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EAN : 9781092016513
Jigal (15/09/2015)
3.88/5   30 notes
Résumé :
L’hiver sera rude pour Gilles Sebag, lieutenant de police à Perpignan. Après de longs mois de doute, il découvre la terrible vérité : Claire le trompe, le monde s’écroule ! Alors qu’entre déprime, whiskies et insomnies, il tente de surmonter cette douloureuse épreuve, ses enquêtes le mènent inexorablement vers d’autres tragédies : une femme abattue dans un hôtel, un dépressif qui se jette du haut de son immeuble, un homme qui menace de faire exploser le quartier… Ha... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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Très très bon polar. Je découvre avec "Méfaits d'hiver" cet auteur, Philippe Georget, que je vais donc rencontrer dans une semaine au salon polar du sud à Toulouse.

Très très bon polar, disais-je, une intrigue solide, avec une succession de drames avec un dénominateur commun, l'adultère, qui, touche aussi le lieutenant de police Gilles Sebag, dans sa chair...

Qui pousse qui à quoi, et pourquoi, voilà en gros l'énigme que doivent résoudre les policiers catalans, en plein hiver.

L'intrigue est donc solide, mais ce qui fait le gros + du récit, c'est tout ce qui tourne autour, avec des personnages, leurs troubles, leurs inquiétudes, leurs rêves. La tourmente entre le côté personnel et l'enquête.

Je ne me suis pas ennuyé une seconde. J'ose : la douleur autour de l'adultère sent le vécu...

Je vais probablement me faire dédicacer tous ces et ses romans sous huitaine ! Chouette !!
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Je poursuis ma découverte des enquêtes de Gilles Sebag, policier muté à Perpignan avec femme et enfants…

Elles sont l'oeuvre de Philippe Georget, un auteur découvert en m'intéressant à feu les éditions Jigal Polar.

Né dans la région Parisienne, Philippe Georget, alors journaliste pour France 3 région, est muté à Perpignan.

En 2009 paraît son premier roman, « L'été tous les chats s'ennuient », mettant en scène le lieutenant Gilles Sebag qui comme lui, muté à Perpignan, découvre la région au travers de ses enquêtes et de ses footings…

« Méfaits d'hiver » est donc la troisième enquête de Sebag (qui suit « Les violents de l'automne ») et se déroule dans la foulée des précédents.

Après de longs mois à se douter de l'infidélité de son épouse, Gilles Sebag obtient enfin la réponse et… la confirmation des écarts de sa femme. le coup est rude… d'autant plus rude que ses enquêtes vont le confronter à d'autres drames de l'infidélité… le destin se jouerait-il de lui en mettant tous ces cocus sur sa route ? Ou bien toutes ces affaires seraient-elles reliées ?...

Bon, à la suite de mes lectures précédentes, j'avais évoqué tout le bien que je pensais de la plume de l'auteur, de son héros… tout en contrastant mes propos du fait que j'étais agacé par la place que prenaient les doutes de Sebag sur la fidélité de sa femme.

Cette confirmation arrivant très rapidement dans ce roman, j'espérais que l'auteur et le personnage passeraient à autre chose… mais je me trompais, l'infidélité étant le sujet central du roman, celui du personnage central, mais également celui des personnages secondaires… à croire que dans le monde de Philippe Georget, tout tourne autour de l'adultère…

Du coup, moi qui étais agacé de la place que prenait ce travers (de porc) dans les précédents épisodes, je ne peux qu'être encore plus irrité ici, et ce malgré la plume toujours aussi agréable de l'auteur, un personnage malgré tout intéressant et attachant et le plaisir de visiter ma région à travers la plume d'un écrivain…

Mais l'infidélité n'est pas le seul défaut récurrent de la série, il y a aussi cette volonté de l'auteur de singer les écrivains à succès de Thriller en usant d'un système narratif qui semble devenir une obligation pour eux : la narration alternée… alternée entre deux histoires qui finiront par se rejoindre, ou entre deux époques, ou entre l'enquête et le tueur et/ou la victime.

Je sais bien qu'au départ cet artifice sert à rythmer un récit et à forcer le lecteur à tourner les pages pour retrouver l'enquête au plus vite, et, si, parfois, il peut servir le roman, la plupart du temps, pour moi, il le dessert… il le dessert d'autant plus quand les chapitres alternatifs sont très courts, tombent comme un cheveu sur la soupe et n'apportent rien à l'intrigue.

