Inhumaine

Bonjour,
Est ce que quelqu'un pourrait m'éclairer ?
J'attendais avec impatience la sortie d'Inhumaine afin d'avoir la réponse à la dernière ligne du précédent livre monnaie de sang et le livre reprend sans aucune allusion au "pof".
Etais-je la seule à penser que le livre finissait par un coup de feu et que quelqu'un était touché ?

Je suis tombée sur un article de Télérama présentant Patricia Cornwell comme l'une des premières autrices de roman noir à mettre en scène des personnages féminins au premier plan, en tant que véritable sujet, à ne pas les cantonner au rôle d'objet de souffrances, de victimes.
N'ayant jamais eu l'occasion de lire un de ses livres, je me suis lancée avec Inhumaine.
Il est vrai que les femmes y sont puissantes, ne se laissent pas faire, bien au contraire, ce que j'ai trouvé appréciable et inspirant.
Deux procédures criminelles s'entremêlent, l'une professionnelle, l'autre personnelle, et l'on se demande où l'intrigue va nous mener… j'en viens à ce que j'ai moins aimé dans ce livre, un rythme souvent lourd et dense, qui s'achève sans véritable chute. Tout reste en suspens, et je suis restée sur ma faim.

Lecture abandonnée. Je n'arrivais pas à entrer dans l'histoire, trop long, lecture pénible.

Retrouvons Scarpetta toujours aussi paranoïaque (à raison?) sur les traces de la tueuse en série Carrie Grethen. Dépêchée dans une maison quite au suicide (meurtre?) d'une jeune femme avec laquelle Carrie aurait eu des relations, Kay S. reçoit des vidéos de sa nièce sur son téléphone datant de quelques années. Et le FBI s'apprête à intervenir au domicile de sa nièce pour l'accuser de plusieurs maux.
Bref rien ne va dans la famille Scarpetta une fois de plus. le roman est haletant, il perd le lecteur dans des explications fumeuses, s'implique plus dans les relations familiales que scientifiques. La recette reste identique (un mort, une enquête), mais tout est mené tambour battant, en temps réel, ce qui rend la lecture diaboliquement excitant. Cette vision paranoïaque des choses, cette peur de l'autre, Cornwell vit bien dans son époque, dans son beau pays que sont les Etats-Unis. C'est ce qui rend son roman si actuel.
Le couperet final arrive comme un cheveu sur le soupe, s'embourbe dans une logique incompréhensible, mais Cornwell a le don (agaçant? addictif?) de toujours vouloir nous faire continuer. On aime Patricia Cornwell, on la critique beaucoup, mais on y revient toujours. Donc ça marche.

Lors d'une enquête sur le décès présumé accidentel de Chanel Gilbert, le docteur Kay Scarpetta reçoit une vidéo impliquant sa nièce Lucy et leur pire ennemi, Carrie Grethen, supposée morte il y a plus de 13 ans. Que se passe-t-il ? Est-ce que sa nièce est en danger ?
Le meurtre n'est qu'un prétexte car le roman tourne autour de ces vidéos et de ce qui s'est passé en 1997 et en ce jour pour la nièce de Kay Scarpetta. En effet, les 495 pages décrivent une journée pas comme les autres pour le docteur Kay Scarpetta. Aussi, ce roman n'a pas d'action mais beaucoup de pensées du personnage principal, de confrontation entre les protagonistes essentiellement féminines. Même si ce roman est bien écrit, il m'a manqué quelque chose.

Je ne rappelle pas l'histoire, cela a déjà été fait.
Mon avis ! c'est long, très long, un indice toutes les cinquante pages peut être... J'ai failli abandonné en route.
Du verbiage, beaucoup de verbiage,
Du laisser aller dans l'enquête, bref pas terrible.

Le pire est que j'imagine qu'une suite va intervenir, la même logorrhée, je ne sais pas si je tiendrais le coup!!
Heureusement je me contente d'emprunter désormais les romans de cet auteur dont j'avais adoré Postmortem.
Lien : http://mespoliciers.canalblo..

Je n'ai pas particulièrement aimé ce livre. J'avoue même ne pas l'avoir terminé.
Je n'ai pas retrouvé les enquêtes palpitantes de Kay Scarpetta. Nous y retrouvons bien sûr toute l'équipe de Patricia Cornwell : Lucie, sa nièce, Carrie, la psychopathe, Marino, le flic grincheux, mais l'accroche n'y est pas.

Un roman prenant, éprouvant.

J'ai retrouvé avec énormément de plaisir la plume de Patricia Cornwell et son héroïne Kay Scarpetta.

Dans Inhumaine, on retrouve tous les excellents ingrédients de cette série : tension psychologique, enquête aux 1000 et une facettes, beaucoup d'indices médico-légaux et scientifiques, l'ignoble et inhumaine Carrie Grethen et aussi tous les protagonistes de cette série: Marino l'inspecteur de police, Benton l'agent du FBI, Lucy la nièce de Kay.

Ici, Kay a été appelée auprès d'un corps. Pendant son inspection de la scène , elle reçoit une vidéo mettant en scène Lucy. Une vidéo troublante, datant de 1997, cette dernière faite remonter à la surface de nombreux souvenirs et des moments d'horreur.

L'auteur nous amène à travers les méandres du cerveau au QI incalculable de Carrie Grethen dans un récit complexe. La façon de penser, de réagir de Carrie Grethen est difficile à cerner, elle réfléchit jusqu'au moindre détail. L'intrigue est donc très complexe et on va comme Kay de surprises en surprises. Peut-être encore plus que dans les précédents opus de cette série car l'esprit cartésien , déductif de Kay est mis à mal. Elle a du mal à faire le point scientifiquement et rationnellement sur les événements.
J'adore ce point que Patricia Cornwell développe à travers Kay en disséquant chaque indice jusqu'à ce que rien ne puisse contrecarrer les déductions de Kay. du coup ici, on a un côté psychologique fort, on n'a pas l'habitude de voir Kay douter. On est aussi dans l'intimité, la vie privée de Kay, c'est aussi un point que j'apprécie énormèment dans cette série. On vit avec Kay, on est elle .

Un intrigue complexe, éprouvante psychologiquement pour le lecteur et pour les personnages : du grand Patricia Cornwell !

Lien : http://viou03etsesdrolesdeli..

Kay se remet mal de sa blessure à la jambe survenue il y a 2 mois. L'histoire mêle l'angoisse suscitée par la vision de vidéos intraçables que Kay reçoit sur son Iphone, dont Carrie semble être l'auteur, qui impliquent Lucie, et l'enquête sur un crime commis sur la fille d'une personnalité du cinéma, où de nombreuses inconnues subsistent. Cette fois, la propriété de Lucie est perquisitionnée par le FBI, et Kay se débat pour découvrir le rôle de chacun. Ceci est en effet une tâche particulièrement ardue, parce que tout le monde se ment, avec les meilleures intentions semble-t-il. Cela semble improbable, voire tiré par les cheveux.
L'histoire se suit avec intérêt, mais ne se termine encore pas, et nous entendrons sans doute parler de Carrie la diabolique de nouveau

Un polar dont l'action se déroule sur une seule journée mais pourtant qu'elle fut longue cette journée de 500 pages. Je découvrais Patricia Cornwell et son héros le Dr Kay : ni l'intrigue, ni les personnages et encore moins le style ne me donnent envie d'y retourner. J'ai voulu connaitre le dénouement de l'histoire mais suis resté sur ma fin.