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4,25

sur 4441 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Oui, bon, clairement je n'ai pas accroché plus que ça. Mais je suis arrivé au bout 💪.
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Alors attention, oui c'est une déception, vraiment. Mais je suis tout de même capable de reconnaître 2/3 bon point. Encore une fois @Karinegiebel nous livre un roman fluide. Des chapitre qui ce lise assez facilement, j'ai tout de même avalé 300 pages aujourd'hui.
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Et pourtant je n'ai pas accroché... le résumé était très vendeur, prometteur même... Mais non... J'ai trouver ce roman mou, voir un peu répétitif. L'intrigue arrive vite, sur le coup elle est saisissante. L'angoisse et ambiance pesante qui durent une bonne centaine de pages disparaissent vite, pour laisser place au même scénario, qui tourne en boucle. Pour finalement refaire un bon en avant dans les 100 dernières pages. Mais ça n'a pas été suffisant pour moi...
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La fin je ne l'ai certes pas vu venir sous cet angle. Elle ma surprise il est vraiment qu'à ce niveau là @karinegiebel à fait fort. Surtout après avoir trouver ce livre trop long.
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Je m'étais promis de relire un roman de Karine Giebel, après une expérience plutôt malheureuse avec Ce que tu as fait de moi, une virée dans l'enfer des violences faites aux femmes et du harcèlement sexuel. Je me l'étais promis, car le style de l'auteure me paraissait prenant, le rythme maîtrisé, l'ambiance glauque à souhait. Quelle n'est pas ma surprise de découvrir que la violence complaisante, les personnages creux, les rapports de force brutaux entre hommes et femmes sont en fait monnaie courante chez Karine Giebel, qui semble véritablement en faire son leitmotiv, sa marque de fabrique. Pourquoi s'acharner autant sur ses personnages ? Quel plaisir trouve-t-elle à haïr à ce point les êtres qu'elle crée de sa plume ? Et pourquoi faire de la protagoniste de Juste une ombre une femme détestable, hautaine, que tout le monde jalouse ? Pour que le lecteur puisse prendre plaisir à la voir souffrir ? Pour que nous puissions plus facilement traverser ces 500 pages de torture mentale ? Comme c'est tordu, comme c'est petit ! Certes, la littérature n'est pas toujours faite pour nous brosser dans le sens du poil, mais là c'en est trop. En plus, le style de l'auteure, hâché, pétri de phrases courtes, de formules "choc", vire rapidement à l'esbrouffe, au remplissage sensationnaliste. Ne parlons pas des dialogues diablement stéréotypés, par lesquels les hommes ne semblent penser qu'avec leur entrejambe, et les femmes ne se soucier que de leur apparence physique. Où a donc vécu Karine Giebel ces dernières années pour rester si indifférente aux questions de notre société actuelle, au féminisme, à l'évolution des représentations ? C'est donc avec une grande déception, pire, avec dégoût, que je referme Juste une ombre, écoeurée par tant d'acharnement et de passéisme. On ne me reprendra plus à lire un Karine Giebel, vous me trouverez plutôt du côté des auteurs qui aiment leurs personnages et leurs lecteurs !
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Un roman sans envergure et assez banal. Je n'ai pas eu le moindre frisson. L'histoire tourne en rond et J'étais bien contente que cela se termine.
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Quelle déception! J'ai découvert Karine Giebel dans une nouvelle superbe, dans un opus de « 13 à table! » sur l'amitié, où elle m'a émue en racontant les liens entre un enfant noir et une dame âgée. Et en plus, ce titre, m'avait été chaudement recommandée par une lectrice fan de l'auteur. Je pensais me régaler. J'ai dû me forcer pour aller jusqu'au bout du livre. Un vrai calvaire!

