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EAN : 9782072804175
544 pages
Gallimard (03/10/2019)
4.06/5   679 notes
Résumé :
Un vieux requin de la politique.
Un ancien officier des forces spéciales désormais chef de la police de Bogotá.
Un combattant des FARC qui a déposé les armes.
Un père, deux fils, une tragédie familiale sur fond de guérilla colombienne.
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Critiques, Analyses et Avis (131) Voir plus Ajouter une critique
4,06

sur 679 notes
Une nouvelle fois, Caryl Férey m'a emporté dans un pays déchiré, la Colombie, après l'Afrique du Sud (Zulu), l'Argentine (Mapuche) et le Chili (Condor). Cette paix annoncée par le titre, Paz, est loin de régner mais attention à ne pas confondre avec la capitale bolivienne, La Paz, un autre pays d'Amérique latine, situé bien plus au sud de celui dont la capitale est Bogotá.

Avec son talent unique d'écrivain maîtrisant parfaitement le thriller politique et social, il m'a permis de plonger dans les affres d'une société gangrénée par tous les trafics mais avant tout par celui de la drogue auquel s'ajoute celui, moins connu, des mines illégales.
La violence terrible et pourtant atténuée, comme le confie l'auteur dans ses notes de fin d'ouvrage, est omniprésente. Au travers des échos que nous avons dans notre lointaine Europe, il est difficile, voire impossible d'imaginer un tel degré de mépris de la vie humaine. Pour cela, peut-être faudrait-il remonter aux dégâts irréversibles causés par les conquistadores ?
Dans Paz, tout tourne autour de la famille Bagader. Saúl, le père, est un éminent personnage, Procureur général de la Fiscalía, il tire les ficelles afin que le pouvoir serve au mieux ses intérêts. Pour cela, il a placé Lautaro, son fils cadet, à la tête de la police criminelle de Bogotá.
Si son épouse, Lorena, est très troublée psychiquement, il y a des raisons que je découvre au fil des pages. Lautaro a un frère aîné, Angel, qui a choisi, par idéal, de rejoindre les FARC (forces armées révolutionnaires de Colombie) pour tenter d'abattre un pouvoir corrompu. Hélas, pour lui, bien avant que les négociations tenus à La Havane pour ramener enfin la paix (Paz) dans le pays, Angel a été capturé après que tous ses compagnons aient été massacrés. Il a vécu cent vingt jours cauchemardesques aux mains des paramilitaires puis passé huit ans en prison.
Au moment où se déroule l'histoire, il est en pleine réinsertion, travaille dans une librairie de Carthagène et côtoie Flora Ibanez, travailleuse sociale. Angel et Valeria, sa compagne à l'époque des FARC, ont eu une fille, Lucia, confiée à Rafaële, sa grand-mère, afin qu'elle ait la vie sauve.
Retrouver sa fille est l'unique but que poursuit Angel mais, pour cela, il doit faire la lumière sur l'histoire très complexe de sa famille. de plus, une vague de crimes atroces, mis diaboliquement en scène, secoue le pays. Pourquoi ? Pour qui ?
C'est ce que j'ai voulu absolument savoir en dévorant ce roman de la série noire de Gallimard, passant au travers de crimes plus atroces les uns que les autres, d'une misère noire poussant les paysans des montagnes à abandonner la culture du manioc pour la coca. Cette cocaïne dont le trafic enrichit des puissants se voulant très respectables afin que, dans les cités nord-américaines ou européennes, beaucoup trop de nos semblables décollent de la réalité, fassent la fête… Quelle fête ? Quelle réalité ? Pour combien de vies gâchées ? Pour en savoir plus sur ce thème, il est indispensable de lire Extra-pure de Roberto Saviano.

Paz m'a complètement emporté dans ce pays lointain, la Colombie, pour lequel Caryl Férey réussit de magnifiques descriptions qu'elles soient urbaines ou en pleine nature. C'est un fameux roman noir, plein, toutefois, d'humanité.
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Dès les premières pages, le décor est planté et notre curiosité aiguisée.