Et, malheureusement, c'est le cas ici avec des chapitres dévolus au coupable qui non seulement ne servent à rien même s'ils sont, je suppose, être là pour aiguiller le lecteur sur l'identité du « méchant ». Sauf que celui-ci se donne un surnom ridicule « The Eye » qui a pour but d'aiguiller le lecteur, mais qui sonne faux et qui est surtout inutile, car le lecteur, lui, contrairement au policier, a vite compris qui était le corbeau de l'histoire.

Malgré tout cela, tous ces défauts qui, pour moi, seraient rédhibitoires, la plume de l'auteur parvient à suffisamment me charmer pour que je fasse avec même si j'aurais préféré faire sans.

D'autant que l'intrigue, au final, se révèle légère (dans tous les sens du terme) et que ce n'est pas elle qui va tenir le lecteur en éveil.

Au final, un roman policier basé sur les infidélités, celle de la femme du héros, mais aussi celles des différents protagonistes, le tout sur un fond d'intrigue pas très intéressant. Mais la plume de l'auteur et l'attachement à un personnage intéressant et touchant parviennent à faire passer la pilule...
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Nom : Philippe Georget. Titres des romans lus : Tendre comme les pierres, mention excellent, le paradoxe du cerf-volant, époustouflant et le petit dernier, Méfaits d'hiver, excellent itou. Contrairement aux deux précédents, ce dernier n'est pas vraiment exotique ni dans le monde qu'il décrit ni dans les lieux. C'est un roman on ne peut plus basique : l'adultère, les relations hommes/femmes, le regard des autres sur un homme ou une femme trompé par son conjoint. Dit comme cela, ça ne fait pas vraiment envie, et pourtant sa force est de captiver le lecteur avec une intrigue policière basée sur ces faits. de même on pourrait se dire que le flic trompé qui enquête sur des faits qui ressemblent à ce qu'il vit, c'est du déjà vu. Certes, mais là où il est bon P. Georget, c'est qu'au lieu de faire redondance, le comportement de son flic nous plonge totalement dans l'intrigue. C'est un polar dense, 350 pages en petits caractères, on ne s'y ennuie jamais parce que le scénario est impeccable, maîtrisé et que les personnages, Gilles Sebag en tête sont fouillés, détaillés. Il y a des pages excellentes sur l'introspection de Gilles, sur ses questionnements suite à la découverte de la tromperie De Claire, sur la difficulté qu'il a de ne pas penser aux deux amants dans des moments intimes ou simplement dans les mots tendres qu'ils ont dû s'échanger. L'alcool, les insomnies ne seront pas forcément bons conseillers, néanmoins, ce sont deux béquilles provisoires. de belles pages aussi du point de vue De Claire -et des autres femmes- qui ne comprend pas toutes les raisons qui l'ont poussée à tromper Gilles, qui l'aime et veut le reconquérir. le couple comme base de polar, il fallait y penser et oser.

P. Georget a su créer une équipe de flics que l'on aura plaisir à retrouver : Gilles, le flic intuitif, celui qui mène les enquêtes, un rien blasé qui a "sacrifié" sa carrière pour favoriser sa vie de famille ; son copain Jacques Molina, le flic blagueur, lourd mais qui a le don pour détendre l'atmosphère ; François Ménard, le frustré, celui qui aimerait qu'on le considère à hauteur de Sebag et qui en est jaloux et Julie, jeune flicque efficace, à l'écoute, la touche féminine avec Elsa, la policière scientifique. Tout cela fonctionne très bien sous l'autorité du commissaire Castello et si l'action n'est pas le principal ingrédient du livre, Sebag préfère la réflexion et le travail de fourmi, le vrai quotidien des flics, le suspense et la tension montent tout au long des pages. En cela, on est assez proche d'un roman policier de type Mankell/Wallander : le travail, le travail et la vie pas facile des hommes et des femmes des forces de l'ordre... et le travail.

Ajoutons à tout cela, une écriture vive, simple, directe, un sens de la formule évident, dans les dialogues, notamment ceux de Molina qui aime détourner ou inventer des proverbes : "Tout ça, ce ne sont que des poils de cul dans la chevelure d'un hippie, des broutilles, des détails..." (p.106) et vous avez dans les mains un très bon roman policier que vous ne lâcherez plus jusqu'au dénouement et même si tout fonctionne comme chez moi, vous aurez envie de retrouver l'équipe du commissaire Castello dans d'autres aventures.
Lien : http://lyvres.fr
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Je tiens tout d'abord à remercier masse critique Babelio ainsi que les éditions Jigal pour l'envoi de " Méfaits d'hiver".

C'est un polar dont le thème est d'actualité et qui tourne autour du drame à l'adultère.
J'ai suivi avec intérêt Gilles Sebag, lieutenant de police à Perpignan. Ce dernier apprend que sa femme, Claire, l'a trompé avec un professeur. Après vingt années de vie commune et deux enfants, ce lieutenant va profondément voir sa vie basculer.

