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EAN : 9782200617714
183 pages
Armand ColinF (01/06/2018)
5/5   1 notes
Résumé :
Le personnage est au coeur de toute réflexion sur le orman : c'est autour dde lui que se construit l'intrigue et c'est également lui qui polarise l'attention du lecteur. Comment le ormancier parvient-il à donner consistance à ce "vivant sans entrailles"? A quelles techniques recourt-il pour créer un "effet personnage" conduisant le lecteur à s'engager dans sa rencontre avec cet être de fiction ? Quelle a été l'évolution du personnage de roman au cours des siècles ? ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Tout commence avec deux ilvres conseillés par Le Figaro LIttéraire, mais dont le distributeur refuse de préserver nos emplois en travaillant avec les libraires! Encore... Il y en a marre...
Alors je cherche sur le net et je touve cet ouvrage, ainsi que Ecrire Pour les Nuls que je viens de commander... et oui... comme on le voit souvent dans des films commerciaux... pas toujours très fins... il y a des For the Dummies ( Pour les Nuls!) pour tout...
Et puis j'ai décidé de lire le Héro aux milles visages jusqu'au bout après, mais qui concerne surtout le héro épique, qu'il soit dans un roman historique, de Fantaisy... ou pouur décoder une vieille légende, une annalyse universellement reconnu dont on parle beaucoup dans les documentaires sur les mythes... si..si... c'est comme cela que j'ai été mise au courant du llivre du prof de fac de George Lucas... un élève particulièrement doué pour cette matière qui a abondammant utiliser ce document... pour écrire son fameux Starwars!

Alors oui... ce petit livre, qui lui est beaucoup plus général, même si les références sont surtout des oeuvres dramatiques... Et pourquoi cela? Pourquoi ce prof de prépa littéraire à la fois agrégée et ayant obtenu un doctorat littéraire traite du drame;.. je crois que par mon expérience j'ai la réposne... avez vous essayez de raconter par exemple la série Friends? Et bien immanquablement vouus tomber sur un tas de fait social à travers 6 perrsonnages principau très contrastés... avec un entourage très contrasté, et des reenversement de situation qui crée un comique... on est tellement occupé à rire qu'on ne voit pas... et pourtant, c'est incroyable comme les personanges et les fait de société qu'ils vivent, influencés parfoois par des personages secondaires très contrastés eux aussi nous font vivre... on se concentre plus facilement sur la psychologie d'un drame que d'une comédie... peut être est ce la raison aussi pouur laquelle écrire une comédie... c'est plus difficile encore qu'un drame... et vous retrouverer aussi beaucoup d'observation à faire sur par exemple Desperate Housewife... à travers 6 femmes au foyer, totalement ou partiellement au foyer, mais là c'est un peu plus facile car le drame se mélange au comique... et crée le même effet détonant passant du rire au larme que dans les liasons dangeureuses... que d'ailleurs à lire ce précieux livre, je me rend compte que j'ai bien cerné même si l'auteure de cette essai est quand même plus précise et plus fine que moi dans son annalyse..
Alors si le premier chapitre commence par des généralités, au second chapitre... et bien on est en plein coeur du sujet : c'est l'essentiel de ce qu'il faut savoir sur les techniques variés utilisés par les grands écriivains... qu'ils n'utilsent pas en totalité... selon leur évolution, et selon le livre qu'ils écrivent... parce qu'il n'y a pas une méthode... même si Zola travaille énormément ses personnages avant de commencer à écrire... et bien d'autres écrivent sans préparation... modifiant eventuellement le premier jet pour maîtriseé une technique supplémentaire... bref, on l'aura compris, il n'y a pas une technique mais un ensemble de techniques, certaines adaptés au caractère de l'écrivain, d'autres qui s'impose au fure et à mesure que se déroule l'histoire... et là dans ce chapitre deux vous avez tous les aspet du personnage et la façon dont il s'exprime, agit...
