Je défens l'idée qu'une œuvre est légitime parce qu'elle n'avait pas d'autre choix que d'être une œuvre, et qu'elle se nourrit de quelque chose d'irrationnel et de précieux ; dans mon cas, la rancœur précédemment évoquée, le fait de ne pas savoir tuer, qu'il me faut bien sûr transformer en matériau poétique, pour pouvoir être un autre.
Si Rodrigo García a écrit quelques lignes d'avant-propos pour présenter ces différents textes (théâtraux, radiophoniq... >Voir plus