Un homme voit sa nuit - auprès d'une belle jeune femme brune Diana rencontrée sur Tinder, sous pseudo - écourtée suite à un appel téléphonique. Il doit rejoindre d'urgence le lieutenant Dunque, son bras droit. Diana se voit éjectée de l'appartement, sans explication. Elle a le temps de repérer sur la boite aux lettres le nom de celui qui vient de la virer de façon si peu élégante. Elle, qui est journaliste d'investigation pour le deuxième journal du pays El Espectador découvre qu'il n'est autre que Lautaro Bagader chef de la police criminelle et se dit que ce départ précipité doit cacher quelque chose d'important.
En effet, le cadavre d'une jeune fille nue, membres découpés et agencés selon la technique du "vase à fleurs" vient d'être trouvé quartier de la Candelaria. "Trente-six corps non identifiés retrouvés en morceaux aux quatre coins du pays dans la même semaine...", cette façon de procéder rappelle cruellement les massacres de la « Violencia », la guerre civile des années 50 qui a fait tant de morts et de déplacés. L'accord de paix signé récemment avec les FARC va-t-il devoir être remis en question ?
Un autre personnage entre en scène, Angel, frère de Lautaro, ex membre des FARC. Il vient de sortir de prison et a trouvé un emploi dans une librairie de Carthagène grâce à Flora Ibanez, la coordinatrice du centre de réinsertion. Il découvre ou plutôt son chien découvre une tête humaine, à demi ensevelie dans le sable mouillé de la plage.
L'enquête parviendra-t-elle à résoudre tous ces crimes abominables perpétrés dans un pays déjà en grande souffrance ?
Si Caryl Férey avait situé Mapuche en Argentine, Zulu, en Afrique du Sud et Condor au Chili, pour Paz, il a donc choisi comme décor la Colombie, pays gangrené par la violence et la corruption.
Avec Paz, Caryl Ferey nous offre encore un excellent thriller, richement documenté, radiographie d'un monde violent, sans concession, mais hélas bien réel, en l'occurrence la Colombie, où certains hommes politiques coopèrent encore avec des groupes de narcotrafiquants et paramilitaires, malgré l'accord de paix récent avec les FARC.
Outre ce volet culturel hyper enrichissant de quasi reportage journalistique, c'est également le génie de Caryl Férey pour construire un thriller à l'intrigue très sombre, basé sur une tragédie familiale, au sein d'un conflit qui n'en finit plus de récidiver, que je salue. Sur plus de 500 pages, il maintient un suspense extraordinaire où la sociologie, la politique et l'amour sont étroitement mêlés. Paz est une grande fresque captivante de bout en bout portée par des femmes intrépides auxquelles l'auteur donne une place de choix.
On est très loin des romans à l'eau de rose et c'est souvent sombre, mais l'auteur a su apporter quelques touches d'humour et parfois de poésie, beaucoup de psychologie dans ses personnages. Ce polar à l'intrigue haletante m'a permis de découvrir un tableau de la Colombie, très documenté, loin des cartes postales.
Quant au titre Paz, n'est-ce pas ce que l'on souhaiterait, d'abord pour les personnages du roman et à plus grande échelle, pour la Colombie et pour le monde tout entier ?

Pour moi, Caryl Férey est le maître incontestable du polar sociologique et politique. Un vrai coup de coeur que j'ai pu ressentir grâce à Lecteurs.com dans le cadre des Explorateurs du polar et aux éditions Gallimard / série noire.
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Carl Ferey. Vraiment ,un bon , un très bon auteur de polars .Enfin , pour certains d'entre nous , nombreux tout de même , car je connais nombre de lecteurs aguerris qui " voudraient bien , mais ...ne peuvent point ." C'est qu'il ne fait pas dans la dentelle , notre ami Caryl , des morts , y'en a et c'est souvent , comment dire , " pas toujours très poétique " oh,non, c'est plutôt genre " massacre à la tronçonneuse " , du lourd , du glauque , du violent .Un monde de mecs dans lequel évoluent aussi quelques femmes " qui en ont "...Des gros bras , pas toujours d'une "exquise finesse " chez des personnages que rien n'effraie ....Avec eux , je pense que même le coronavirus aurait eu peur ...Enfin , je suppose , hein , parce que je devais le rencontrer vendredi dernier , notre ami Caryl, invité qu'il était à s'exprimer devant notre club de lecteurs ...Las , vous savez ce qu'il advint de toutes ces réunions....Le coronavirus , force est de l'admettre , a fait reculer ce brillant auteur, partie juste remise , espérons- le , tant l'événement était attendu....
Bon , je m'égare et je résume, si vous n'aimez pas nager dans le sang ou marcher sur des morceaux de cadavre en décomposition, passez votre chemin ! Par contre , si vous avez passé avec succès les épreuves de " Mapuche ,Zulu , Utu , Aka..." alors vous allez vous plonger avec intérêt dans ce nouveau roman.Comme l'indique le bandeau de présentation, il sera question d'un père, de ses deux fils , d'un drame familial dans un pays plus qu'agité, un pays où règnent les trafics de drogue , d'êtres humains , un pays de luttes pour le pouvoir et la puissance , un pays fascinant sans doute , mais tout de même à éviter, oui , oui, même lorsque la pandémie qui s'abat sur nous se sera calmée et éloignée . Ce pays , c'est la Colombie dont l'auteur , dans un récit fort bien documenté, va nous présenter le pire...Car Caryl Ferey , c'est ça aussi , une grande érudition et un immense travail de recherches sur le contexte économique et social du cadre de l'action . Là encore , cet aspect du roman peut s'avérer fastidieux à la lecture , mais est un élément essentiel pour la compréhension de l'intrigue .Et on en apprend , des choses....Comme je vous l'ai dit , " il faut aimer " , c'est vrai , mais quand on aime, comme moi ....
L'intrigue est construite avec une implacable rigueur , écrite avec habileté, la syntaxe sert au mieux le récit, tout comme , d'ailleurs , le vocabulaire choisi pour s'adapter aux événements, d'où , parfois ,certains propos un peu...... comment dire ....." sans filtre "
J'ai pris l'habitude de " suivre " Caryl Ferey " , j'ai passé " l'épreuve " et je me réjouis chaque fois que paraît un nouvel ouvrage . Celui -ci s'inscrit parfaitement dans la lignée de ses prédécesseurs, comme le montrent les avis de nombreux ami(e)s babeliotes .
Mais , bien entendu , vous n'êtes pas obligé(e)s de me croire....
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Caryl Férey, indiscutablement, traduit des centaines d'idées et un foisonnement de personnages, avec une plume trempée dans une encre d'acier et de sang, dans un livre qui ne porte ni la paix dans les familles ou dans une Colombie déchiquetée par la guerre civile, ni l'amour durable dans les coeurs et les corps car ceux-ci sont très vite anéantis après les premiers ébats ou sentiments.

