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EAN : 9781519582089
376 pages
CreateSpace Independent Publishing Platform (28/11/2015)
3/5   1 notes
Résumé :
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« Je cherche dans l'histoire de la littérature française, un écrivain qui ait daigné écrire l'histoire d'une jeune fille avant les deux maîtres qui viennent de publier ces deux superbes livres : La joie de vivre (Zola) et Chérie (Edmond de Goncourt) » Guy de Maupassant, dans un article publié au journal le Gaulois le 27 avril 1884.
C'est une vie de jeune fille, de 5 à 20 ans, observée dans le milieu des élégances de la richesse, du pouvoir et d'un entourage suprême sous le Second Empire.
La bonne moitié du livre est consacré à la petite enfance et l'adolescence de « Chérie ». C'est en cela un sujet difficile et orignal car, toujours selon Maupassant, selon un autre extrait de l'article :
« Comment découvrir les délicates sensations que la jeune fille elle-même méconnait encore, qu'elle ne peut ni expliquer, ni comprendre, ni analyser, et qu'elle oubliera presque entièrement lorsqu'elle sera devenue femme ? Comment deviner ces ombres d'idées, ces commencements de passions, ces germes de sentiments, tout ce confus travail d'un caractère qui se forme ? »
« Comment noter les étapes, les phases subtiles de cette transition ? Comment savoir, en voyant la graine, ce que sera la plante ?
Car la femme, après l'amour, est aussi différente de la fillette de la veille que la fleur diffère de la feuille dont elle est sortie.
Edmond de Goncourt a suivi jour par jour, heure par heure, le développement secret d'une âme d'enfant. Il note avec une étrange pénétration et une minutie singulière tous les phénomènes inaperçus de ce petit être qui se prépare. Il sait ses gouts indécis, ses inquiétudes, ses aptitudes, ses amusements, ses tristesses, tous les sursauts, toutes les surprises de cet esprit en formation »

Et figurez-vous, rareté supplémentaire, que la jeune fille à déjà une psychologie complexe dès son plus jeune âge. Trop chérie, gâtée, abreuvée de luxe, elle joue avec précocité à la maîtresse de maison ou plutôt à la maîtresse d'un grand hôtel particulier parisien avec une main de fer ; défendant fermement toute atteinte à l'honneur de sa famille et saisissant intuitivement les codes et les hiérarchies de la société, à seulement 9 ans.

C'est ainsi que débute le livre par un dîner où les 8 convives sont huit petites amies invitées par Chérie, toutes précoces et raffinées, de vraies miniatures de femmes, un sentiment inné de la coquetterie et se faisant servir par les domestiques comme de grandes personnes… Comment vous décrire alors le soulèvement d'horreur quand une fillette, sous l'euphorie du champagne, fit quelques grimaces, debout sur une chaise. Oh sacrilège des lieux !
« Il existait déjà une telle religion du haut fonctionnarisme, un si profond respect du lieu habité par elle, une vénération si fort enracinée pour les choses du Ministère que, devant l'irrévérence monstrueuse commise par la petite ivrognesse, elle s'attend à voir s'écrouler les murs… »

Si tous les chapitres avaient pu se succéder de la sorte, c'eût été absolument génial du début jusqu'à la fin. Mais seul 20% du livre, au mieux, est réellement accrochant même dans les extrémités du naturalisme à l'excès de Goncourt. Oui car le Edmond de Goncourt de Chérie, en 1884, n'est pas celui des années 1860/1870, il se veut plus fanatique dorénavant dans son mouvement « S'il m'était donné de redevenir plus jeune de quelques années, je voudrais faire des romans sans plus de complications que la plupart des drames intimes de l'existence, des amours finissant sans plus de suicides que les amours que nous avons tous traversées » et c'est ce qu'il a fait avec cette « Chérie » qui n'a rien d'un roman.
Si ce naturalisme, comme il le souhaite, nous donne de belles trouvailles, des détails parfois charmants, piquants, audacieux, il nous apporte aussi des successions de pages dénuées d'intérêts. Et je ne parle pas juste du degré de détail, de précision, je ne reproche pas à Zola ses descriptions par exemple, c'est bien seulement l'intérêt.
Afin d'exprimer l'idée selon laquelle on ne retient parfois de notre enfance, que des scènes ou situations banales sans grand intérêt, il nous détaille une chute dans un escalier ou des peurs de petites filles jouant à cache-cache…
C'est aussi un grand spécialiste pour vous tromper dans l'intérêt que l'on doit porter à certains personnages, en cours de lecture. Vous avez un petit chapitre entier consacré à la femme de chambre, vous vous dîtes donc que celle-ci aura un grand rôle tôt ou tard dans le roman comme celle de la Cousine Bette de Balzac ? Oh oh non ! Trop classique ! On vous la présente dans son intimité et pouf, disparition quasi-totale !
En définitive, hormis le début exceptionnel et quelques rares autres chapitres, il nous conte les 1000 détails de cette existence banale, qui est celle de tous les enfants, les premières leçons, la première communion, jouer au parc…