Mais ce n'est pas finit, car il y a le positionnement eu personnage dans la scène au chapitre 3 et dans le temps au chapitre 4...
Le cinquième chapitre parle de coomment le personnage agit avec le lecteur ( même si c'est déjà abordé dans les présédents chaptires, on y en parle de façon plus spécifique... et dans le 6 e chapitre on voit l'évolution du XIX au XXe et la critique des personnages plus ou moins élaborés de façon juste... breef... tout ce que vous avez voulu savoir sur le personnage...
Comme tout livre dense, il est pour un public averti, pas forcément hautement formé... seulement le lecteur qui ose se poser des questions sur les personnages de Roman... et leur construction... qu'il écrive ou pas... même si cela aide vraiment à la conception... surtout au chapitre 2 on peut éventuellement se laisserr prendre au jeux et ce dire et si j'avias un personnage comme si ou comme cela... mais comme tout... cela doit etre naturelle pour ne pas tomber dans le personnage caricatural.. et c'est la la difficulté... Un livre vraiment pour public qui se pose des questions en la matière donc... et pas un lecteur qui s''attend à ce qu'on l'entraîne vers un intérêt auxquels il est psychologiquement fermé... ou bien qui s'attend à une impossible méthode... même si comme tout, cela peut s'apprendre progressivement... la difficulté c'est de s'adapter à votre façon bien personnelle de travailler....
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Laclos porte la technique du roman épistolaire à son point d'aboutissement dans les Liasons dangeureuses ( 1782) : la rouerie des libretains est en effet perceptible à travers la parfaite maïtrise qu'ils ont de leur style, tandis que la naïveté des "victimes" se trahit par leur maladresse stylistique. [note de Pégase Shiatsu on note d'ailleur un pic du phénomène au milieu du récit quand tout le monde se retrouve chez la tante de Valmont, avec des discutions osées qui nous font rire... alors qu'il y a trois victimes... un mari complasant qui regarde ailleurs... quand sa femme drague Valmont, la petite fille à peine sortie du couvent que Mme de Merteuil par vengeance ordone à Valmont de déflorer, et il y a la proie tellement convoité par un Valmont amoureeux qui refuse de se l'avouer, femme mariée aussi naïve finalement de la jeune fille sortiee de son couvent... et on rit... c'est vrai... alors que tout est déjà placé pour le drame final!]
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Des conflits plus troubles...
Cependant, les valeurs auxquelles renvoient l'action des personnages ne sont pas toujours aussi claires, aussi aisément lisibles, non plus que les "leçons" à tirer de l'ensemble du récit. A mesure que le personage s'individualise, son action se détâche des valeurs collectives dont il était le porteur et s'inscrit dans une quête qui obéti à des motivations privées, voire égoïstes. Il se distingue alors nettement de la figure du héros traditionnel, et peut entretenir avec la société qui l'entoure des rapports problématiques, sans qu'il soit aisé pour autant de porter sur lui un jugement définitif.
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Les noms restent cependant des éléments d'individualisation insufisants. La construcction d'un perrsonage requiert une description plus ou moins détaillée, un portrait qui va permetre de le caractériser et ainsi de lui donner d'avantage d'épaisseur.
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5 La parole des personnages.
Le romancier peut aussi faire indirectement le portrait de ses personnages en les faisant parler, ou en rapportant leur discours intérieur. André Gide qui s'éfforçait d'éviter dans ces romans le recours traditionnel au portrait, afin que le lecteur reste libre d'imaginer et de construire peu à peu l'image mentale des personnages présentés, souligne à plusieur reprises l'importance de ses paroles raportées.
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"L'âme du personnage"
Comme le souligne avec Justesse Emile Zola dans une lettre à Elie de Cyon, lle nom popre est en effet 'l'âme du personnage". Le romancier ajoute d'ailleurs : "changer le nom du personnage, c'est tuer le perrsonnage.
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