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Alice Delarbre (Traducteur)
EAN : 9782365697002
448 pages
Editions Les Escales (28/09/2023)
4.21/5   464 notes
Résumé :
Trois femmes extraordinaires séparées par quatre siècles.
Un roman captivant sur la puissance des femmes et le pouvoir de la nature.

2019. Kate fuit Londres pour se réfugier dans une maison délabrée dont elle a hérité. Avec son lierre dégringolant et son jardin envahi par les mauvaises herbes, ce havre de paix la protège de son compagnon violent. Kate sent toutefois qu’un secret s’y tapit…
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Critiques, Analyses et Avis (144) Voir plus Ajouter une critique
4,21

sur 464 notes
Un livre qui ne m'a pas attiré par sa couverture, elle ferait plutôt frissonner, mais le titre, je me suis dit il doit y avoir quelques sorcières cachées, je ne me suis pas trompée.

« Les soeurs du destin se tenant par la main, parcourant les terres et les mers, ainsi tournent, tournent, trois fois pour le tien, trois fois pour le mien, et trois fois encore pour faire neuf. Paix ! le charme est accompli. » Macbeth, I, 3, Shakespeare.

1619
« Dix jours qu'ils me retiennent ici. Dix jours, avec la pestilence de ma propre chair pour seule compagnie. Pas un rat ne m'a gratifiée de sa présence. Il n'y avait rien pour les attirer ; on ne m'a apporté aucune nourriture. Rien que de la bière. » Altha Weyward, accusée d'avoir tué un homme, est emmenée au tribunal, où elle doit essayer de se défendre contre des juges partiaux, des villageois qu'elle a soigné avec ses plantes, qui veulent à tout prix la pendre pour sorcellerie. « Je voulais être inhumée. Si je devais quitter cette vie, je voulais vivre la suivante dans la terre, nourrir les vers de terre, les racines des arbres, comme ma mère et sa mère avant elle. »

1942
Violet, jalousait son frère, il avait le droit d'étudier des choses passionnantes, comme les sciences, le latin, sans parler de ce fameux Pythagore, pendant ce temps, elle devait se contenter de planter des aiguilles dans un tissu. Interdiction de sortir du domaine, même pas jusqu'au village. Elle n'avait aucun souvenir de sa mère, à part un mystérieux médaillon, aucune question n'était admise, les domestiques répondaient par des faux-fuyants. Il n'y avait qu'un endroit où elle était heureuse.

Le moment où, « Elle avait atteint son arbre préféré : un hêtre argenté qui avait selon Dinsdale, le jardinier, plusieurs centaines d'années. Violet l'entendait bourdonner de vie dans son dos : les charançons en quête de sa sève fraîche, les coccinelles tremblant sur ses feuilles, les demoiselles, les papillons et les petits oiseaux voletant entre ses branches. Violet tendit une main et une demoiselle vint se poser sur sa paume, ses ailes scintillant au soleil. Une chaleur dorée se diffusa en elle. »

« Bientôt, elle prit assez de hauteur pour embrasser du regard la totalité du manoir, Orton Hall, lequel, avec ses nombreuses annexes lui évoquait une araignée majestueuse, accrochée à flanc de coteau. Plus haut encore, elle pourrait voir le village, Crows Beck, au-delà des collines. C'était magnifique. Et pourtant ce spectacle la rendait triste. Elle avait l'impression de contempler une prison. Une belle prison verte, où l'on trouvait des chants d'oiseaux, des demoiselles et un ruisseau aux eaux ambrées, mais une prison malgré tout. »

2019
Kate, tremble de peur, en entendant la clé de Simon, dans la serrure, elle essaie de se rassurer, mais pressent ce qui va se passer. Les questions, les coups, il la retient prisonnière, à sa merci. Ce jour-là, profitant de son départ, un déclic, depuis un moment elle prévoyait son évasion…, mais il lui fallait du courage. Un héritage, sous la forme d'une petite maison délabrée, la libère et elle s'en va, la peur au ventre. Sur le GPS, elle saisit l'adresse de sa grand-tante : Weyward, Crows Beck. Comté de Cumbria.

