratoires. Max est un enfant parmi d'autre, il est l'emblème de tous ces enfants nés dans l'horreur et par l'horreur : tués (pour ceux qui ne correspondent pas aux exigences) ou utilisés pour le compte du régime de l'infâme.
Les personnages secondaires ne sont pas caricaturaux : ils sont simples et clairement identifiables avec une psychologie qui leur est propre. On comprend ce que l'on nous narre sans un effort particulier d'immersion active. le lecteur est absorbé, il est intégré dés le début de l'ouvrage. Même si les mots de l'auteur n'ont été couchés que récemment, la noirceur de l'Histoire qu'ils décrivent est réelle et pas si éloignée.

Ce roman est hybride : on se plaît à lire l'horreur car elle nous fait réfléchir. Ces personnages nous interpellent, nous assomment presque dans l'abject qu'ils font subir ou qu'ils subissent. Ce plaisir de lire un auteur talentueux est donc mêlé à la réflexion et l'incompréhension de la réalité qu'elle décrit. Ce livre n'est pas destiné aux plus jeunes. L'éditeur nous mentionne dés 15 ans, mais j'opterais pour une lecture accompagnée par un adulte ayant pleinement compris les enjeux de l'ouvrage, même pour les adolescents. le thème est en effet très difficile, l'horreur est indescriptible mais la connaissance de celle-ci est absolument nécessaire. le vertige et le malaise que cette lecture suscite prouvent que l'ouvrage est réussi, très bien documenté et d'une utilité publique certaine.
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