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EAN : 9782070383610
160 pages
Gallimard (21/02/1991)
2.36/5   11 notes
Résumé :
Les jeunes femmes enseignantes s'en vont parfois exercer leur métier à l'étranger. Il a été prévu un visa d'échange pour cela, des universités prestigieuses pour les maries et des écoles françaises pour les enfants.

Mais ce qui n'a pas été prévu, c'est le peintre, rencontré par hasard dans le bas de la ville, bas-fond à vrai dire, et le peintre ne serait rien, mais le tableau du peintre,et le tableau du peintre ne serait rien encore, mais il y a les c... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
La narratrice ouvre son récit – ou faut-il dire ses mémoires ? – sur son aversion de la possession. Cette aversion est telle qu'avec son mari et leurs enfants, elle a quitté sa ville natale pour un autre pays. La famille mène une vie sage et réglée sous la bonté indulgente de l'époux qui donne le ton des pensées du couple. Loin des choses, voire des êtres, la narratrice se croit parfaitement heureuse. Cette frugalité par rapport au monde, elle l'éprouve également par rapport à la peinture pour laquelle elle n'a aucune sensibilité. « Je suis à l'ordinaire plutôt réservée, je n'aime parler qu'à bon escient et redoute toujours les situations où il faut exprimer des émotions. » (p. 35) Jusqu'au jour où elle rencontre un peintre qui lui présente ses tableaux. Et jusqu'à ce qu'elle soit subjuguée par une toile.

Et la toile prend possession d'elle, s'installe dans son appartement et bouleverse son quotidien. La narratrice prend conscience que, depuis des années, elle n'était tournée que vers son mari et ses enfants, comme morte à elle-même. L'intrusion de la toile dans son existence a réveillé sa conscience et ouvert son esprit. « Ma vie passée me semblait lointaine, rétrécie. » (p. 89) Désormais, tout l'environnement de la narratrice doit s'accorder à la toile et lui faire honneur. S'en suivent une frénésie d'achats et une folie de dépenses qui relèguent au dernier plan la sacro-sainte sobriété du ménage et la solidité de la famille.

Mais il fallait s'y attendre, une telle passion pour un tableau ne peut conduire qu'à la folie. « La toile m'avait emprisonnée. […] Elle m'étouffait, elle était gigantesque, j'étais noyée dans ses couleurs, prise jusqu'au cou. » (p. 86)
Et voilà la narratrice en plein décrochage, arpentant la ville comme une folle et se grisant de sensations nouvelles. « Fini le carré clos de la grammaire de notre langue, finie la hiérarchie droite des rues numérotées. » (p. 171) Jusqu'où peut-on aller dans l'éveil à la conscience et à la sensation ? Jusqu'où entraînent les couleurs quand elles prennent possession d'une vie ?

Il est rare qu'un roman suscite chez moi autant d'émotions contradictoires. Autant j'ai été portée par la première partie où la narratrice est confrontée au tableau, autant la seconde partie – qui arrive dans une ellipse dont je ne sais dire si elle est sublime ou franchement malhonnête – m'a peu à peu ennuyée. Je n'ai pas vraiment aimé suivre la narratrice dans sa plongée dans la folie, sans aucune mention du tableau. Vient la pirouette finale du monologue de la narratrice : est-ce une fin facile ou est-ce une fin géniale ? Là encore, je ne sais pas. Outre la vilaine sensation que le tableau mentionné dans le titre n'est qu'un prétexte vite évacué, j'ai eu le sentiment d'être prise pour une idiote tant la pirouette finale semble éminemment évidente et donc parfaitement superflue à mentionner.

