Waou ! le meilleur album de la série pour l'instant.
De l'action pure et dure, du suspense, des rebondissements, de la corruption... Que demander de plus ? Peut-être que le dessinateur Renaud Garreta s'améliore dans le graphisme des visages masculins. Je n'arrive toujours pas au premier coup d'oeil à reconnaître qui est qui. Sam Natchez ou Roland Darcourt sont des personnages récurrents mais dont on ne sait pas exactement à quoi ils ressemblent tellement les traits de leur visage sont flous et semblent varier d'une case à une autre.
Comme le laisse entendre le titre, l'histoire se poursuit en Afghanistan, lieu de passage obligé pour toute BD d'action post-11 septembre. Donc, qui dit Afghanistan, dit talibans, otages, montagnes, grottes, torture, violence, seigneurs de guerre, narcotrafic, culture du pavot...
Je le prévoyais dans une critique d'un album précédent : les scènes de télépathie ne vont pas me plaire. Autant je suis prêt à croire les scènes d'action, le fait que l'héroïne soit sauvée ou s'en sorte à la dernière seconde, les cascades les plus improbables, autant la télépathie me semble parfaitement ridicule. Surtout la télépathie longue distance, puisque dans cet album les deux personnages télépathes sont séparés par l'océan Atlantique au minimum.
Malgré ce petit bémol, je m'en vais de ce pas entamer le cinquième tome puisque Najah n'a pas encore terminé sa mission.
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Actions, affaires, politiques, rebondissements en tous genres
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Tu le savais, Zia... Notre code d'honneur ne me permettait pas de te laisser en vie... A cause de ta combine foireuse, j'ai perdu près d'un demi-milliard de dollars, pauvre con de général véreux !!