En parallèle il va devoir d'ailleurs suivre une enquête où l'adultère est omniprésent; une femme a été tuée d'une seule balle à l'hôtel de Gecko. La jalousie est elle à l'origine de ce drame?
En coopérant avec le lieutenant Ménard, Gilles essaie tant bien que mal d'élucider cette affaire. D'autres drames vont s'enchaîner par la suite et s'entremêler mais de quelle manière?

L'auteur, Gilles Georget, a su littéralement m'emporter dans cette histoire bouleversante. Même si le thème a été évoqué dans d'autres romans, "Méfaits d'hiver" reste époustouflant et captivant.

J'ai aimé suivre principalement Gilles, ce lieutenant car au fil des pages son comportement et sa façon de penser amènent le lecteur à presque vivre et à ressentir toutes ses émotions au cours de cette enquête.

" Tomber sur le meurtre d'une femme adultère par un mari le jour même où il apprenait que Claire l'avait trompé. Il valait en rire que pleurer."


Pas un seul instant je ne me suis ennuyée à la lecture de ce roman. Des rebondissements sont au rendez vous. Écrit en petits caractères, j'avais peur que ce soit laborieux mais quelle belle surprise et découverte!!!

J'ai été captivée par l'intrigue et les personnages sont psychologiquement bien décrits; la léthargie de Gilles m'a profondément bouleversée. Fumer cigarette sur cigarette et avaler des doses de Whisky à profusion ne font pas bon ménage et n'arrangent pas forcément la souffrance de ce cher lieutenant.

" Il faut soigner le mâle par le malt."

Dans " Méfaits d'hiver", il y a aussi de la tendresse, la complicité entre Gilles et Claire n'est peut être pas pour autant terminée. L'auteur a l'art d'ajouter une petite touche émotionnelle à travers ce couple.

Dans " Méfaits d'hiver", la violence n'est absolument pas physique mais morale. Morale car le drame à l'adultère nous anéantit et nous percute de plein fouet.

" Méfaits d'hiver" est donc un roman totalement réussi, maîtrisé et d'une telle intensité que vous serez conquis à la lecture de ce dernier.

Lien : http://delphlabibliovore.blo..
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Il parait, selon les magazines féminins bien informés, que le nombre de cocus est en courbe ascendante, une inflation galopante, et si cette propension à aller voir chez les autres si c'est mieux que chez soi, était réservée de tout temps aux hommes, les femmes de nos jours n'hésitent à suivre ce précepte : changement d'herbage réjouit les veaux.

Pourtant l'équation Deux plus un = un gros paquet d'emmerdes, tarabuste Sebag qui d'un seul coup (sic !) est confronté à ce problème.

Ce qui le chagrinait depuis un certain temps, ce qu'il supputait vient d'être confirmé, à quelques jours de Noël. Un drôle de cadeau parvenu sous forme de SMS dans le téléphone de sa femme. Claire le trompe. Pourtant, elle l'affirme avec conviction, elle l'aime toujours. D'ailleurs c'est terminé, son amant ayant été muté de l'autre côté des Pyrénées. Un accident de parcours.

Est-ce le fait d'apprendre son cocufiage qui déclenche une réaction en chaine, nul ne saurait le dire. Pourtant c'est bien ce qui se produit.



Un homme tue sa femme alors qu'elle venait de terminer une partie de billard avec son amant dans une chambre d'hôtel. L'homme est parti le premier et le mari trompé s'est engouffré dans le nid d'amour abattant sa femme, qui fumait sa dernière cigarette, avec une carabine. Puis il repart dans la nature.

Appréhendé, il ne nie pas, toutefois ses déclarations jettent un trouble dans l'esprit de Molina, de Ménard et de Sebag. Si le meurtre ne fait aucun doute, ils se rendent compte que le mari bafoué avait été prévenu. Or, idée lumineuse, en vérifiant les vidéos des caméras de surveillance placées un peu partout dans Perpignan, il ne pouvait être sur place au moment où l'a déclaré.

Et comme une contagion qui se répand insidieusement, un autre couple va être séparé à cause d'un vol plané par une fenêtre. Mais cette fois, c'est le mari trompé qui se tue en passant par dessus la rambarde. Volontairement.

Un troisième larron ne trouve rien de mieux que de prendre sa femme en otage, précisant à tous ceux qui regardent le spectacle de la rue, qu'il va brûler sa maison, et eux avec par la même occasion. Il ne fait pas dans le détail. Sebag, habile négociateur, parvient à le raisonner, mais ce n'est pas une thérapie pour le policier rongé par la jalousie.