J'ignore ce qui plaît dans ce thriller. Déjà le personnage, Cloé. Son prénom sonne tellement creux. Détrompez-vous, j'aime beaucoup par ailleurs ce prénom, c'est juste que là, ça fait un peu léger, surtout sans le « h ». Mon impression en tout cas. Et le personnage! Une femme froide, méprisante, qui a réussi, conduit une Mercedes, a un poste de direction dans une agence de publicité et malmène ses subalternes. Ça fait tellement cliché. La femme qui maîtrise tout au détail près, qui séduit les hommes et réussit professionnellement. Même si on va découvrir ses faiblesses et son secret (je vous laisse découvrir...), je n'ai pas réussi une seconde à éprouver de l'empathie pour elle. Je n'ai pas compris le choix de l'auteur pour cette héroïne. Car si elle est forte d'un côté, ... https://blogapostrophe.wordpress.com/2020/04/11/juste-une-ombre-de-karine-giebel/
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un des pires romans que je n'ai jamais lu. Tout est fade , creux, insipide et il faut être désespéré, en manque d'imagination, ou être totalement lobotisé que tout ce que l'auteur écrit relève du géni.
Ce livre est du niveau d'un roman de gare, pas d'odeur, pas de saveur, rien.
Le personnage principal est d'une bêtise sans nom, qu'elle ne peut-être que "blonde", qu'en au super flic " terreur ou légende", il est d'une imbécilité sans nom.
Heureusement ce genre de livre est "empruntable" en bibliothèque et peut aussi servir pour passer un bon moment de franche rigolade assimilable aux films de niveau z des années 50
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Bon, et bien c'est (c'était) mon premier Giebel. En version audio. Et dès le cinquième chapitre, je me fais déjà royalement chier. Est ce que l'audio dessert le style? Peut-être... (soit, les voix masculinisées sont un peu ridicules). Mais c'est vrai que ce phrasé saucissonné à l'extrême est parfois pour moi un aveu de faiblesse. Les goûts et les couleurs, hein... petite phrase qui peut me sauver du haro des fans (ou pas). Mais Chloé m'insupporte déjà, les répétitions dès les premiers chapitres m'interpellent, je suppute le déroulé du "seule contre tous". Bref, j'accroche pas. Je tenterai le purgatoire en papier dès que j'aurai un peu réduit mes lectures commencées, mais je ne suis pas sûre que passer après mes encours de Lemaitre, Michaelides et Carrisi, cela va faire avancer le schlimbick...
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Extrêmement déçue.

J'étais enchantée de découvrir un nouvel auteur... On m'a vendu un roman avec un suspense implacable, qui met mal à l'aise, et je n'ai rien trouvé de tout ça. Désillusion totale.

L'héroïne est sans saveur aucune. J'ai eu l'occasion de lire des romans avec un héro qu'on n'apprécie pas, mais celui-ci m'a fait découvrir une Cloé agaçante et creuse. Si peu intéressante qu'on a pas si envie que ça qu'elle échappe à son tourmenteur. Tourmenteur dont on découvre un peu trop facilement l'identité, d'ailleurs.

Le seul point positif, c'est un personnage secondaire plus travaillé que les autres... Mais qu'on voit très (trop) peu au final.