Arrivée chez elle, « Elle prend une inspiration puis franchit le seuil. L'entrée est étroite et basse de plafond. Chacun de ses pas soulève un nuage de poussière, comme autant de salutations. Les murs sont recouverts d'un papier peint vert pâle, qui disparait presque entièrement sous des dessins encadrés d'insectes et d'animaux. Kate frémit en passant devant une image particulièrement réaliste d'un frelon géant. Sa grand-tante était entomologiste. »

Trois époques différentes, trois femmes courageuses, malmenées par la gent masculine. Fières, fortes, reliées par les animaux, les insectes et la nature. J'ai passé un super moment. Trois histoires bouleversantes. L'atmosphère est oppressante, intrigante. On ne peut pas rester insensible à leurs vécus.

Trois femmes extraordinaires séparées par quatre siècles. La maison aux sortilèges de Emilia Hart, un roman captivant sur la puissance des femmes et le pouvoir de la nature.





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Pour son premier roman , Emilia Hart nous présente trois destins de femmes de la même famille Weyward et sortant de l'ordinaire .
C'est aussi le nom de la petite maison dans laquelle elles auront vécues une partie de leur vie.

En 2019, Kate quitte un mari violent et possessif pour aller se réfugier dans la maison que sa grand-tante Violett lui a léguée.

On va suivre Violett à l'âge de 15 ans en 1942 lorsqu'elle habite avec son père et son frère le manoir voisin .
Elle est toujours à la recherche d'informations sur sa mère décédée quand elle était petite et dont la vie est entourée de secrets .
Son père accueille un cousin soldat et l'arrivée de celui-ci va marquer un tournant dramatique pour l'avenir de Violett et de son frère.

En 1619 a lieu le procès d'Altha accusée de sorcellerie. Cette jeune femme habite Weyward et est une guérisseuse comme sa mère.

Le lien de ces jeunes femmes avec la nature est particulièrement fort avec un rapport étroit avec les corneilles dont les interactions viennent changer le cours du destin.

J'ai été peu enthousiaste , même si la lecture est aisée et l'envie de découvrir leur devenir bien présente mais justement, il y a eu peu de suspens à mon goût , on devine aisément les liens entre elles et la suite des événements .
Pas de coup de tonnerre à l'horizon.

Ce qui m'a en plus gêné , est le rapport avec une certaine magie alors que les mésaventures de Violett et de Kate sont malheureusement communes sans besoin de faire intervenir des éléments surnaturels et traversent les années .

L'accusation de sorcellerie au 17 eme siècle était fréquente dès que ces guérisseuses empiétaient sur le domaine médical bien peu évolué à l'époque et du fait d'un certain pouvoir du à leurs connaissances , à leur liberté et leur intelligence.
Leurs actes étaient facilement l'objet de peur et la cible des incompréhensions devant des phénomènes naturels.

L'autre reproche est de classer un peu vite tous les hommes dans la même catégorie de violence, de domination et de prédation , seul le jeune Graham, frère de Violett en réchappe mais il est décrit comme un être assez effacé et peureux ...
Dommage !
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On m'avait conseillé La maison des sortilèges après avoir lu Gothikana… Si vous êtes dans le même cas que moi… Eh bien, c'était un très mauvais conseil ! XD On n'y retrouve absolument rien de commun. Une petite déception donc après ce constat qui s'est prolongée malheureusement au fil de ma lecture.

La maison des sortilèges reste une histoire intéressante, j'entends bien. Nous suivons trois femmes de la même famille qui possèdent un don. Difficile de les cataloguer de sorcières cependant. Elles ont un lien très étroit avec le vivant et elles se servent de leurs connaissances souvent pour soigner les autres. Pour moi, c'est une sorte de résonnance, de femmes pouvant entendre ce qui nous entoure et se montrer humble face à la nature. Un choix captivant sans aucun doute.

Le problème, pour moi, c'est que Altha, Violet et Kate m'ont semblé être des victimes durant une grande partie de leurs vies. Et une très grande partie des hommes qu'elles croisent sont des monstres (mettre tout le monde dans le même panier… je ne suis pas fan, et il y a trop de redondances avec les trois histoires). Bien que cela reflète et l'époque, et la dure réalité des femmes, je m'attendais à quelque chose de plus combatif. Les deux premières parties sont difficiles à lire car on y voit toute la souffrance de ces trois femmes. Et j'ai eu l'impression que rien ne pouvait les sauver malgré leurs pouvoirs. le manque d'action fait aussi qu'il est difficile de trouver un bon rythme de lecture. J'aurais aussi aimé que la partie surnaturelle soit plus prégnante, car au final, j'ai plus eu l'impression que c'était un outil à ce récit féministe plutôt qu'une histoire de « sorcières ».

