Depuis les années 1990, une part non négligeable du temps universitaire est consacrée à remplir des dossiers d’évaluation de l’activité des enseignants-chercheurs ou à répondre à des appels d’offres pour trouver des financements. Avec un postulat : il vaut mieux être dans de grosses unités d’enseignement, et surtout de recherche, pour espérer intégrer le Top 100 des universités du classement de Shanghai. L’objet de ce numéro est de comprendre le bien-fondé de cette ... >Voir plus