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Les Quatre de Baker Street tome 9 sur 10

Jean-Blaise Djian (Autre)Olivier Legrand (Autre)David Etien (Autre)
EAN : 9782749309507
56 pages
Vents d'Ouest (17/03/2021)
4.02/5   45 notes
Résumé :
Dangers, mystères et émotions! Londres, 1895. Alors que Charlie s'apprête à faire ses débuts sur la scène du Merry Minstrel, sa grande amie la chanteuse Polly Perkins est victime d'une terrible agression qui la laisse dans le coma...

Ce drame survient suite à une violente altercation entre l'artiste et Edgar Wilson, célèbre impresario de l'East End, alias le "dresseur de canaris".

Persuadée que ce douteux personnage est responsable de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Le dernier tome en date des Quatre de Baker Street met en scène - c'est le cas de dire ! - l'agression de Polly Perkins, une chanteuse et amie de Charlie. Cette dernière décide d'infiltrer la troupe, persuadée que l'agresseur est le fameux "dresseur de canaris". Ses deux amis, Billy et Tom, sont évidemment de la partie pour traquer la personne qui a tenté d'assassiner Polly...

L'histoire se déroule dans le même schéma que les tomes précédents (avec, entre autres, l'intervention de Sherlock Holmes à la toute fin, une fois les méchants traqués). Malgré cet aspect un peu répétitif, suivre cette enquête - à la fois sur la tentative d'assassinat, mais aussi sur les crimes commis sur des prostituées - était un véritable plaisir !

J'aime toujours beaucoup les illustrations et les couleurs de l'ouvrage, l'histoire était intéressante et les protagonistes sont vraiment attachants (notamment Charlie, même si le chat Watson est haut dans mon classement !).
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Deux ans peuvent parfois paraître bien longs, même si ces deux années ont été bien remplies, marquées par une actualité qui résonne encore et toujours au quotidien. Et pourtant, cela paraît long. Pour s'en convaincre, il suffit de lire les premières planches de ce neuvième album de la série Les quatre de baker street.

Quel plaisir de retrouver Billy, Tom, Charlie et bien sûr Watson le tigré ! Que le temps a passé et comme nous pouvons être heureux d'être là bien au chaud à suivre les nouvelles aventures de la petite troupe. Ces nouvelles aventures seront marquées par une affaire qui a fait beaucoup de bruit il n'y a pas si longtemps dans le milieu du cinéma.

Transposé dans le XIXème siècle et l'East end cela nous donne un patron de cabaret, qui dès sa première apparition joue admirablement le rôle du potentat artistique, pervers et bourreau et c'est Charlie qui va devoir l'affronter en première ligne tandis que ces compères doivent la veiller de loin.

C'est donc bien Charlie qui tiendra ici le premier rôle. Les femmes seront clairement mises à l'honneur et celles-ci vont rapidement passer de victime à quelque chose d'autre. Fort heureusement les auteurs parviennent à nous régaler et à dépasser ses sinistres (mais hélas toujours bien réelles) problématiques puisque nous aurons également droit à une immersion dans le monde du spectacle.

Tom jouera ici un rôle important bien que devant se contenter d'une deuxième place. Billy sera plus en retrait que d'habitude. Il faut dire que la place vient rapidement à manquer d'autant plus qu'une grande figure fera également une apparition.

Les dessins sont toujours aussi bons et nous plongent dans des univers très différents : rues animées, éclairées avec des passants bien propres sur eux, intérieurs bourgeois, salle de spectacle fréquentée par du beau monde… mais aussi les ruelles sordides, les caves, l'hôpital et un cabaret bien moins tape-à-l'oeil mais bien plus sympathique.

Le dresseur de canaris est une belle découverte et bien davantage. Un album qui s'inspire d'une réalité qui reste hélas d'actualité, délivrant une belle fable, une leçon de morale tout en nous faisant passer un très agréable moment !
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Alors que Charlotte s'apprête à monter sur scène, Polly se fait tabasser dans la rue. La jeune franc-tireur est convaincue que c'est un coup du "dresseur de canari" qui avait essayer de la faire revenir dans son théâtre.

Nos trois amis font mener l'enquête sur le dresseur de canari, directeur de théâtre qui semble friand de jeune fille fraiche à la voix claire. Charlotte va se faire embaucher comme chanteuse pour mener l'enquête parmi son personnel. Pendant ce temps Billy laisse trainer ses oreilles dans les rues de l'east-end et Tom protège Polly à l'hôpital.
Une enquête rondement menée, avec des enfants attachants plein de bonne volonté. Finalement ils ont fait tout le boulot quand Sherlock Holmes arrive en fin d'album, pour le dénouement.
Le dessin est dynamique, plein de mouvement.