Dans ce roman, pas de nom. New York n'est jamais nommée et il n'y a que des fonctions sociales : le mari, le peintre, les enfants, les amis, la famille. La narratrice ne se présente pas et livre son récit à une oreille qu'on ne connait pas, avec l'évident besoin de s'en débarrasser. « Je n'ai pas plus de désir de possession à l'égard de cette histoire qu'à l'égard des objets en général. » (p. 12) de ce roman, je retiens surtout la réflexion sur la possession et la folie et l'éclatant lyrisme sur les couleurs. Pierrette Fleutiaux manie la langue avec talent, mais ne m'a pas entièrement convaincue.
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Le « je » de ce court roman est une bonne mère de famille, enseignante de français à l'étranger, expatriée donc dans une ville qui n'est pas nommée mais qui semble être New-York. La première partie du récit vise à nous introduire cette famille, du point de vue de la femme, normale et équilibrée, quoique très centrée sur l'éducation des enfants.

Jusqu'ici tout va bien … Mais un jour, elle rencontre un peintre étrange qui l'introduit dans son atelier. Il vient de terminer une toile et lui montre. Cet acte anodin va changer la vie de toute une famille. Car la femme va être saisie d'une étrange obsession envers ce tableau, qui semble être un amas de couleurs, type peinture abstraite. « Je fus saisie. Une vague d'émotions déferla sur moi. »

Alors qu'elle affirmait n'avoir aucun intérêt envers la possession de biens matériels – la famille lui suffisant -, posséder le tableau va devenir une obsession qui va opérer un renversement à la fois dans son mode de vie, ses valeurs, et ses centres d'intérêt. « La toile m'avait emprisonnée. [...] Elle m'étouffait, elle était gigantesque, j'étais noyée dans ses couleurs, prise jusqu'au cou. »

La peinture lui apporte l'instabilité, le mouvement qui lui manquait pour vivre pleinement.

A partir de là, s'ensuit une longue descente aux enfers, d'autant plus terrible qu'elle est au départ volontaire. Et la frontière entre raison et folie devient de plus en plus floue. « Je me dis : « Voilà la folie ! » Mais je n'avais aucune peur. J'avais cru à un état vraiment autre, dans lequel seul un cataclysme pourrait me faire verser. [...] Tout comme mon ancienne vie, tout comme mon état présent, la folie était un état contigu à moi, facilement interchangeable, égal en tous points aux autres. »

En se recentrant sur elle-même, la femme va opérer une succession de reconstructions, en passant par des destructions, et comme en écho à la peinture abstraite qui est la cause de tout ça.

Ce roman a été lu dans le cadre du livre mensuel du Club des Lectrices. Nous avions pour consigne de lire un texte romanesque traitant de l'art. Après discussions, notre choix s'était porté sur deux courts textes : La Dormeuse de Naples, d'Adrien Goetz, précédemment chroniqué, et qui ne fut pas un coup de coeur; et Histoire du Tableau. Deux angles totalement différents pour aborder la peinture. Et les avis furent également très divisés. Globalement j'ai été l'une des seules à apprécier le texte de Fleutiaux.

En effet, là où mes co-lectrices trouvaient de l'ennui voire de l'énervement vis-à-vis de cette femme étrange, j'ai de mon côté passer un bon moment, avec un texte exigeant, un beau style (l'avis fut unanime sur ce point) et surtout une histoire qui ouvrait à un certain nombre de réflexions.

Ce que j'ai pu apprécier, c'est l'importance donnée au visuel, et aux couleurs en particulier, qui partent du tableau pour s'appliquer ensuite à toutes les choses de la vie quotidienne. La narratrice en devient rapidement comme obsédée, et en le lisant, je me suis surprise en train d'offrir davantage d'attention aux couleurs qui nous entourent, du bleu du ciel au gris des bâtiments.

