La petite librairie des coeurs brisés

Alors c'est une lecture plus qu'en demi teinte. Alors c'est un livre qui distrait, qui est drôle (mais pas tout le temps), c'est un livre où on connaît la fin, mais il ne faut pas en avoir trop d'attente! Je m'explique. Je m'attendais à quelque chose de plus « mordant », de plus frais, de « plus » quoi… on est sur du cliché! Et la cause principale de cet état mitigé est l'un des personnages principaux… Sebastian. Il est arrogant, chiant, une tête à claques. Et certains passages sont limites avec le consentement de Posy. Alors certes le roman à quelques années et on ne parlait pas autant de cette thématique. Mais certains passages m'ont irrité. Et Posy peut paraître un peu fade, alors que son personnage avait énormément de potentiel. Certaines scènes sont cocasses, à la limite du ridicule.
Malgré tout, malgré ce goût de « pas assez », l'histoire tient globalement la route. Et on réussi à s'attacher à certains personnages. le lieu également donne envie d'hériter d'une librairie!
J'ai vu que le deuxième tome avait eu plus de succès. J'irai donc le lire pour me faire mon idée. Ne partez pas avec une idée préconçue pour cette lecture. Ça reste tout de même une lecture divertissante.

J adore les livres ayant dans le titres le mot "librairie" et du coup je me suis dite... go allons y.

Bon alors l'histoire est on ne peut plus banale, vu et revu (mais n'est ce pas dans les vieux pots qu'on fait la meilleure soupe?) Donc l'histoire se lit facilement.
c'est l'histoire d'une jeune femme orpheline qui a été recueillis par une vieille dame. La dite dame meurt et lègue da librairie à la femme. le petit fils arrive et tout part plus ou moins en cacahuète. rien de bien nouveau sous le chapeau.

Les personnages principaux aussi bien Madame que Monsieur sont aussi imbuvable l'un que l'autre. Ils se cherchent à chaque parole ce qui donne lieu à certaines scènes amusantes.

Le style d'écriture est clair. Je n'ai retenu qu'une faute de phrase... un mot a été remplacé par un R... bah ça arrive. Dommage tout de même. Après l erreur étant, je ne jette pas la pierre.

Alors oui ça se lit... mais ça ne laissera pas une marque indélébile dans mon esprit... je me laisserais tenter par les autres mais seulement pour une lecture sans prise de tête, plus en détente que pour trouver un sens profond au livre.
Dans la lignée de Jenny Colgan, pour les amateurs du genre.

Je vais finir par croire que je suis dans une période d'avis contraires ! J'ai été mitigée sur mes dernières lectures qui avaient pourtant l'adhésion d'une grande majorité de lecteurs, et voici ce livre-ci, que j'avais repéré il y a un moment déjà, et puis que j'ai décidé de lire pour une LC… et j'ai plutôt bien aimé, alors que les avis sont moyens à mauvais sur les plateformes de lecteurs (et à peine plus enthousiastes sur les sites de vente) !

Oh, je suis bien d'accord avec les commentaires les plus souvent lus : ce n'est pas (du tout) de la grande littérature, l'histoire d'amour est amenée sur un plateau tellement gros qu'on ne voit que ça malgré toutes les entourloupes que déploie l'autrice pour tenter de faire croire autre chose, avec en plus des personnages tellement caricaturaux qu'on lève les yeux au ciel très souvent – bref, c'est de la chick lit dans toute sa splendeur !
Et pourtant…
Je pense, très sérieusement, qu'on peut aussi aborder ce livre à un second degré, un peu comme c'est parfois le cas avec certains livres pour enfants, que l'on peut lire « autrement » et alors ça devient autrement intéressant.

Oui, les personnages sont ultra-stéréotypés et passablement agaçants : Posy est désespérante de naïveté et de manque d'ambition ; pleine de bonne volonté, elle semble incapable de mener le moindre projet à bien et se laisse porter par les événements… pourtant elle a élevé seule son jeune frère, que l'on nous présente comme un ado plutôt sympa et intelligent, mais pensez-y : si le décès de leurs parents date de 7 ans plus tôt, il avait donc 8 ans le gamin, ce n'est franchement pas l'âge le plus facile (je sais de quoi je parle : mon petit dernier a pile 8 ans ! =D ) et elle a clairement mené cette tâche à bien ! Mais elle a ce constant réflexe de se sous-estimer… et alors, qu'est-ce qu'elle devient nunuche dès qu'elle est en présence de Sebastian ! Ce dernier est décrit comme l'homme le plus grossier de Londres, ce que lui permet sa grande fortune amassée par sa réussite dans son travail – pour ma part, je ne l'ai pas trouvé vraiment « grossier » au sens strict du terme, tout au plus (et c'est déjà pas mal !) extrêmement arrogant, ça oui ! mais quand l'autrice nous répète tant et plus que cet homme est incapable d'entendre quand on lui dit « non », et fait passer ses idées sans trop respecter les autres, il faut bien reconnaître que Posy, de son côté, ne fait absolument rien pour s'imposer, et joue le jeu de l'autre de façon tout à fait stupide… à croire presque qu'elle apprécie de se laisser marcher sur les pieds !