Un regain d'intérêts nous prend au milieu du roman, au moment où la jeune fille, entre l'adolescence et l'âge adulte, transite de la pudeur, la chasteté à l'effervescence des soirées et bals parisiens, aux jeux de salon, les danses, les amourettes… Ca et là éclatent de jolies pages.
Mais là encore, Edmond de Goncourt, pour seulement nous dire par exemple qu'elle courait tous les grands salons parisiens, va, sur 3 pages, étaler les noms de 40 duchesse, baronne, comtesse… Quand bien même connaitrait-t-on ces noms, quel plaisir il y aurait t-il à lire ce tas d'énumération de noms hasardement dispersés sur 3 pages ? 2 ou 3 exemples comme « elle est invitée au bal de la baronne Haussmann » aurait amplement suffit à notre imagination pour supposer tout le luxe et l'abondance qu'il voulait nous décrire.
Peut-être avait-il une passion inavouée pour les annuaires, les Almanach Royal, dont il se remplissait chaudement le crâne avant de dormir ?
A-t-il pensé un instant au lecteur qui, interrompant le flux de lecture, de l'histoire, se tartine ces noms sans intérêts ?
Autre exemple, plus caricatural encore. Une femme demande à ce qu'on lui lise à voix haute les théâtres que l'on joue ce soir, le domestique lui répond aussitôt « Théâtre-Français - Paul Forestier … » et ainsi de suite jusqu'à une vingtaines d'exemples, peu parlants, signifiants. Voici ce qu'il appelle naturaliste et dont il se targue d'être l'inventeur ? Oh… je suis un peu mesquin.

Dans certains cas, on pourrait, visuellement, sauter les pages, mais c'est parfois plus subtile encore.
Quand il s'agit de présenter les nombreuses et fausse amies amies de Chérie, soit vous vous contentez de 2 ou 3 amies, aux caractères et traits différents et représentant un ensemble d'amies plus large, soit vous présentez vaguement la personnalité de ses amies, en les classant ou les triant.
Trop facile et trop agréable pour le lecteur ! Dirait sans doute Edmond de Goncourt, dont le choix est celui de dérouler une liste de 10 amies sur 7 pages, personnalités, généalogies et détails de physionomie y compris.
Admettons, si ces personnages revenaient tout le long du roman… Non plus ! Moi Edmond de Goncourt, c'est le hasard, l'arbitraire et mes caprices qui dictent mon écriture. Cela vient vers le milieu du livre, comme ça, dans un chapitre Ad Hoc, car l'auteur avait soudainement envie de le placer là et si vous, lecteur, n'êtes pas satisfait, sachez qu'il n'en a que faire Edmond de Goncourt.

S'y trouve malgré tout une fois encore, des détails charmants, des trouvailles :

Le Grand-père de Chérie qui assure seul son éducation, maréchal et Ministre de la Guerre, au tempérament sanguin, cède devant l'émerveillement des charmes de sa petite-fille, oubliant le cadre et les instructions qu'il était censé lui imposer. Un soir où elle est sermonnée, rentrée à des heures trop tardives, Chérie remonte l'aiguille de la pendule devant lui tout en lui montrant l'heure bidouillée avec des grâces enfantines et un léger sourire, ce à quoi le grand-père lui chuchote :
« Pour toi il est l'heure que je veux qu'il soit » le Maréchal acceptait sans plus rien dire, et l'heure et le singulier remontage de sa pendule. »

L'enivrement dans sa propre vanité par cette petite reine des salons, à son apogée de la gloire parisienne, est magnifiquement retranscrit :
« Ainsi parée, ainsi costumée, ainsi délicieusement travestie, et les mains toujours dans des gants pour qu'elles restassent blanches, Chérie demeurait en sa chambre, en des adorations paresseuses de sa personne, dépensant de la coquetterie pour elle toute seule, et dérangée désagréablement, par une visite, de l'état vague et un peu mystique où elle se trouvait.

