AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,69

sur 1102 notes
Avant tout, je dois dire que je ne sais où classer ce roman inclassable.
Le narrateur se lance sur la piste d'un triple meurtre exécuté au château d'Escoire près de Périlleux en octobre 1941.
Son ami Manu lui demande d'écrire sur son grand père, Henri Girard, accusé d'avoir tué son père Georges, sa tante Amélie et la bonne Louise pour récupérer plus vite l'héritage. En effet, fantasque, dépensier, colérique, son père en aurait plus qu'assez de ses demandes incessantes d'argent. Une nuit, il les aurait donc frappés de violents coups de serpe à la tête, au dos...
Le narrateur se plonge dans les archives, dans les livres que Girard, acquitté en 1943, écrira plus tard sous le pseudo de Georges (comme papa) et Arnaud (le nom de jeune fille de sa mère morte prématurément) et notamment "Le salaire de la peur".
Il semble qu'il fasse toute la lumière sur cette affaire et si je suis épatée par l'obstination de l'auteur, qui soit dit en passant nous balade bien au début, je suis atterrée par l'incompétence, la négligence, la bêtise même des autorités judiciaires et policières.
J'ai adoré le ton de cette enquête entre sérieux et auto dérision. J 'ai aimé les digressions de l'auteur qui ramène sans arrêt son grain de sel dans la narration.
Bref, j'ai tellement aimé que je viens de faire l'acquisition de "La petite femelle".
Commenter  J’apprécie          100
La SERPE de Philippe JAENADA ( Julliard - Prix Femina 2017 - 643 page)

>

> Il faut faire un effort au début. Je me suis emberlificotée entre les Henri, les noms des ancêtres.....mais au fil des pages tout est rentré dans l'ordre.

>

> L'écrivain devient un détective acharné relevant de petits détails au fil de son enquête.

>

> En octobre 1941 dans un château du Périgord trois personnes sont massacrées à coup de serpe. Henri Girard, fils et neveu est tout de suite désigné comme le coupable. Il dormait dans une aile du château et n'a rien entendu.

>

> Vous connaissez sans doute Henri Girard sous le nom de George Arnaud (Le salaire de la peur)

>

> La première partie du livre nous décrit un personnage guère sympathique. La deuxième partie au fil des éléments nous découvrons une autre vérité tout à fait plausible.

>

> Nous partageons le séjour de l'auteur sur les lieux du drame . Il se plonge dans la montagne de documents (photos, témoignages, autopsies, plan etc..)

> Cela me conforte dans mon opinion sur la Justice....Quand l'enquête est bâclée et dirigée par des personnages bornées qui ne cherchent que dans un sens, le véritable assassin peut échapper à la prison. Tel que le petit Grégory...et bien d'autres...Heureusement il y a actuellement la police scientifique.....



> J'ai fait un copier coller d'un passage du livre qui m'a fait rire.....Le voici ci-après....

>

> le premier tournage auquel j'assistai, il y avait là Simone Signoret, bonne bourgeoise, licenciée de philo. Elle m'exposa avec l'accent parisien qu'un roman de moi qui se passait sous les tropiques constituait une trahison des copains ajusteurs de Boulogne-Billancourt : “Et le prolo, Arnaud ? le prolo ?” le prolétariat me vengea dans l'heure. À son arrivée sur le plateau, Simone allait au peuple et lui parlait son langage, à la cantonade, d'ailleurs : “T'as vu ce soleil, camarade ? Un peu beau, non ?” “Mais Madame Signoret, répondit un machiniste, on n'a jamais gardé les visons ensemble...”

>

> Beaucoup d'humour heureusement dans cette sombre histoire. Un bravo à Philippe Jaenada pour son travail minutieux qui m'a tenu en haleine jusqu'au bout.