Histoire trop longue, trop répétitive et qui ne tient pas ses promesses. On s'ennuie vite et on devine la suite sans avoir à se creuser la tête, tout est un peu trop simple.
Plusieurs avis penchent sur le fait que ce livre est un des meilleurs de Giebel.... Celui-ci est le premier que je lis de cette auteure, et ne me donne absolument pas envie d'en lire d'autres si ils sont tous du même acabit, et c'est dommage.
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On m'avait vendu les louanges de Giebel, j'en suis restée bien déçue... J'ai passé les pages à me demander quand est-ce qu'il allait se terminer. Et quand est arrivé la fin...! Dénouement en accord avec le reste du roman...
Peut-être qu'avec un autre roman j'aurai foi en Giebel, mais pour le moment je reste sceptique.
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J'avais découvert Karine Giebel en lisant Maîtres du jeu, un recueil de nouvelles qui m'avait vraiment séduite (une en particulier) et j'avais bien envie de retenter l'aventure avec cette auteure, qu'on ne cesse de présenter comme une valeur sûre du polar.
J'ai donc commencé Juste une ombre non pas pleine d'espoir, mais confiante, avec la quasi-certitude que j'allais passer un bon moment. Que nenni. Je me suis magistralement ennuyée. J'ai beaucoup soupiré. Pas mal grogné aussi.
Cependant j'ai tenu bon! Je l'ai même lu en entier, espérant (de moins en moins au fil des pages j'avoue) que le talent de Karine Giebel finirait par opérer... à la faveur d'un détail bien pensé, d'un revirement de situation, d'un final grandiose, qui sait?
Hélas c'était faire preuve d'un optimisme quelque peu excessif... Lorsque le personnage principal vous est franchement antipathique dès le départ, que cette première impression ne fait que se confirmer au fil de la lecture... bon, on peut se dire que les carottes sont (au moins) à moitié cuites, non?
Sérieusement- et là je m'adresse surtout à ceux qui ont adoré le livre - elle ne vous a pas horripilés de bout en bout cette Chloé? Comment? Par quel miracle, par quelle manoeuvre? de quelle sensibilité qui me fait défaut êtes-vous donc dotés mes chers semblables?
Alors, j'ai lu çà et là que certains s'étaient pris d'affection pour elle "avec le temps", je suppose qu'il faut entendre par là "à force de la voir morfler". Parce que pour morfler, ça, elle morfle. le passage du statut de reine de beauté parvenue et dominatrice à celui d'épave pathétique est pour le moins brutal. Et pourtant, pourtant... même rendue au dernier degré du tourment, elle ne parvient pas à m'attendrir. C'est tout juste si elle me fait pitié, et même, oserai-je l'avouer au risque de passer pour un être sans coeur... oui, elle continue de m'agacer.
En même temps, le fait que Giebel ait fait en sorte que personne ne croie Chloé, jusqu'au bout, n'arrange pas les choses. On sent trop combien elle a misé sur cet isolement et la confusion qui en résulte pour instaurer un climat d'angoisse. Cela donne lieu à des situations horripilantes, à la limite de la crédibilité.
OK, le type se débrouille pour ne pas laisser une foule de preuves de son existence, mais quand même... quand tu es viscéralement sûre qu'un grand malade te persécute, tu remues ciel et terre jusqu'à trouver une bonne âme qui te croiras. Non? Pas vous? Ben Chloé elle, elle rumine, elle se retourne le cerveau, elle geint, elle tremble, elle marmonne et se questionne bref, elle subit.
Exit la femme de caractère, affirmée, combative qui terrassait ses collègues juste avec sa super aura de wonder-woman impitoyable. Sérieusement? On peut pas nuancer un peu plus les choses?
Pour ce qui est de la croire, y a bien ce flic (cliché lui aussi, ce flic au passé trouble) qui se montre un peu plus enclin que les autres à s'intéresser au grand-malade-qui-ne -laisse-pas-de-trace, or lui non plus je ne le trouve pas formidablement convaincant dans son genre.

Mais la cerise sur le gâteau pour moi, ce sont les pensées du grand malade qui ponctuent le récit. Et là encore, je m'étonne que beaucoup aient relevé cet aspect comme l'un des atouts du récit. Donner la parole au méchant, je ne dis pas, ça aurait pu être intéressant.
Sauf qu'en l'occurrence, la rengaine haineuse du méchant est sans intérêt, répétitive, caricaturale, tout simplement grotesque.

Au final, je compte bien redonner une chance à Karine Giebel un de ces jours, si l'occasion se présente. Après tout, j'avais beaucoup aimé ses nouvelles.
Peut-être serai-je conquise par ses autres bouquins, peut-être celui-ci n'est-il qu'une ombre... au tableau.
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Je vois que ce livre fait la quasi unanimité avec de très bonnes critiques mais personnellement je n'ai pas aimé ce livre. J'ai détesté le personnage principal, Cloé, qui est extrêmement antipathique, difficile donc d'avoir de la peine pour ce qui lui arrive. J'ai trouvé le livre long à en mourir (c'est le cas de le dire) et je n'ai jamais réussi à me mettre dans l'ambiance a priori destinée à être suffocante...
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