Et pourtant, disais-je donc, tout cela donne lieu à des dialogues très dynamiques, que je ne qualifierais pas de « joutes verbales » car cela demanderait un niveau de langue plus élevé, c'est plutôt comme une soirée autour d'un faux champagne : on n'est pas dans le grand millésime, mais on a néanmoins un petit goût agréable et, surtout, tout le pétillant nécessaire qui fait briller les yeux, et on se retrouve plus d'une fois à sourire !

Mais alors, pour moi le plus intéressant de ce livre, c'est que Posy (et je suppose donc l'autrice) est passionnée et convaincue par ses romances, et malgré tout ce qu'on peut en penser, elle fait passer cette passion tant elle est convaincante, si on gratte un peu au-delà de la couche de niaiserie qu'elle expose presque en permanence.
Pour rappel : je suis moi-même lectrice de romances ou, plus exactement, j'ai eu une « période romances », c'est-à-dire plusieurs mois pendant lesquels je ne lisais quasi que ça, et sans me lasser. Période importante, car elle a amorcé mon retour à la lecture (et depuis lors à d'autres genres) après une très longue panne. Autant dire que, même si je n'ai pas une connaissance encyclopédique du genre, comme certaines autres lectrices rencontrées sur l'un ou l'autre forum à l'époque, j'ai quand même pu explorer différentes facettes de cette littérature trop souvent décriée… Et c'est donc en toute connaissance de cause que je peux affirmer que cette romance-ci, sans être la plus extraordinaire que j'aie jamais lu, est quand même tout à fait intéressante.

Et donc, Posy nous partage toute sa connaissance en ce domaine, avec une maîtrise qui n'est jamais feinte, et qui donne même envie de connaître l'un ou l'autre classique, comme les fameux romans « Régence » de Georgette Heyer, si peu connus (car peu sont traduits) en français ! Elle n'hésite pas à reconnaître que les auteur.e.s de ce genre, qui semble si « facile », ont pourtant un réel don pour nous faire rêver – ce qu'elle prouve notamment à travers la pseudo-romance qu'elle prétend écrire elle-même, qui est absolument atterrante (et clairement c'est délibéré), mais à travers laquelle elle insiste pour dire que n'importe qui ne peut pas écrire de romance, même les passionnées grandes lectrices de cette littérature !
Enfin, si son histoire est très prévisible de bout en bout, on voit venir d'avance à peu près tous les événements, avec peut-être ici ou là quelques rebondissements qui ne sont pour autant jamais follement surprenants, elle semble aussi suivre un schéma tout à fait cohérent dont elle ne déroge jamais, et se conclut en toute beauté : le très court, dernier chapitre m'a vraiment enchantée, on n'aurait pu trouver mieux ! J'ai donc passé un très bon moment de lecture, tout en légèreté et pétillance (si ça peut se dire), sans prise de tête ni grande révélation intellectuelle ; le plaisir n'en était pas moins présent !

J'ai commencé la saga par le dernier tome ("Noël à la librairie des coeurs brisés"), car on m'avait dit qu'ils pouvaient se lire dans le désordre. Et c'est vrai! Mais je recommande quand même de commencer par le premier parce qu'il plante vraiment le décor. C'est vrai que, du coup, le début m'a paru un peu lent.

J'aime beaucoup l'ambiance librairie de cette saga! En plus, il y a plein de références à d'autres livres!

Posy travaille dans une librairie qu'elle affectionne autant que les romans d'amour qu'elles met en rayon, et qu'elle dévore à chaque fois qu'elle en a l'occasion. À la mort de la propriétaire, la jeune femme apprend qu'elle hérite du lieu sacré. Déconcertée mais pleine d'entrain, elle s'imagine redonner vie à cette librairie qui est au bord de la faillite, en ne mettant en rayon que des romans d'amour. Mais Sébastian, grossier personnage à la langue bien pendue, et petit-fils de la défunte, espère plutôt voir une spécialisation dans un genre littéraire totalement opposé : les romans policiers. Ces deux-là, que tout oppose, vont devoir malgré tout trouver un terrain d'entente…

