La prise de conscience et de pouvoir est digne de celle d'un
Perry Rhodan. Son amour des hommes politiques (mais pas de la politique) est toujours constant dans ses oeuvres et à peu près au niveau des actuels complotistes mondiaux (tous pourris – mafia d'état – complot pour garder le pouvoir et l'argent). C'est tellement plus simple pour résoudre tous les problèmes de la Terre quand il suffit de virer quelques hommes politiques corrompus et les remplacer par des gens de bonne volonté. Je l'adore mon doux rêveur de PJ.
Il nous résout le problème des distances interstellaires par le flux cosmique et les flux de neutrinos découverts par hasard et qui ont permis à des vaisseaux lambdas de voyager plus vite que la lumière en entrant dedans… Bah ça vaut bien une autre façon non expliquée – Trous de vers, bulle de distorsion – Et là pas de hard science, mais pas du tout du tout. D'ailleurs on trouve des planètes bleues dans le Centaure à ne plus que savoir en faire.
De toute ses oeuvres, c'est la première également qui met en scène la création de ses fameuses maternas (fabrication et élevage d'enfants en batterie) en réglant tous les problèmes des orphelinats, mais pourquoi on n'a pas fait ça avant ? Hein ça marcherait pas tu crois ? Et puis une personne à plein temps pour 10 gosses de 0 à 18 ans (et tous du même âge hein, pas échelonné – Bonne chance à elle pour les nourrissons à nourrir toutes les 3 heures).
Et enfin, nous aurons les prémisses et les explications de sa fédération et de ses guerres qui ont occupé une bonne partie de sa bibliographie SF.
Et pourtant, pourtant, je ne peux me détacher de ma lecture, tellement fluide, tellement facile à suivre et je me passionne pour cette grande migration… PJ je vous adore.