Son livre est extrêmement documenté sur la période des FARC en Colombie, sur la vie si dure des paysans, sur la corruption, la politique des profits, le mal sous toutes ses formes.

Il dit lui-même dans sa conclusion avoir atténué dans son texte les drames subis par le peuple colombien! Et pourtant, Paz est d'une violence extrême, avec des descriptions précises de toutes les découpes pouvant être pratiquées sur un corps, vivant ou mort. Les "bons" meurent, les "méchants" finissent par disparaître également dans des bains de sang ou d'une simple balle dans la tête évoquée en une ligne, telle la mort d'une policière que le lecteur aurait pu imaginer jouer un rôle plus conséquent.

En effet, Caryl Férey sait camper ses personnages, les faire aimer ou haïr par ses lecteurs auxquels il ne dévoile jamais leur brève espérance de vie dès l'instant où ils apparaissent dans l'histoire.

Moins de cinq d'entre eux tiennent les premiers rôles, particulièrement deux frères que tout semble séparer, Caïn et Abel aux mains chargées de sang, mais aussi d'amour, maladroit, malheureux, destructeur.

Quelques longueurs supportables avec l'histoire des FARC, du trafic de la drogue, de la prostitution des adolescentes, n'entament cependant pas trop le rythme de cette épopée sanglante au terme de laquelle subsiste quand même une leur d'espoir.
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Tout avait bien commencé entre Paz et moi : une maison d'édition sérieuse, un auteur dont j'avais entendu parler en bien et puis au beau milieu du livre : plouf , le soufflé est retombé !
Caryl Ferey est un écrivain français qui, après avoir roulé sa bosse à travers le monde, (entre autres pour le Guide du Routard) a décidé de "se la rouler "solo , et part en pensée dans le pays qu'il veut , et en fait le décor d' un de ses romans. Ainsi, après être " rentré" d'Afrique du Sud, il nous embarque pour ce thriller en Colombie...
On est dans la chambre à coucher d' un homme , Lautaro, . Il reçoit un coup de fil au beau milieu de la nuit . il faut qu'il sorte et pour cela, il va virer sa "rencontre Tinder". Seulement , Diana, la fille , ( accessoirement " le plus beau cul de Bogota " dixit le quarantenaire.... ), n'est pas née de la dernière pluie , elle est journaliste et va mettre le paquet pour identifier sa "rencontre Tinder", flairant un gros coup ... Elle ne s'est pas trompée : lui, c'est le chef de la police de Bogota. Son père est un homme politique puissant, et son frère, un combattant des Farc, récemment sorti de prison, vivant sous une fausse identité.
Entre ces trois hommes, des tragédies familiales, la violence d'un pays où la vie humaine ne vaut pas grand chose .
Oui, mais voilà, trop c'est trop...
Des problèmes familiaux comme s'il en pleuvait, des réactions à la Rambo qui m'ont fatiguée et des passages pas très subtils que n'aurait pas renié les éditions Harlequin, seulement eux, ils y vont franco ... le Colonel Lautaro Bagader est un homme d'expérience, quarantenaire , qui a du pouvoir, qu'aucune fille n'a réussi à ferrer, bon coup, belle gueule et belle caisse ... La fille ne résiste pas à sa froideur ... Brrrrrr .
Son père et son frère , eux aussi , ne sont, (ou ne vont ), pas être en reste... et la nouvelle copine de risquer sa vie pour les beaux yeux de son nouvel amoureux, [ Dans tes rêves Caryl !:-))
Bref, tout ça pour dire que je suis fatiguée des héros bourreaux des coeurs , je préfère encore les vieux flics portés sur la bouteille !]
Heureusement, ces petits défauts sympathiques sont noyés dans quelques phrases poétiques et dans les formidables connaissances de Caryl Ferey sur ce pays. Mafia, Farc, corruption, violences , on s'y croirait. Pas sûre qu'après cette lecture vous ayez envie de prendre un billet d'avion pour la Colombie...
Un roman un peu macho, très musclé, plein d'action et très dépaysant.
[ Si ce style de thriller est votre tasse de thé , (enfin, de café colombien..) , alors , oubliez mon avis : vous allez adorer Paz ].

