On oublie jamais le chat qu'on a aimé, et quand il disparait, on n'en parle surtout pas au passé. On lui invente un monde, on le garde bien au chaud au creux de sa mémoire, on l'entend ronronner, on l'entend même chanter du haut du ciel où il voyage entre les constellations. Une histoire touchante sur le thème de la perte d'un être cher.
Les gouaches « moelleuses » de Pierre Pratt rendent ce paradis des chats rassurant et émouvant, d’une naïveté qui fait du bien quand on pleure encore un départ définitif.