(LX971) Un peu déçu par cet album dans lequel je ne suis jamais entré véritablement. La faute peut-être à la brièveté des récits qui s'entrecroisent pour évoquer la douleur de l'exil pour des Colombiens disséminés, malgré eux, à travers le monde. Je ne suis pas franchement fan non plus des graphismes, je l'avoue. du coup, l'émotion pourtant bien présente est restée un objet un peu froid, sans réelle empathie pour ces personnages aux parcours souvent admirables et exemplaires. Non pour la sélection du Prix BDz'îles.
(CS971) Non pour BDZ'îles. Les protagonistes sont adultes. Dans des témoignages des exilés évoquent les conséquences des années de conflit en Colombie entre douleur, quête de vérité et espoir de justice. Planches intéressantes. Facile à lire. Je recommande pour un CDI lycée pour aider à comprendre cet épisode douloureux de l'Histoire de la Colombie.
(SCO971) J'ai été touchée par les histoires croisées de ces personnages liés par l'exil. Cet album est aussi l'occasion d'aborder l'histoire de ce pays, je trouve cela plutôt intéressant. Et graphiquement, j'aime bien. Donc oui pour le Prix, sinon en recommandation lycée.
(IK971) Un album évoquant le récit de personnes exilées en Colombie. le graphisme doux et l'évocation de ces histoires émouvantes, bien dosée dans la sphère
hispano-américaine est une belle découverte. Il permettrait aux collègues d'aborder la question de l'histoire et de la mémoire et alimenterait des critiques en espagnol... Oui pour le Prix en sélection Lycée.
(MAB971) Une belle redécouverte de l'histoire de ce pays. Oui pour la sélection lycée.
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Formidable! BD lue d'une traite tellement on est absorbé par les personnages. Tous sont colombiens et on trouvé refuge à l'étranger.
À l'occasion d'une interview, ils vont se recroiser et nous raconter leur histoire dans l'Histoire mouvementée de la Colombie. À lire et à recommander.
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J’ai l’impression que ceux qui avons quitté la Colombie sommes devenus transparents aux yeux des ceux qui sont restés. Comme si on ne comptait plus… Mais je me dis parfois que si on y retournait, quelque chose devrait changer là-bas. Parce qu’on s’est déshabitués de l’horreur.
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