Challenge Mauvais Genres
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critiques presse (1)
LeDevoir
09 décembre 2019
Une écriture parfois lumineuse, parfois gore mais toujours sans compromis, directe, fascinante. Lire du Caryl Férey, ce n’est pas de tout repos, mais les choses qu’il a à dire, et la façon dont il les dit, sont essentielles.
Lire la critique sur le site : LeDevoir
Citations et extraits (102) Voir plus Ajouter une citation
Débarquant sur le continent après avoir colonisé les Caraïbes, les conquistadores espagnols avaient donné le nom de Christophe Colomb à ces terres luxuriantes - Colombia - avant d' y prendre pied et d'en massacrer les autochtones. Ceux qui avaient survécu aux maladies importées d'Europe avaient servi de bêtes de somme, tombant comme des mouches dans les mines et les champs pendant que l'Inquisition torturait les hérétiques, les accusés de sorcellerie, les innocents, les folles, leurs fils. Il avait fallu l'intervention du dominicain Las Casas auprès du pape pour que les Indiens obtiennent le statut d'être humain, soit autant d'âmes à évangéliser et quelques bols de soupe à se partager car Dieu est amour.
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Contrairement à la majorité des élites, Diana Duzan ne trouvait pas normal que les représentants de l'Église et les politiciens s'offrent des voyages de luxe aux frais du contribuable, que les hauts fonctionnaires détournent l'argent des manifestations sportives et culturelles, que les élus vendent leur indépendance à ceux qui finançaient leur campagne, touchent des commissions en liquide des entreprises chargées des grands travaux, volent l'argent de la santé, de l'éducation ou des enfants souffrant de malnutrition, que les anciens Présidents se rassemblent dans une sorte de club privé pour poursuivre leur business.
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Ce qu'il découvrit fut à la hauteur de ce qu'il avait imaginé sur la route : la femme était nue, posée en évidence dans la fontaine asséchée, mais on avait scié ses bras et ses jambes avant de les lui enfoncer de moitié dans le torse et le bassin, la rapetissant d'autant. Lautaro alluma la Maglite qu'il gardait dans la poche de sa veste. Il avait déjà vu cette coupe dite du « vase à fleurs », quand on vidait les entrailles de la victime pour y introduire ses membres amputés et la rendre difforme. L'aspect du cadavre était de fait ridicule avec ses bras qui commençaient aux coudes et ses jambes aux genoux, on aurait dit une naine de foire ensanglantée. Ridicule et absolument effrayant.
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Débarquant sur le continent après avoir colonisé les Caraïbes, les conquistadores espagnols avaient donné le nom de Christophe Colomb à ces terres luxuriantes – Colombia – avant d’y prendre pied et d’en massacrer les autochtones. Ceux qui avaient survécu aux maladies importées d’Europe avaient servi de bêtes de somme, tombant comme des mouches dans les mines et les champs pendant que l’Inquisition torturait les hérétiques, les accusant de sorcellerie, les innocents, les folles, leurs fils. Il avait fallu l’intervention du dominicain Las Casas auprès du pape pour que les Indiens obtiennent le statut d’être humain, soit autant d’âmes à évangéliser et quelques bols de soupe à se partager car Dieu est amour.
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L'affaire qui l'occupait sentait la pisse froide contre un mur en parpaing. Lautaro avait doublé les récompenses pour obtenir des infos, sans résultat. Les cadavres s'accumulaient. Plus d'une trentaine, dont la moitié hors de sa juridiction, et tous n'avaient sûrement pas encore été découverts : un bombardement de morts, par petits bouts éparpillés comme des munitions à fragmentation touchant la population civile. Les médias n'étaient pas au courant, focalisés sur les premières élections depuis les accords de paix. Ça ne durerait pas.
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Vidéo de Caryl Férey
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Version intégrale de la vidéo : https://youtu.be/dITmPEz5aOk
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