Un feel-good plus ou moins agréable, dont la lecture aurait été un long fleuve tranquille si quelques points très fâcheux n'étaient venus assombrir le tableau. L'histoire en elle-même, au coeur d'une librairie tiraillée entre deux genres littéraires, et deux personnages aux antipodes, paraît plaisante. Mais cela manque cruellement de nuances. L'un des personnages est trop détestable, tandis que l'autre est trop soumis. Il est vrai qu'à notre époque, et dans un livre aussi moderne que celui-ci, voir, encore et toujours, la femme autant rabaissée est très agaçant, et… lassant. Nos yeux saignent donc à de nombreuses reprises, avec l'envie de se rebeller à la place de l'héroïne…
De plus, pour couronner le tout, certaines scènes sont tellement irrespectueuses (le consentement mince!!) que la stupeur laisse place à l'incompréhension totale face à autant de pauvres clichés. C'est dommage car l'histoire pour sauver la librairie était attrayante. Il est évident que je ne vais pas lire les tomes suivants…

Premier roman d'Annie Darling, pour une autrice de romances on ne peut pas faire plus clair niveau nom!
Une lecture bien sympathique, l'écriture est assez fluide. L'histoire est basique pour une romance publiée chez Harlequin outre manche: deux personnages qui s'opposent mais en fait finiront ensemble.

Posy est une jeune femme peu sure d'elle. Après la mort de ses parents elle se retrouve à 21 ans à gérer un petit frère de 8 ans. Sept ans plus tard, elle vit toujours dans leur souvenir, leur chambre est restée telle quelle. Son frère a grandi, mais elle se laisse un peu aller (le ménage n'est pas son fort, les repas pourquoi ce n'est pas que des tartines?). Elle vit au dessus de la librairie que tenaient ses parents, la proprio lui ayant permis de continuer à y vivre et lui ayant donné un travail parmi une équipe de laissés pour compte niveau emploi.
La propriétaire lui laisse la librairie à sa mort, à charge pour elle de la faire devenir rentable sous deux ans. A défaut, la librairie reviendra à son petit fils, Sebastian dont Posy était amoureuse petite. Amour vite refroidi après un passage enfermée dans la cave à 10 ans. Depuis ils s'entendent comme chien et chat. Sebastian est un peu un sale enfant gâté à qui personne n'a appris le NON. Entre une effacée et un je n'écoute que ce que je veux, la communication est difficile, d'autant que Posy souhaite spécialiser la librairie dans la romance tandis que Sebastian veut en faire un antre du polar.

Au décès de Lavinia, Posy hérite de la Librairie sous condition que celle-ci soit rentable dans les 2 ans à venir sinon la librairie reviendras à Sebastian, l'unique petit fils de la vielle femme décédée.
La jeune femme et Sebastian se connaissent depuis leur enfance pourtant ils s'entendent comme chien et chat cependant ils vont devoir apprendre a s'entendre pour le bien de la librairie ça sera un vrai pour Posy de garde son sang froid face à l'homme le plus grossier de Londres.

Au fil des pages j'ai découvert le duo formé par Posy et Sebastian.
Posy , elle est encore endeuillé par la perte de ses parents, depuis elle est devenue la tutrice de son petit frère Sam. J'ai trouvé que la jeune femme était effacée, qu'elle avait du mal a voir tout l'amour de ses ami(e)s/ employé(e)s on pour elle tellement elle est centré sur sa douleur.
Heureusement peu à peu elle se réveille et révèle en agissant enfin mais avec trop de retenu a mon goût.

Quant a Sebastian, le grossier et détestable Sebastian , je n'ai pas de mot pour le décrire. D'accord, il a le droit de se cacher sous une carapace mais de quel droit peut-il parler aux gens de cette manière, son discours est totalement irrespectueux surtout envers Posy. A aucun moment il m'a paru sympathique. Je ne comprends même pas comment ils peuvent finir ensemble...

Je suis très mitige sur ce premier tome.
Si j'ai tout de suite était séduite par la couverture et le résume c'est loin d'être le cas pour le contenu.

J'ai reçu le coffret en cadeau, je vais donc continuer cette série en espérant que les autres tome soit mieux car pour l'instant je ne suis pas du tout convaincue.

Pour poser le contexte, Posy travaille dans une librairie depuis de nombreuses années, et lors du décès de sa propriétaire, Lavinia, elle lui lègue cet endroit. Mais Sebastian, le petit-fils de celle-ci, est bien décidé à lui mettre des bâtons dans les roues et être affreux avec elle. le pitch paraissait prometteur, mais franchement je suis très déçue, j'en attendais beaucoup, peut-être trop, avec ce résumé sympa, cette couverture et ce titre agréables.

Bon alors, par où commencer ? Ce n'est pas un coup de coeur, ni même une bonne lecture. Beaucoup de points négatifs sont à déplorer, et un qui dérange plus que les autres: tout d'abord les personnages.

