Tu comprendras quand tu seras plus grande

A peine 3 étoiles parce que j'ai lu l'entièreté du roman très simple et facile à lire. Mais absolument pas transcendant ni crédible. L'héroïne psy se faisant embaucher au paradis des personnes âgées et qui se fait davantage analysée par ces gentils vieux plutôt que d'user de sa qualité de psy, non pas crédible. Sans compter son fameux secret auquel je n'ai cru un seul instant. Bref, un roman très naïf, à lire au bord de la piscine pour passer le temps. Mais les bons sentiments, la profondeur et un minimum de crédibilité, ce n'est pas dans ce roman.

Bon.
Je ne fais pas partie du public cible de ceux qui aiment les romans «feel good».
Je dois avouer que j'ai eu du plaisir en lisant ce roman de Virginie Grimaldi.
Plusieurs réflexions sur la vieillesse et la mort ont su m'interpeller.
L'écriture est intelligente et elle ne tombe pas dans la mièvrerie.
Beaucoup de passages ont fait jaillir mon rire.
Ce fut un bon moment . Comme une gorgée d'eau fraîche sur la plage.

Ce roman est une pépite bien que l' histoire soit un peu naïve, il faut bien l'avouer ce n'est pas de la grande littérature, mais qu'est que c'est bon de plonger dans ce livre j'ai pris beaucoup de plaisir et de rire également, de l'humour,de l'émotion et de belles réflexions ce bouquin est plein de bon sens
Un énorme coup de coeur
Un excellent moment de détente bon pour le morale
je le conseil vivement!!! à lire en urgence!!!

Un vrai coup de coeur et ils sont rares.
Il y a beaucoup d'humour et tellement d'autres émotions.
C'est un livre qui fait du bien car il touche plusieurs sujets : l'amour, la peur de la mort, la tendresse, la tristesse, la joie,...
J'ai adoré "Ca peut pas râter" de Gilles Legardinier et ce livre est un croisement de ce livre et de "Quelqu'un pour qui trembler" du même auteur. C'est donc une très agréable surprise.

Julia a perdu son père, sa grand-mère lui manque également et son amoureux Marc n'est pas du tout présent pour la soutenir dans cette période difficile.
Un jour elle décide de tout plaquer à Paris pour un poste de psychologue dans une maison de retraite du côté de Biarritz.
Au début elle se demande ce qu'elle y fait, elle essaye de se reconstruire et finalement va devenir indispensable à ces retraités, tout comme ils vont lui paraître de sa famille.

J'ai eu la chance de rencontrer l'autrice et elle est tellement adorable et abordable.
On a bien rigolé et sa dédicace est vraiment personnalisée.
Je vous le recommande.

Ce roman débuté avec quelques préjugés m'a finalement complètement conquise. La quatrième de couv' annonçait un roman dans lequel j'aurais pu tout à fait m'ennuyer or il n'en est rien car la plume de Virginie Grimaldi est très acérée et surtout bourrée d'humour.
Dans les premières pages nous faisons la connaissance de Julia qui a quitté Paris pour rejoindre Biarritz (ville de son enfance) et un nouveau job et ainsi se reconstruire après les drames qu'elle a du affronter, psychologue de métier elle intégrera une maison de retraite dans laquelle les "pensionnaires" sont tous des personnages haut en couleurs et très caricaturaux, le genre de personne que l'on rencontre chaque jour, sauf que ceux ci ont un petit quelques choses en plus qui nous fait quitter le livre difficilement.

Je reste époustouflée par le dénouement, l'intrigue est tellement bien menée qu'à aucun moment je n'ai imaginé la révélation finale, cette histoire qui nous fait aimer la vie, aimer l'amour, dans laquelle la famille a une place déterminante emporte le lecteur aux Tamaris, cette maison de retraite où il fait bon vivre, dans laquelle on retrouve Louise dont la mémoire a flanché et a perdu 40 ans de sa vie, Gustave le papi qui prend la vie comme une farce pour ne pas déprimer (ce personnage m'a beaucoup touché), que dire de Léon le ronchon (je suis persuadée que l'auteure n'a pas choisi son prénom par hasard) qui évite autant que possible de se mêler aux autres et qui finalement a un secret qui le rend plus touchant, la mamie Miss qui ne quitte plus son écharpe ou encore Greg et Marine des employés de la maison de retraite.