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Quand parfois on est déçu à répétition par des bouquins désespérants il est bon de se plonger dans une bonne (excellente) série de BD comme les 4 de Baker Street.Le Londres XIX° avec sa crasse , ses magouilles, ses crimes ce 9° tome est dans cette droite ligne , je ne vais pas vous raconter l histoire allez -y voir tout seuls comme des grands , vous serez , je n en doute pas, ravis .Mon pote Sherlock n apparaît qu' a la toute fin comme il le dit a un Watson enthousiaste et admiratif ( comme d hab ) il n a joué dans cette affaire " qu'un rôle fort mineur " de plus vous dégusterez les dessins d' Etien de vrais confiseries pour le regard
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Chouette, voici le retour de mes francs-tireurs préférés de Baker Street pour une nouvelle enquête pleine de péripéties et de danger dans les ruelles sordides de l'East End.

On retrouve notre trio dans le cabaret Minstrel où Charlie pousse la chansonnette. Tout semble aller bien, il tombe déjà des cordes dehors, Charlotte ne pourrait donc faire pire.

Mais le danger ne viendra pas de son bel organe, mais d'Edgar Wilson, producteur de show-biz qui a une gueule qui n'inspire pas confiance.

Nos jeunes vont devoir mener l'enquête, quasi seuls puisque Holmes résout un problème au Vatican. Mais nos jeunes amis sont débrouillards, depuis les années qu'ils bossent pour Holmes, ils savent ce qu'ils doivent faire et comment espionner le producteur pourri qui se targue de dresser les canaris, autrement dit, les chanteuses.

De l'action, de l'amitié, du suspense, du mystère, une enquête et du danger, voilà ce que nous avons au menu de ce 9ème album, qui, comme les précédents, est de très bonne facture, autant par ses dessins que par son scénario qui ne laisse pas vraiment une minute de repos, sans pour autant cavaler dans tous les sens.

Les auteurs maîtrisent leur série et leurs personnages et c'est toujours un plaisir de fin gourmet que de les retrouver tous les 4, le chat Watson ayant toujours son rôle à jouer. Même Holmes jouera un petit rôle à la fin…

Les décors de l'East End sont toujours soignés, les moeurs aussi, même si les auteurs restent sobres. Malgré le fait que nous soyons dans une bédé jeunesse, ils ne prennent pas leurs lecteurs pour des crétins et ne cachent pas la misère sociale qui régnait dans ces quartiers à l'époque.

Les adultes peuvent aussi lire cette saga sans soucis, car elle est pour les lecteurs de 7 à 77 ans !

Si vous n'avez pas encore découvert cette super série, il est toujours temps de régler cette erreur et d'aller les acheter chez votre dealer de livres le plus proche parce que la littérature, quelle qu'elle soit, est indispensable pour moi (et pour tous ceux qui aiment lire).

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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critiques presse (3)
Sceneario
26 avril 2021
Ce neuvième tome est un très bon cru, une excellente lecture qui nous fait passer un bon moment.
Une aventure étonnante et prenante que je ne peux que vous recommander.
Lire la critique sur le site : Sceneario
LigneClaire
23 mars 2021
Jean-Blaise Djian et Olivier Legrand sur le dessin de David Etien qui est parfait sont là pour un neuvième album bien tournée, riche en péripéties qui s’inscrit dans l’univers de Conan Doyle sans la moindre trahison, bien au contraire, en lui apportant un nouveau souffle.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
BDGest
19 mars 2021
Une enquête choisie avec soin, des développements cohérents des personnages, des enjeux innovants qui évoluent en respectant le canon « holmesien » : que demander de plus ? Ah, oui ! Que ça continue encore longtemps avec cette qualité !
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
-T'es pas pressé de retrouver ton joli petit uniforme de larbin ?
- D'abord, je suis pas larbin mais groom. Mais je m'attends pas à ce qu'un ignare dans ton genre puisse faire la différence...
- Ho hé ! Tu sais ce qu'il te dit, le nignare ?
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- J'ai jamais pu sacquer les types qui dérouillent les gonzesses.
- Ce sentiment vous honore mais je vous prierais de surveiller votre langage...
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Quand on veut réussir, faut être prête à faire des sacrifices... on n'a rien sans rien!
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- Vous savez ce que Billy dit sur moi ? Que je suis la discrétion incarcérée...
- Vous voulez dire "incarnée" j'imagine...
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