En bref, ce fut une lecture non pas agréable ni désagréable mais originale, intéressante. Qui m'a cependant laissé un peu sur ma faim avec un point final en forme de point d'interrogation. Mais après, quoi de mieux qu'un livre qui ne clôt pas mais ouvre une infinité de réflexion ?
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Il me semblait bien que le nom de l'auteur ne m'était pas inconnu et pour cause, j'ai lu il y a quelques années son livre "Nous sommes éternels" ayant reçu le Prix Femina en 1990, et je n'avais franchement pas aimé.
Afin de ne pas rester sur cette mauvaise impression j'ai lu, sans a priori, cette "Histoire du tableau" et le verdict est sans appel : le style et les histoires de Pierrette Fleutiaux ne sont pas faites pour moi.
Ca commence comme une histoire mystérieuse d'une femme mariée qui rencontre un peintre et éprouve une fascination inquiétante pour l'une de ses oeuvres et ça part dans une folie qui m'a laissée sur le bord de la route.
La narration est faite exclusivement à la première personne du singulier, par la-dite femme, mais elle est quasiment le seul personnage de tout le roman, si bien que cet enfermement du lecteur sur un personnage m'a laissé un arrière goût de claustrophobie.
Pour ne pas arranger les choses, j'ai trouvé ce personnage insipide : "Mon âme n'est pas aventureuse et je ne suis pas bohème.", la suite prouvera le contraire, "Je redoute les tracas et les responsabilités, et habituellement je cherche plutôt à les éviter qu'à leur trouver des solutions.", sur la première partie elle a raison quant à la suite elle ne pas éviter les tracas, elle va sauter dedans à pieds joints, s'y vautrer voire même s'y complaire pour finir par se réveiller, mais d'un oeil uniquement.
"Il n'y avait plus alors qu'à se livrer à l'incendie, y jeter tous les morceaux de sa chair, et dans ce grésillement vorace, jouir jusqu'à la dernière braise, jusqu'à la dernière cendre. Et peut-être après y aurait-il cette innocence dont parlent les livres.", je n'ai décidément pas compris ce personnage : si ce peintre exerçait un tel attrait sur elle, pourquoi ne pas aller au bout de sa passion avec lui ? Ce n'est certainement pas son mari et ses enfants qui la retiennent car la narratrice laisse entendre que des coups de canif dans le contrat il y en a eus quelques fois.
Certes, elle va au bout de sa passion pour le tableau en l'achetant et à partir de là sombre tout doucement dans la folie.
Cela aurait pu être intéressant mais l'histoire tombe dans la folie, dans un kaléidoscope de couleurs qui ponctuent désormais la vie de la narratrice, je n'y ai rien compris et je me suis ennuyée à la lecture avec l'impression de ramer dans le sable.
L'auteur étant focalisée sur son personnage féminin elle ne laisse que quelques indices sur l'endroit de l'histoire. J'ai vite compris qu'il s'agissait de New-York, mais pourquoi ne pas le dire explicitement ?
A force de se concentrer sur son personnage et sa fascination du tableau, plus particulièrement sur ses couleurs, l'auteur en a oublié quelques éléments essentiels d'une histoire, notamment le lieu géographique où se situe l'action, ou donner des noms à ses personnages, à commencer par sa narratrice.
C'est peut-être accessoire pour elle mais ça ne l'est pas pour moi, j'aime savoir où je mets les pieds avec une histoire et avec qui.
Ensuite, à force de parler des couleurs du tableau, de livrer mille visions toutes différentes les unes des autres de son héroïne, l'auteur m'a littéralement perdue.
Je ne sais pas à quoi ressemble ce tableau, je ne peux que l'imaginer comme un ramassi de couleurs sans queue ni tête, comme l'histoire d'ailleurs, au moins on s'accorde sur ce point-là.
Outre la claustrophobie évoquée plus haut, je me suis également sentie étouffée par la construction du roman : pas de chapitre, l'histoire est balancée d'une seule traite au lecteur et uniquement ponctuée de quelques espacements.
En somme, une lecture laborieuse pour une révélation finale très loin d'être fracassante ni même originale.

Pierrette Fleutiaux est clairement une auteur qui n'est pas faite pour moi, son "Histoire du tableau" m'a prodigieusement agacée et à aucun moment charmée.
Je n'aime ni ses histoires toujours tarabiscotées dont je n'arrive pas à comprendre l'intérêt ni son style littéraire, j'ai essayé mais la rupture est définitive.
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Ce roman fut le deuxième livre à lire pour le Club des lectrices durant ce mois d'avril. Déjà que La dormeuse de Naples ne m'avait pas transcendé, celui-ci, je l'ai carrément détesté.

