La citerne de cuivre est pleine :
les ciels d’été
les nuages muants
le martèlement des gouttes des averses
y sont enclos.
Il y a un petit trou en bas, dans le cuivre,
par lequel l’eau se répand.
Elle coule comme un léger chant de deuil
que siffloterait un enfant dans la campagne ;
elle trace une ombre sur la terre, qui s’agrandit.