Une histoire humaine et sensible, amusante et pourtant terrible par moment, le choix de faire parler des personnages âgés apporte le conseil nécessaire à tous: profitez de la vie, elle est courte.

Merci à Babelio et aux Editions Fayard pour cette belle surprise.
Lien : http://stemilou.over-blog.co..

Dans la vie, j'ai souvent l'impression que les livres se mettent sur mon chemin plutôt que je ne les choisis. Ma rencontre avec « Tu comprendras quand tu seras plus grande » en restera pendant longtemps le plus bel exemple. Il est arrivé il y a deux jours dans ma boite aux lettres grâce à un coup du sort (et surtout de chance). Aujourd'hui a été sincèrement pour plein de raisons l'une des journées les plus difficiles que j'ai eu à traverser ces derniers mois… et j'avais l'impression que le livre était là pour m'accompagner. J'y ai trouvé la force de la terminer avec des espoirs de jours meilleurs, des réponses à quelques questions et surtout plus d'énergie pour affronter demain…

Dès les premières pages du livre, je sais que je vais l'adorer, que je vais le dévorer. J'y retrouve l'atmosphère de mes trois coups de coeur littéraires de ces dernières années, Et puis Paulette de Barbara Constantine, Quelqu'un pour qui trembler de Gilles Legardinier ou encore La Grand-Mère de Jade de Frédérique Deghelt... Ces livres qui m'ont tant touchée, où les échanges intergénérationnels semblent ouvrir le champ des possibles à l'infini. Ce livre est une ode à la vie, et surtout au fait qu'il ne faut pas la gaspiller, chaque journée, chaque seconde compte. Je me suis retrouvée dans plusieurs traits de caractère de Julia, la protagoniste… Rien que ça, ça fait du bien au moral ! Oui je ne suis peut-être pas tout le temps très rationnelle mais finalement visiblement je suis loin d'être la seule ! Les personnages sont tous plus attachants les uns que les autres, leurs histoires sont de belles leçons de vie et de morale. On passe du rire aux larmes au fil des pages, tout est savamment dosé, jamais dans l'excès… le scénario est loin de se deviner à l'avance, on se fait surprendre au fil des pages… et la fin arrive beaucoup trop vite !

Merci à Babelio d'avoir mis cet ouvrage sur mon chemin pile quand il le fallait et de me laisser l'immense privilège de pouvoir rencontrer son auteure dans quelques jours…

Sur Edistat, Virginie Grimaldi truste les premières places en permanence. En ce beau jour ensoleillé du 25 mai 2023, Virginie Grimaldi classe 3 romans dans les 200 meilleures ventes en France, avec les 2è, 3è et 137è places. Thilliez, Minier, King, Grangé, Bussi, Musso... placent 2 livres dans le top200.

Cela doit vouloir dire quelque chose. Mais quoi?

Que les gens achètent les livres de Virginie Grimaldi, pardi !

Pour le reste, je ne pense pas qu'il y ait un lien causal entre ventes et qualité... A titre personnel, j'ai rarement eu autant envie de ne pas terminer un roman. Toutes les 5 pages (longueur moyenne d'un chapitre) En nous montrant à quel point une maison de retraite est géniale, sympa, empathique, drôle, Virginie Grimaldi nous llivre un des meilleurs ouvrages de science-fiction du début du XXIè siècle...