Bon ok, certes quelques querelles ne font pas de mal entre les personnages pour pimenter le tout, mais ici ça frise l'irrespect à de nombreuses reprises. Sebastian n'a aucune considération pour Posy ou son travail, il est impoli, imbuvable, misogyne, détestable, infect, exécrable, prétentieux, bref les adjectifs pour le qualifier sont très nombreux. Il est désobligeant et critique Posy sur son physique, débarque chez elle et s'installe comme s'il était chez lui, n'écoute jamais vraiment quand elle lui parle, et n'est surtout pas capable d'entendre un “non”. le surnom qu'il lui affuble, “tignasse” est tout simplement méchant et irrespectueux! (oui je vais sûrement beaucoup me répéter haha). Je crois que je n'ai jamais lu de livres avec un personnage aussi désagréable, et on s'est demandées si on allait continuer notre lecture, mais comme on l'a lu à deux, on a continué et “rigolé” tant certaines scènes étaient absurdes.

Pour ne rien arranger, Posy, le personnage principal est beaucoup trop plat, elle est trop niaise, soumise, faible, sans caractère, sans personnalité. On a envie de la secouer tout le long du roman! Tantôt elle enrage face à Sebastian, tantôt elle ne peut pas s'empêcher de “fantasmer” sur lui, et certes, même si c'est couru d'avance qu'ils finiront par s'apprivoiser, je trouve qu'elle se laisse beaucoup trop marcher sur les pieds, face aux nombreuses critiques physiques adressées par Sebastian, ou même face à ses difficultés à la librairie. En effet, Posy veut la transformer en librairie spécialisée romances, tandis que Sebastian souhaite en faire un temple du polar. Elle lui expose plusieurs fois son point de vue, lui dit clairement NON mais monsieur fait semblant de ne rien entendre.
J'ai trouvé aussi que dans beaucoup trop de scènes, Sebastian frise les limites du consentement avec des gestes plutôt déplacés, et j'ai trouvé ça dingue d'écrire ça dans un livre! Pourtant il ne date pas tant que ça, 2017 je crois. Donc franchement, c'était limite limite, j'ai trouvé ça choquant à plusieurs reprises.

Et la librairie, parlons-en. le sujet était vraiment super, le monde du livre, ça m'a fait rêver de tenir une librairie, d'ouvrir un salon de thé attenant, mais c'est vraiment dommage que ce thème là n'ai pas été davantage exploité. En effet, j'ai trouvé qu'on en parlait peu, j'aurais espéré plus d'interactions avec des clients par exemple, ce qui aurait rendu le récit plus dynamique. Sur plus de 400 pages, il ne se passe pas beaucoup de choses en soi. J'aurais aimé être davantage immergée dans cet endroit. L'auteure aborde quand même un sujet important comme le fait de soutenir les petites librairies indépendantes et le message est bien passé.
Enfin, il y a eu quelques points positifs comme la solidarité des amis et entourage de Posy pour l'aider à la restructuration de sa librairie qui m'a touchée, ainsi que la relation qui la lie à son petit frère.

Si quelques scènes (très peu) nous font sourire vers la fin, ce roman manque de profondeur et d'action, et les personnages ne sont même pas attachants, l'un détestable, l'autre trop plat. Je suis quand même déçue de ne pas avoir aimé puisqu'il me faisait très envie :(
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Un petit livre bonbon comme la couverture l'annonce clairement: tendre et sucré, ne cherchez pas la moindre dose d'épice dedans, happy end bien prévisible et humour de rigueur. C'est mignon et drôle mais surtout ça parle de livres... enfin surtout de romances. J'ai passé un bon moment de détente à la librairie Au bonheur des tendres.

Pourquoi ce livre ?

Parce que ce Tome 1 fait parti du beau coffret " La Librairie des coeurs brisés " : l'intégrale - Edition limitée. Je n'ai pas pu résister.

Parce que c'est une comedie romantique haute en couleur au coeur d'une librairie anglaise au charme suranné.

Parce que Posy, Verity, Nina, Mattie et Tom sont libraires dans cette charmante librairie au coeur de Londres. Leur point commun : ils sont tous amoureux des livres et pas que...

Pour les références littéraires de ce livre, exemples :

" En 1963, dans un éditorial écrit pour The Bookseller, Lavinia évoquait ce souvenir : " Ma Mère et moi avons trouvé un véritable réconfort parmi les rayonnages de livres. Désormais sans famille, nous avons été reconnaissantes aux Bennet d' Orgueil et Préjugés, aux Mortmain du Château de Cassandra, aux March des Quatres filles du docteur March et aux Pocket des Grandes Espérances de nous adopter. Les pages de nos romans préférés comblaient nos attentes. "
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