Pour dire toute la vérité, je ne l'ai terminé que parce que c'était un livre pour le club de Lecture et encore, les 50 dernières pages, on ne peut pas dire que j'ai réellement fait d'efforts. Il s'agissait de connaitre le fin mot de l'histoire et c'est tout.
Heureusement qu'il était aussi court!


Rien n'est nommé dans ce récit. Pas de prénoms, ou de noms, aussi bien pour les personnages que pour les villes. Il n'y a que « le mari », « les enfants », le peintre », « la ville ». Est-ce pour souligner son aversion de la possession comme elle nous le décrit si bien au début?


J'ai détestée le thème, la narratrice, ses pensées, ses simagrées, ses hésitations, sa folie…autant le dire, je m'ennuyais énormément.


Je vais être dure et assez cassante, mais moi, j'ai eu l'impression de me retrouver devant une femme au foyer aux tendances hystériques et dépressive qui fait sa crise de la quarantaine quand elle se rend compte qu'elle s'est consacrée à sa famille durant plusieurs années. Elle a donc le malheur de vouloir se redécouvrir travers l'art et plus particulièrement à travers ce tableau….J'ai vraiment le sentiment de me retrouver devant un « pétage de plomb ».


Je veux bien que l'art puisse faire perdre la raison qu'il puisse mobiliser l'attention de quelqu'un à ce point, la fasciner et même la rendre folle, mais je n'ai pas été sensible ni aux descriptions, si au défilé de couleurs et encore moins au pensées de cette femme.


Quand à la fin, je ne veux même pas en parler. Cela fait réellement pirouette de dernières secondes et c'est tout.


Je ne vois même pas quoi en dire d'autre. Je suis vraiment passée à côté de ce roman.


—————————————-

Une grande déception donc…je me trouve dans l'incapacité à le conseiller ou seulement à lui trouver un point positif. C'est plutôt sans appel. Je préfère donc m'arrêter là.
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Dès les premières pages, j'ai été séduite par l'écriture de Pierrette Fleutiaux et par cette histoire que relate Histoire du tableau. Par cette passion poussée jusqu'à l'obsession de la narratrice pour un tableau qu'elle a vu jour après jour prendre forme, changer, prendre des ailes, s'obscurcir, être lignes et couleurs, alors qu'elle allait quotidiennement visiter le peintre afin de le regarder travailler.

Oui, séduite, je l'ai été. Par cette obsession, par le lyrisme des phrases de l'auteure, par le rythme, par les couleurs. Jusqu'aux deux tiers du livre, en fait; jusqu'à ce que le narratrice se retrouve internée pour dépression qui aura pour conséquences la fuite et l'errance.

Autant j'ai été emballée par la première partie du roman, autant je me suis sentie flouée par la deuxième. Probablement parce que le tableau qui faisait office de personnage a été relégué aux oubliettes, alors que j'aurais préféré qu'il continue de hanter et de poursuivre la narratrice. Inlassablement.