Je rigole... Ce n'est pas un roman, c'est une brochure publicitaire sponsorisée par Orpéa. Bien sûr, nous avons tous envie de croire aux mensonges de Virginie Grimaldi. Nous avons tous envie de croire que les maisons de retraite sont des endroits cool où les petits vieux fument de l'herbe en rigolant béatement et en parlant en verlant djeun's. Nous avons envie de croire que les gosses de banlieue s'amusent avec des nonagénaires. Que personne dans un EHPAD n'a de souci d'audition, de vue, de digestion, de maladie. Pas d'euthanasie, pas de grabataires... Hop un mariage et tout le monde est là, sauf 2 pensionnaires.

En fait, ce n'est même pas une pub pour Orpéa (je rappellerai l'enquête d'un journaliste qui a révélé les dessous des maisons de repos)... c'est une sorte de méthode coué macroniste pour nous dire que tout va bien dans le meilleur des mondes.

Je pense qu'on touche le fond page 387 quand l'héroïne, psychologue de formation, va sur Google pour chercher "Comment se débarrasser de ses peurs"...

Revenons un instant sur le récit fortement décousu du roman. 107 chapitres pour 470 pages environ... Moins de 4,5 pages par chapitre. Autant dire que chaque chapitre est un mini-épisode, un microscopique événement dont l'addition concourt à nous amener plus près de l'idylle entre l'héroïne et Raphael, petit-fils d'une pensionnaire. Tout ça pour ça...

Je ne suis pas acheteur de ce genre de billevesées... je pense préférer la vérité au mensonge. J'ai trop visité de maisons de repos, véritables mouroirs oubliés de tout le monde. Evidemment, ce roman à côté de la plaque est antérieur au COVID... mais cela ne justifie en rien une telle distance avec la vérité. Littérature au kilo... 475 pages "justifiées" par les remerciements qui signalent que des éléments biographiques, réels, figurent dans le récit... Littérature arrosée de larmes salées bon marché, les grosses ficelles fonctionnent bien. A aucun moment, ce roman n'a résonné en moi. Jamais je n'ai eu la moindre empathie pour les personnages. Je passe mon tour.

Sur les vieux, les résidences, je ne peux que conseiller Résidence autonomie, d'Eric Salch. C'est trash, 100% véridique, sans édulcorant ni exhausteurs de goût.

J'y suis allée à reculons (j'ai un peu du mal avec les livres feel good très commerciaux), mais finalement, je ne regrette pas d'avoir fait le voyage jusqu'à Biarritz avec Julia ! Je l'ai lu en 2 soirées. Un regard très humain sur la vieillesse et sur l'apport du partage entre générations.
Et quelle fin... Epoustouflante ! Je suis tombée des nues et j'en ai été extrêmement émue. Je crois que Julia va rester un certain temps dans ma tête et dans mon coeur...

Autant vous le dire tout de suite, ce n'est pas mon genre de lecture habituel. Je n'avais jamais lu ce type de littérature qui a de nombreux adeptes, ce que je peux comprendre. Mais c'était le seul qui m'attendait ce jour là dans la boîte à livres et je me suis dit pourquoi pas.
J'ai bien démarré ma lecture, ça me changeait, c'est léger, le ton humoristique m'a fait sourire de nombreuses fois. Puis, au bout d'un moment, j'ai moins accroché, l'excès de bons sentiments m'a conduit à l'overdose à environ un tiers du livre. J'ai bien sûr continué sans grand déplaisir mais en ayant envie d'arriver au bout, heureusement ça se lit très vite.
Je ne dis pas que c'est mauvais mais ce n'est pas pour moi ou alors à doses homéopathiques. À mes yeux, les situations ont sonné faux assez vite, un vernis improbable avec un bel happy end, mais c'est sans doute ce que les amateurs recherchent auprès de ces auteurs.

Une de mes belles-soeurs m'a prêté ce livre en m'en disant le plus grand bien. J'ai eu peur que ce soit un peu trop fleur bleue mais après avoir lu la critique d'Iris29 je me suis lancé et je n'ai pas regretté. Quand on commence à mettre des cheveux blancs ce livre fait un bien fou. Merci à iris29 pour ce beau commentaire qui vaut toutes les publicités et qui a dû en motiver plus d'un à entamer cette lecture.