Je n'ai pas été insensible à Altha, Violet et Kate, bien au contraire, et pourtant, j'ai eu du mal à m'attacher à elles. Emilia Hart choisit de leur donner chacune à leur tour la parole, bien que le style de narration soit différent pour deux d'entre elles (choix un peu étrange), et c'était une très bonne chose, plutôt que l'une d'entre elles ne lisent un récit du passé. Mais malgré cela, il n'y a pas eu d'étincelles. Je pense que ce côté « victime » ressort beaucoup trop, ainsi que durant les deux tiers quasiment ce manque de combattivité.

Heureusement, la troisième partie change un peu la donne. Il y a ce déclic. Cette force qui manquait un peu, cette prise en main du destin. Et j'en suis un peu triste, mais Graham, le petit frère de Violet, est le personnage que j'ai le plus apprécié… Pour un livre essayant de mettre en avant une lignée de femmes exceptionnelles… c'est un peu un raté pour moi… Mais je ne sais pas… Il a su montrer de nombreuses qualités que j'aurais aimé voir chez nos héroïnes. Au moins, l'un des hommes de la maison des sortilèges aura su se montrer à la hauteur.

Une fresque intéressante, cela ne fait aucun doute, mais j'aurais aimé quelque chose de plus palpitant, de plus vibrant pour y croire vraiment. Il manquait un brin de hargne, et peut-être ce côté sauvage qui aurait été de pair avec le pouvoir des femmes de la lignée, même si j'en conviens, certaines époques ne s'y prêtaient pas forcément.
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1619 Altha est une jeune guérisseuse qui vit à l'orée du village dans sa petite masure appelée Weyward. Accusée de sorcellerie, elle livre, depuis sa cellule, un témoignage bouleversant sur la condition féminine de l'époque.
1942 Violet est une jeune fille de la bourgeoisie qui vit sous la coupe d'un père autoritaire. A la recherche d'informations sur sa mère décédée, dont les circonstances de la mort restent évasives, Violet va peu à peu lever le voile sur ses origines et sur le destin tragique de la famille Weyward
2019 Kate décide de fuir son compagnon dominateur et possessif. Elle s'installe loin de la ville, dans la petite maison Weyward, que sa tante Violet lui a légué à sa mort.

Un récit émouvant sur le destin de trois femmes sur trois siècles différents.
Ces trois voix résonnent des souffrances que la domination masculine leur a imposé.
En nous immergeant dans la vie quotidienne de ces femmes fortes mais empêchées, l'autrice brosse le portrait, sans complaisance, de notre société actuelle et passée.
On notera toutefois que, à l'exception d'un ou deux personnages, les hommes ont tous un rôle négatif dans cette histoire. C'est le seul reproche que je ferai, un peu plus de nuances aurait été nécessaire pour accréditer le propos.
J'ai beaucoup aimé le rythme du récit. L'alternance de temporalité rend le mystère Weyward fascinant et la lecture addictive. On veut savoir le secret de cette famille. Et quel secret !
La touche de fantastique et la complicité avec une nature bienveillante et complice donne un côté très poétique à cette histoire de femmes en quête de liberté.
J'ai beaucoup aimé.
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1619 : Altha est accusée de sorcellerie : sera-t-elle pendue, comme tant d'autres femmes guérisseuses à cette époque ?
1942 : Violet évolue dans le confort du manoir familial et dans l'incertitude du passé comme de l'avenir. Tant de mystères entourent la mort de sa mère, et l'attitude de son père assombrit le tableau...
2019 (?) : Kate n'a d'autre choix que de fuir son compagnon pour se protéger. Elle se réfugie dans la bicoque dont elle a hérité à la mort de sa grand-tante, Violet...