Parfois, en ces heures de contemplation amoureuse d'elle-même, de rêvasserie auteur de toilettes d'idéales, du balancement de sa cervelle dans le bleu d'élégances séraphiques, il se déclarait à l'improviste chez Chérie un désir excentrique, une envie de choses toutes terrestres, dont le besoin de satisfaction immédiat, soudain, la violentait et mettait dans sa tête l'obsession d'une idée fixe. »

Mais plus l'on est précis et plus l'on risque d'être contradictoire. Rien ne nous explique comment Chérie, d'une dizaine de pages à l'autre, soit d'une part décrite de la sorte dans un bal « une rage d'innocente coquetterie générale, un état de papillonnage platonique tout à fait singulier et qui étonnent parfois la volage jeune fille, grondant la folie de son petit coeur, sans le pouvoir rendre raisonnable »
et d'autre part, métamorphosée ainsi :
« Chérie est une femme possédant à la fois coeur aimant et des sens. Elle n'avait rien de commun avec ces parisiennes lymphatiques dont facultés amoureuses s'annihilent et se perdent dans les fatigues de la vie mondaine et chez lesquelles l'amour est, le plus souvent, seulement une affaire de cervelle montée »
On pensait au contraire, à le lire, qu'elle n'était qu'une jeune fille standard parmi les petites étoiles de la haute aristocratie :
« Chérie représentait la moyenne ordinaire des jeunes filles, mais avec la compréhension à demi-mot de la parisienne, avec un tour d'esprit aiguisé par le ferraillement des conversations des salons, enfin avec le prestige trompeur d'une intelligence un peu de surface et à fleur de cerveau ».

Parfois cela semble contradictoire mais c'est pourtant bien complémentaire et subtile.
Une lente désaffection religieuse suit sa première communion bien que Chérie fut une catholique assidue et fidèle en sa jeune adolescence. Qu'est ce que j'ai pu être naïve et ringarde quand j'étais aussi sottement croyante… devait-elle se dire.
Dès lors, on est d'abord surpris de cet apparent revirement « Donc, ainsi amoureusement passionnée de corps et d'âme, et vivant dans la plus extrême pureté, Chérie avait la Visitation obstinée et tracassante du désir, l'obsession d'images, de visions, d'appétences troubles, et elle ne pouvait défendre aux rêves voluptueux de violer la chasteté de ses nuits »
Ce que voulait dire l'auteur, et il se complète quelques pages plus tard, est que « La vertu, la morale, nous le répétons, n'entrent pour rien dans cette défense et cette sauvegarde de la jeune fille du monde : une sorte d'adoration religieuse de son corps, de sa divine petite personne ; c'est cela, rien de plus. La jeune fille a tout bonnement fait d'elle une espèce de petite Sainte-Vierge » Elle s'auto-divinise ainsi en sa petite personne, y substituant par la même sa foi, et mélangeant les termes et concepts de la religion à sa personne propre.

Tout ce monde qu'elle aimait tant, ce cercle restreint de la haute société, lui sera retiré subitement quand son grand-père perdra en prestige et n'aura plus la capacité d'afficher son opulence. Elle n'est plus fille à marier pour les bons partis tandis que ses amies se sont toutes hâtivement pourvues d'époux hauts fonctionnaires ou riches rentiers.
Une rage folle dévore alors Chérie, claustrée dans sa chambre, pâle, maigre, malade et bien entendu sans soutien de ses « amies » ; « Maladie, mort, il faut leur cacher cela, lorsqu'on est une femme à la mode, une femme chic. Toujours être en scène avec un sourire de danseuse, c'est obligé, sans cela vous êtes oubliée… Tu as vu, tout à l'heure, on n'avait pas l'air de me reconnaître » (au théâtre).
Ce n'est pas trop révéler ce roman que de vous dire que Chérie décèdera après une fin d'explosion et de folie. On en à l'habitude, l'auteur le reconnait lui-même, il regrette son propre procédé dans sa préface d'ailleurs "et la mort, cette mort que j'implore volontiers pour le dénuement de mes romans, de celui-ci comme des autres, quoique un peu plus comme il faut que le mariage, je la rejetterais de mes livres, ainsi qu'un moyen théâtral d'un emploi méprisables dans la haute littérature » comme il l'a fait dans Germaine Lacerteux ou Zola avec Thérèse Raquin.