Tout autant roman policier que roman sentimental et étude de moeurs, Méfaits d'hiver comporte plusieurs étages de lecture.

Roman policier, bien évidemment puisque meurtre il y a et incitation au meurtre. Et donc enquête avec plusieurs policiers sur le terrain, tâtonnant, conjecturant, soupçonnant, et empruntant de mauvaises directions, persuadés détenir le coupable ou présumé coupable et avoir compris ses motivations.

Roman d'amour ou sentimental, car outre Sebag ce sont tous les protagonistes impliqués qui sont visés par cette fracture du coeur. Ce n'est pas parce que leurs femmes ne les aiment plus qu'elles vont goûter ailleurs si l'herbe est plus tendre. D'un côté l'amour existe toujours, plus ou moins fort il est vrai, les années passant, mais il est présent. de l'autre côté il y a la recherche d'une forme de tendresse, de complicité amicale qui n'est plus aussi prégnante. le besoin d'une amitiés amoureuse.

Enfin étude de moeurs déclinée par Julie, nouvellement arrivée et qui participe activement à cette enquête. Elle va faire équipe avec Sebag plus particulièrement, selon les besoins et les approches professionnelles des uns et des autres, mais possédant un autre regard qui lui permet de prendre cette enquête sous un angle différent. de plus elle est amie avec Marina, une kiné qui a effectué des études de psychologie, section sexologie.

Sebag va apprendre ou découvrir un pan sociétal sur l'évolution de la sexualité féminine et de son émancipation par rapport à l'homme, le mâle, dominant. La femme devait rester confinée chez elle tandis que l'homme pouvait sans vergogne aller butiner ailleurs. D'ailleurs, l'expression Rangez vos poules je lâche mon coq, édictée par une mère fière de son fils nous montre combien l'homme pouvait tout se permettre tandis que la femme n'avait pas le droit de lever même les yeux sur un individu de sexe masculin. En général car des cas particuliers nous montrent que la femme pouvait également se montrer avide d'expériences nouvelles.

Autant que je m'en souvienne, le plaisir masculin [...] c'est un petit spasme et puis s'en va. Alors que chez nous (la femme), c'est une vague, une tempête, parfois un raz-de-marée. La jouissance féminine a longtemps fait peur, aux hommes et aux femmes également. C'est pour ça qu'on l'a tant réprimée.

Un peu plus loin :

Nous ne connaissons pas qu'un seul plaisir, ni même deux seulement comme on le pense trop souvent, mais des dizaines de variétés de plaisir. Certains comparent le corps d'une femme à un calendrier de l'Avent avec une multitude de fenêtres qui ne demandent qu'à s'ouvrir.

Mais ce n'est uniquement cela qui pousse un homme ou une femme à tromper son partenaire, seulement c'est la face visible de l'iceberg matrimonial.


Je ne voudrais pas m'immiscer dans la vie privée de l'auteur, mais il se dégage de ce roman comme une relation d'authenticité dans cette histoire.


Le personnage de Julie, lieutenant de police, le lecteur assidu l'a déjà rencontré dans le paradoxe du cerf-volant. Philippe Georget tisse sa toile en imbriquant les différents personnages de ses romans pour en constituer une saga.
Lien : http://leslecturesdelonclepa..
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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Mais on ne peut apaiser un typhon avec de simples mots et de jolies résolutions : on n'arrête pas une bonne chiasse en se récitant la méthode Coué assis sur la cuvette des chiottes. La nature nous rappelle toujours à l'ordre.
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Il rampa jusqu'à la baie vitrée qu'il avait oublié de refermer. Le chat en avait profité, il s'était barré. Il avait payé ses agapes d'un bref câlin, donnant-donnant, la vie était ainsi.
Il n'y a jamais rien de gratuit.
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" Tomber sur le meurtre d'une femme adultère par un mari le jour même où il apprenait que Claire l'avait trompé. Il valait en rire que pleurer."
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Dans le monde contemporain, la vie ne se résumait donc désormais qu'à des chiffres. Les ventes de Kleenex, la fréquence des rapports sexuels, les tarifs du gaz, le nombre de partenaires avant, après et pendant le mariage, les cotes de popularité, l'efficacité de la police. Y aurait-il un jour une échelle de Richter pour qualifier l'intensité d'une détresse ?
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Autant que je m'en souvienne, le plaisir masculin [...] c'est un petit spasme et puis s'en va. Alors que chez nous (la femme), c'est une vague, une tempête, parfois un raz-de-marée. La jouissance féminine a longtemps fait peur, aux hommes et aux femmes également. C'est pour ça qu'on l'a tant réprimée.
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