Il n'en reste pas moins qu'il s'agit là d'un roman sur la passion, sur le rapport aux objets, sur les couleurs qui n'a rien de banal.
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
« Je suis à l’ordinaire plutôt réservée, je n’aime pas parler qu’à bon escient et redoute toujours les situations où il faut exprimer des émotions. » (p. 35)
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Je poussai les deux tableaux sous le lit puis je m'occupai de chercher un endroit pour les valises. Peut-être pourraient-elles encore servir. J'allai chercher l'échelle et grimpai jusqu'en haut du grand placard de notre chambre. Il me semblait me rappeler qu'il y avait là plusieurs étagères libres. Je me trompais. J'avais oublié que l'hiver précédent, j'avais fait un grand recensement de nos armoires et que j'avais fourré les rebuts là-haut, en attendant. Et eux ne m'avaient pas oubliée. J'étais découragée. Je me rappelais bien maintenant que j'avais toujours eu l'intention de les donner, mais l'occasion ne s'était pas encore présentée ou peut-être ne l'avais-je pas cherchée. Comment donc faisaient mes amies de l'Est ? Il ne me semblait pas que les objets les faisaient souffrir ainsi. Elles savaient s'en faire obéir. Le moment venu, elles savaient faire preuve de fermeté pour s'en débarrasser, ou d'invention pour les reconvertir, ou même d'astuce pour en tirer profit. pour moi, tout ce que je savais faire, c'était les laisser où ils étaient, les respectant et espérant qu'ils me respecteraient de même. Et qu'ils n'iraient pas s'accumuler juste dans les endroits les plus passants. Je pris mon élan. Du revers de la main, je fis tomber l'amoncellement de vêtements, je hissai les trois valises, et redescendis de mon perchoir. Je me dis que le seul fait qu'ils soient ainsi au milieu du chemin m'obligerait bien vite, de toute façon, à les jeter.
Pour voir, je sortis quelques nippes du tas, une toute petite robe et aussi une salopette que mon petit garçon avait dû porter à deux ans. Il me revenait à l'esprit le temps que j'avais mis à confectionner la robe pour ma fille dans une chemise de mon mari usée au col et aux poignets, le soin que j'avais mis à recoudre la salopette que nous ne pouvions nous décider à déclarer usée. En désespoir de cause, et comme l'enfant grandissait, je l'avais coupée aux genoux et il l'avait encore portée quelque temps, elle lui allait si bien.
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« La toile m’avait emprisonnée. […] Elle m’étouffait, elle était gigantesque, j’étais noyée dans ses couleurs, prise jusqu’au cou. » (p. 86)
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Je redoute les tracas et les responsabilités, et habituellement je cherche plutôt à les éviter qu'à leur trouver des solutions.
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« Je me dis : « Voilà la folie ! » Mais je n’avais aucune peur. J’avais cru à un état vraiment autre, dans lequel seul un cataclysme pourrait me faire verser. [...] Tout comme mon ancienne vie, tout comme mon état présent, la folie était un état contigu à moi, facilement interchangeable, égal en tous points aux autres. »
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Maison de la poésie (4 juin 2019) - Texte et Lecture de Alban Lefranc, extrait du Dictionnaire des mots parfaits (dirigé par Belinda Cannone et Christian Doumet, éd. Thierry Marchaisse, parution mai 2019).
Le Dictionnaire des mots parfaits :
Pourquoi certains mots nous plaisent-ils tant ? S?adressant à notre sensibilité, à notre mémoire ou à notre intelligence du monde, ils nous semblent? parfaits. Bien sûr, parfait, aucun mot ne l?est ? ou alors tous le sont. Pourtant, chacun de nous transporte un lexique intime, composé de quelques vocables particulièrement aimés. Après ceux consacrés aux mots manquants et aux mots en trop, ce troisième dictionnaire iconoclaste invite une cinquantaine d?écrivains à partager leurs mots préférés. Il vient parachever une grande aventure collective où la littérature d?aujourd?hui nous ouvre ses ateliers secrets.
Auteurs : Nathalie Azoulai, Dominique Barbéris, Marcel Bénabou, Jean-Marie Blas de Roblès, François Bordes, Lucile Bordes, Geneviève Brisac, Belinda Cannone, Béatrice Commengé, Pascal Commère, Seyhmus Dagtekin, Jacques Damade, François Debluë, Frédérique Deghelt, Jean-Michel Delacomptée, Jean-Philippe Domecq, Suzanne Doppelt, Max Dorra, Christian Doumet, Renaud Ego, Pierrette Fleutiaux, Hélène Frappat, Philippe Garnier, Simonetta Greggio, Jacques Jouet, Pierre Jourde, Cécile Ladjali, Marie-Hélène Lafon, Frank Lanot, Bertrand Leclair, Alban Lefranc, Sylvie Lemonnier, Arrigo Lessana, Alain Leygonie, Jean-Pierre Martin, Nicolas Mathieu, Jérôme Meizoz, Gilles Ortlieb, Véronique Ovaldé, Guillaume Poix, Didier Pourquery, Christophe Pradeau, Henri Raynal, Philippe Renonçay, Pascale Roze, Jean-Baptiste de Seynes, François Taillandier, Yoann Thommerel, Laurence Werner David, Julie Wolkenstein, Valérie Zenatti
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