SI l'on excepte le début et la fin du livre qui sont d'un très haut niveau, le reste ressemble plus à de la compilation d'anecdotes ou de notes de l'auteur qu'autre chose, qu'un vrai roman en définitive. C'est ce que confirme Joseph Henry Rosny dans sa postface du livre « C'est une oeuvre essentiellement documentaire, pour parler le langage de cette époque ; la fiction n'y intervient que pour coordonner les faits ou pour leur donner plus de relief » « Ceux-ci sont presque tous empruntés à la réalité, encore qu'ils ne suivent pas absolument le même ordre que celle-ci. Edmond de Goncourt recourut pour Chérie à deux ordres de documents : ses notes anciennes, complétées par ses souvenirs et une multitude de lettres de femmes et de jeunes filles ».
L'auteur a voulu former un vase à partir de mille fragments divers, récoltés et recollés de façon hasardeuse, et cela se ressent. On comprend pourquoi Maupassant était tant enthousiasmé par ce faux roman, c'est que cette oeuvre est faite pour être consultée par les artistes, les écrivains, comme des documents curieux et originaux, notant certains passages pour dynamiser leur inspiration, mais je regrette qu'Edmond de Goncourt ait tant méprisé l'intérêt du lecteur, ce lecteur qui, sans être « grand public » ou « populaire » veut seulement lire pour la stimulation, le plaisir, l'évasion. Il y a ainsi 20% de détails piquants, marquants, utiles et même romanesques parfois, et 80% de matières brutes, demandant à être exploitées par d'autres écrivains, mais infertiles à elles seules.
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« Je serai poète, écrivain, dramaturge. D'une façon ou d'une autre, je serai célèbre, quitte à avoir mauvaise réputation. » Oscar Wilde (1854-1900) était un homme de parole : il fut poète, écrivain et dramaturge, il eut une mauvaise réputation et il est célèbre. […] le jeune Wilde, élève brillant, entre au Trinity College de Dublin avec une bourse […] et suit des études classiques : histoire ancienne, philosophie et littérature. Il commence à voyager et découvre l'Italie et la Grèce. […] Il s'installe à Londres et fréquente les milieux élégants intellectuels. […] Il se fabrique une image d'esthète : […] ses tenues vestimentaires de dandy font fureur… Oscar Wilde est à la mode. […] il fait une tournée de conférences sur « l'esthétisme » aux États-Unis, avant de séjourner à Paris où il rencontre Hugo (1802-1885), Daudet (1840-1897), Zola (1840-1902), Edmond de Goncourt (1822-1896) (qui le décrit comme « un individu de sexe douteux »), Verlaine (1844-1896), et les peintres Pissarro (1830-1903), Degas (1834-1917) et Jacques-Émile Blanche (1861-1942). […] […] Un second voyage à Paris lui permet de rencontrer Mallarmé (1842-1898), Pierre Louÿs (1870-1925), Marcel Schwob (1867-1905) et André Gide (1869-1951). Juillet 1891 marque le début d'une liaison qui ne se terminera qu'à la mort De Wilde : Alfred Bruce Douglas (1870-1945), « Bosie », vient d'entrer dans sa vie. […] Accusé de sodomie, Wilde […] est arrêté et jugé, […] déclaré coupable d' « actes indécents » et condamné à la peine maximale : deux ans de travaux forcés. […] Wilde séjourne dans plusieurs prisons […]. Au bout de quelques mois, son état de santé lui vaut d'être dispensé de travaux forcés proprement dits. Ne pouvant payer les frais de justice du procès […], il est condamné pour banqueroute et ses biens sont vendus aux enchères. […] En 1900, un abcès dentaire dégénère en méningite et Oscar Wilde meurt le 30 novembre après avoir reçu, à sa demande, l'absolution d'un prêtre catholique. le convoi funèbre est composé de quelques artistes anglais et français, dont Pierre Louÿs ; Wilde est enterré au cimetière de Bagneux. Ses restes seront transférés au Père-Lachaise en 1909. » (Dominique Jean dans Oscar Wilde, Maximes et autres textes, Éditions Gallimard, 2017)
« […] Les aphorismes traduits ici ont été publiés en 1904, quatre ans après la mort de leur auteur, par Arthur L. Humphreys, qui s'appuyait sur un recueil « analogue » qu'il avait lui-même publié en 1895 sous le titre Oscariana : Epigrams. […] le recueil de 1904 s'intitulait simplement Sebastian Melmoth, Oscar Wilde n'étant mentionné qu'entre crochets. […] Cet ensemble donne un aperçu de la pensée et de l'esprit De Wilde, et si les aphorismes sont parfois contradictoire, ils n'en sont pas moins - précisément - le reflet exact de sa personnalité. Wilde, en public, offrait un tel feu d'artifice de mots d'esprit et de paradoxes que le poète Yeats (1865-1939) a dit qu'il donnait l'impression de les avoir préparés à l'avance […]. » (Bernard Hoepffner)
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Références bibliographiques : Oscar Wilde, Aphorismes, traduits par Bernard Hoepffner, Éditions Mille et une nuits, 1995
Oscar Wilde, Pensées, mots d'esprit, paradoxes, traduits par Alain Blanc, Éditions V
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