un des pires romans que je n'ai jamais lu. Tout est fade , creux, insipide et il faut être désespéré, en manque d'imagination, ou être totalement lobotisé que tout ce que l'auteur écrit relève du géni.
Ce livre est du niveau d'un roman de gare, pas d'odeur, pas de saveur, rien.
Le personnage principal est d'une bêtise sans nom, qu'elle ne peut-être que "blonde", qu'en au super flic " terreur ou légende", il est d'une imbécilité sans nom.
Heureusement ce genre de livre est "empruntable" en bibliothèque et peut aussi servir pour passer un bon moment de franche rigolade assimilable aux films de niveau z des années 50
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J'avais découvert Karine Giebel en lisant Maîtres du jeu, un recueil de nouvelles qui m'avait vraiment séduite (une en particulier) et j'avais bien envie de retenter l'aventure avec cette auteure, qu'on ne cesse de présenter comme une valeur sûre du polar.
J'ai donc commencé Juste une ombre non pas pleine d'espoir, mais confiante, avec la quasi-certitude que j'allais passer un bon moment. Que nenni. Je me suis magistralement ennuyée. J'ai beaucoup soupiré. Pas mal grogné aussi.
Cependant j'ai tenu bon! Je l'ai même lu en entier, espérant (de moins en moins au fil des pages j'avoue) que le talent de Karine Giebel finirait par opérer... à la faveur d'un détail bien pensé, d'un revirement de situation, d'un final grandiose, qui sait?
Hélas c'était faire preuve d'un optimisme quelque peu excessif... Lorsque le personnage principal vous est franchement antipathique dès le départ, que cette première impression ne fait que se confirmer au fil de la lecture... bon, on peut se dire que les carottes sont (au moins) à moitié cuites, non?
Sérieusement- et là je m'adresse surtout à ceux qui ont adoré le livre - elle ne vous a pas horripilés de bout en bout cette Chloé? Comment? Par quel miracle, par quelle manoeuvre? de quelle sensibilité qui me fait défaut êtes-vous donc dotés mes chers semblables?
Alors, j'ai lu çà et là que certains s'étaient pris d'affection pour elle "avec le temps", je suppose qu'il faut entendre par là "à force de la voir morfler". Parce que pour morfler, ça, elle morfle. le passage du statut de reine de beauté parvenue et dominatrice à celui d'épave pathétique est pour le moins brutal. Et pourtant, pourtant... même rendue au dernier degré du tourment, elle ne parvient pas à m'attendrir. C'est tout juste si elle me fait pitié, et même, oserai-je l'avouer au risque de passer pour un être sans coeur... oui, elle continue de m'agacer.
En même temps, le fait que Giebel ait fait en sorte que personne ne croie Chloé, jusqu'au bout, n'arrange pas les choses. On sent trop combien elle a misé sur cet isolement et la confusion qui en résulte pour instaurer un climat d'angoisse. Cela donne lieu à des situations horripilantes, à la limite de la crédibilité.
OK, le type se débrouille pour ne pas laisser une foule de preuves de son existence, mais quand même... quand tu es viscéralement sûre qu'un grand malade te persécute, tu remues ciel et terre jusqu'à trouver une bonne âme qui te croiras. Non? Pas vous? Ben Chloé elle, elle rumine, elle se retourne le cerveau, elle geint, elle tremble, elle marmonne et se questionne bref, elle subit.
Exit la femme de caractère, affirmée, combative qui terrassait ses collègues juste avec sa super aura de wonder-woman impitoyable. Sérieusement? On peut pas nuancer un peu plus les choses?
Pour ce qui est de la croire, y a bien ce flic (cliché lui aussi, ce flic au passé trouble) qui se montre un peu plus enclin que les autres à s'intéresser au grand-malade-qui-ne -laisse-pas-de-trace, or lui non plus je ne le trouve pas formidablement convaincant dans son genre.
Mais la cerise sur le gâteau pour moi, ce sont les pensées du grand malade qui ponctuent le récit. Et là encore, je m'étonne que beaucoup aient relevé cet aspect comme l'un des atouts du récit. Donner la parole au méchant, je ne dis pas, ça aurait pu être intéressant.
Sauf qu'en l'occurrence, la rengaine haineuse du méchant est sans intérêt, répétitive, caricaturale, tout simplement grotesque.
Au final, je compte bien redonner une chance à Karine Giebel un de ces jours, si l'occasion se présente. Après tout, j'avais beaucoup aimé ses nouvelles.
Peut-être serai-je conquise par ses autres bouquins, peut-être celui-ci n'est-il qu'une ombre... au tableau.
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Personnage le plus "sympathique", l'ombre peut-être ?? A choisir entre la carriériste et le flic caricatural...
Livre à oublier pour ma part.
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Ce livre a était pour moi un coup de coeur au début mis très vite, il m'a lacé, pourquoi ? car le suspense dure très longtemps mais au final on est très vite déçu de la chute !
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j'ai détesté ce livre, je l'ai même pas fini ...
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après meurtre pour rédemption que j'avais beaucoup aimé j'ai entamé ce livre sans y trouver de plaisir.
Mal écrit, tordu. un malaise.
on se demande ce que l'auteur a dans la tête pour écrire des trucs pareils.!
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Le début est pas mal, personnage intéressent, original, mais la fin ma vraiment déçu surtout après avoir lu 600 pages et finir sur une chute aussi déprimante perso j'ai trouve que ce livre est une vrais perte de temps.
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