Je me suis rapidement attachée aux trois femmes, évoluant dans trois époques ô combien différentes ! le suspens reste longtemps assez opaque quant aux liens qui les unissent. Même si des fils rouges les relient plus ou moins subtilement (corneille, araignée, lettre et lettres, broche...), il faut plusieurs pages pour apprendre et comprendre les tenants et aboutissants de leurs histoires personnelles. Chacune est confrontée à la violence du monde et, en particulier, à celle des hommes vis-à-vis des femmes. Toutes trois doivent trouver leur armes, puiser dans leurs ressources profondes, acquérir le courage nécessaire pour se défendre. Toutes trois subissent l'absence paternelle : le père de Kate est mort sous ses yeux lorsqu'elle était enfant ; celui de Violet la malmène depuis son veuvage ; celui d'Altha est tout simplement inexistant. Toutes trois sont confrontées aux difficultés de la maternité : les mères sont omniprésentes dans ce roman, même lorsqu'elles brillent par leurs absences... Et enfin, toutes trois nourrissent un rapport particulier avec la nature : animaux et végétaux leurs viennent en aide pour peu qu'elles cherchent à les apprivoiser.

Le style d'Emilia Hart est plutôt agréable malgré quelques faiblesses. Elle change imperceptiblement de ton en fonction de l'époque et du personnage à l'oeuvre : les récits des trois femmes sont relatées en alternance. Seule Altha se confie à la première personne, alors qu'une narratrice narre les histoires de Violet et Kate. Malgré un démarrage un peu long, j'ai aimé le rythme de l'ensemble, qui s'accélère dangereusement dans les cent dernières pages.
En revanche, j'ai malheureusement quelques griefs de taille qui amenuisent mon plaisir de lecture... Les quelques faiblesses d'écriture tout d'abord : les répétitions sont-elles liées à l'autrice ou à la traduction ? Ensuite, quelques incohérences dans les liens entre les histoires des trois femmes (par exemple la broche que Frederick n'a jamais vue...). Ajoutons à cela un aspect un peu trop manichéen à mon goût (les hommes VS les femmes, les pères VS les mères), un peu amoindri par le frère de Violet et le père de Kate. Enfin, il m'a semblé que le thème de la sorcellerie était abordé de façon un peu floue, au même titre que les époques traversée (1619 et 1942), par manque de recherche ou de documentation. Il m'a donc manqué cette part d'immersion que j'aime trouver dans les romans partiellement "historiques".
Dernier point : je trouve l'illustration de couverture absolument parfaite - la corneille faisant partie des nombreux fils rouges qui unissent les trois femmes - contrairement au titre choisi en français : le titre original "Weyward" était plus approprié, me semble-t-il...
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critiques presse (2)
LeJournaldeQuebec
20 novembre 2023
Pour son premier roman, best-seller en cours de traduction dans le monde entier, l’écrivaine britannique Emilia Hart s’est laissé porter par une fascinante histoire se déroulant en trois époques. "La maison aux sortilèges", un roman captivant, mêle la fiction aux faits historiques.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
LaPresse
09 octobre 2023
Trois destins de femmes, séparées par quatre siècles, se rencontrent dans ce premier roman.
Lire la critique sur le site : LaPresse
Citations et extraits (28) Voir plus Ajouter une citation
Elle se rendit à l'étable pour la traite.Ses mouvements étaient lents,son corps plié en deux par la douleur.Elle vacilla avant de tomber à genoux et d'avoir un haut-le-coeur.Je pressai une main sur ma bouche quand la porte s'ouvrit.John sortit et fondit sur son épouse,agenouillé dans la boue gelée.
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Sorcière. Le mot glissait entre les lèvres tel un serpent, collait sur la langue à la façon du goudron noir et épais. Nous ne nous étions jamais envisagées de la sorte, ma mère et moi. Car ce mot avait été invité par les hommes, ce mot qui apporte du pouvoir à ceux qui le prononcent plutôt qu’à celles qu’il désigne. Un mot qui construit des potences et des bûchers, qui transforme des femmes bien vivantes en cadavres.
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La vue est une chose surprenante. Parfois, elle nous montre ce qui est sous nos yeux. Et parfois, elle nous montre ce qui s'est déjà produit, ou ce qui reste à advenir
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La vérité est semblable à la laideur : il faut se tenir tout près pour la voir
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Sorcière. Le mot glissait entre les lèvres tel un serpent, collait sur la langue à la façon du goudron noir et épais. Nous ne nous étions jamais envisagées de la sorte, ma mère et moi. Car ce mot avait été invité par les hommes, ce mot qui apporte du pouvoir à ceux qui le prononcent plutôt qu’à celles qu’il désigne. Un mot qui construit des potences et des bûchers, qui transforme des femmes bien vivantes en cadavres.
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Vidéo de Emilia Hart
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