>

> Bonne lecture

>Mireine
Commenter  J’apprécie          90
Henri Girard, fils de famille, est accusé, en 1941, d'avoir tué à coups de serpe, son père, sa tante et la bonne. L'histoire fait scandale mais au procès, l'avocat Maurice Garçon démonte l'accusation et obtient l'acquittement de son client. Exit donc le tueur du Périgord. La réputation du jeune homme est malgré tout entachée si bien qu'il file en Amérique latine. Plus tard, devenu George Arnaud, il écrira des livres, dont le Salaire de la peur.
Bien mené, riche en détail, à la fois profond et drôle, le roman de Philippe Jaenada se présente sous la forme d'une enquête serrée. Les hypothèses se succèdent, les théories échafaudées. C'est riche et complexe. Une belle lecture qui comporte toutefois des longueurs...
Commenter  J’apprécie          90
Philippe Jaenada.
La serpe
Editions Juillard
634 P.
Quatrième de couverture:
Un matin d'octobre 1941, dans un château sinistre au fin fond du Périgord , Henri Girard appelle au secours : dans la nuit , son père , sa tante et la bonne ont été massacrés à la serpe.Il est le seul survivant.Toutes les portes étaient fermées , aucune effraction n'est constatée.Dépensier, arrogant , violent , le jeune homme est l'unique héritier des victimes. Deux jours plus tôt, il a emprunté l'arme du crime aux voisins. Pourtant, au terme d'un procès retentissant ( et trouble par certains aspects), il est acquitté et l'enquête abandonnée . Alors que l'opinion publique reste convaincue de sa culpabilité , Henri s'exile au Venezuela .Il rentre en France en 1950 avec le manuscrit du Salaire de la peur , écrit sous le pseudonyme de Georges Arnaud.
Jamais le mystère du triple assassinat du château d'Escoire ne sera élucidé,laissant planer autour d'Henri Girard, jusqu'à la fin de sa vie (qui fut complexe , bouillonnante , exemplaire à bien des égards), un halo noir et sulfureux. Jamais , jusqu'à ce qu'un écrivain têtu et minutieux s'en mêle...
MON AVIS :
Bravo ! une merveille recommandée par une amie.
Philippe Jaenada nous éblouit , nous fait vivre son roman avec humour , un vocabulaire riche , parfois poétique pour expliquer des choses graves.
Mais quel travail ! Jaenada reprend point par point le procès , les investigations d'un triple meurtre avec une élégance parfaite. Tout ceci est basé sur un fait réel !
Vous connaissez sans aucun doute , le salaire de la peur de Georges Arnaud, mais là , le meurtrier est Henri Girard , son vrai nom, et oui , l'auteur va retracer sa vie à la fin de la guerre jusqu'à aujourd'hui.
Mais quelle réussite !
De plus , l'auteur , de son point de départ , s'amuse à jouer avec le club des cinq: j'ai ri , mais j'ai ri .J'ai vécu des émotions ( cela fait du bien au coeur !)
L'auteur fait souvent référence à un autre se ses roman La petite femelle , sur lequel , je vais me pencher bientôt.
Enfin , ce roman fait la part belle à de nombreuses références littéraires et culturelles font partie de ce roman.
UN MOT SUR L'ÉCRIVAIN :
Philippe Jaenada a publié entre autres chez Juillard le chameau sauvage ( prix Alexandre Vialatte et prix de Flore), Sulak ' Prix d'une vie( le Parisien Magazine, prix Claude Chabrol et Grand Prix des lycéennes de Elle) et la Petite Femelle.
Commenter  J’apprécie          90

Bien construit mais pas spécialement bien écrit. de plus, un auteur qui se trouve drôle, ça devient lassant. Cette lecture qui avait bien commencé a donc fini par devenir un supplice auquel je mets fin à la page 361.

Certains considèrent que c'est de l'humour. Moi, ça m'énerve :
Même si tant pis, je vais avoir l'air d'un pouilleux au Garden Ice (Parisien bohème!) et partout les jours suivants - je n'ai qu'une veste et mon deuxième pantalon est trop serré, j'ai un peu pris ces derniers temps, mais ça, voue ne pouviez pas le savoir.) p.229

Commenter  J’apprécie          90
C'est après une (énième) rediffusion à la télé du film "Le salaire de la peur" et la lecture d'une critique dudit film que je me suis avisé de la présence, dans ma pile à lire, du livre-enquête de Philippe Jaenada. le film de Clouzot est une adaptation du roman de Georges Arnaud, nom de plume d'Henri Girard, qui s'était, lui, inspiré d'un récent épisode sud-américain de son propre parcours. Or, c'est ce même Henri Girard qui, près de dix ans plus tôt, en 1941-1943, accusé d'avoir assassiné (au moyen d'une serpe, donc) son père, sa tante et une domestique dans le château familial en Dordogne, avait passé dix-neuf mois en prison, avant d'être acquitté, contre toute attente.
Le gros livre de Jaenada narre dans une première partie la vie hautement romanesque de ce fils de famille révolté que sa longue détention va marquer pour le restant de ses jours (c'est compréhensible), revient en détail, dans une deuxième partie, sur les meurtres, l'instruction et le procès, et s'attache enfin à démontrer que l'auteur des homicides n'était pas Henri Girard mais plutôt le fils du couple de gardiens du château. En dépit d'une instruction presque totalement à charge, Girard a été acquitté, grâce aux talents professionnels de son avocat Maurice Garçon, certes, mais aussi, probablement, pour d'obscures raisons liées à la période de l'Occupation et des débuts de la Résistance.
L'auteur a abattu un travail de documentation considérable et ne s'est pas "contenté" de lire, à distance, tous les ouvrages consacrés à cette affaire : il s'est rendu sur place (à la même époque de l'année que celle des crimes), a parcouru la campagne périgourdine dans une voiture de location, a dépouillé des milliers de pages d'archives et s'est même livré à des expériences destinées à vérifier la vraisemblance d'un témoignage (comme de laisser tomber dans l'herbe, un soir, près du château, un foulard de soie de sa femme pour savoir s'il serait imbibé de rosée le lendemain matin...). Ce récit au jour le jour de son enquête constitue l'un des attraits du livre ; en revanche, les digressions et les incises (et les parenthèses dans les digressions) pourront en dérouter plus d'un ou d'une.
Commenter  J’apprécie          90
Je n'ai pu supporter ce livre qu'en audio book en allant au travail.
Si l'histoire de Henri Girard (Georges Arnaud) est hautement romanesque ce qu'en tire P.Jaenada est trop souvent irritant pour qu'on s'y arrête.
Déjà l'auteur est envahissant : son courage d'explorateur de la France profonde, ses anecdotes familiales grotesques (le thermomètre de son fils !) et ses retours sur son livre précédent plombent le récit. Quant au coeur de l'affaire : le triple crime non résolu dont fut acquitté H.Girard il est certes bien exploré mais ça ne suffit pas à notre Rouletabille : il va nous trouver le coupable et nous expliquer que la police, la gendarmerie et la justice furent acharnés contre l'accusé. Mais pourquoi ? Parce qu'il était riche et parisien ,la voilà la clé, l'éternelle guerre des classes et celle entre la province réac et la capitale éclairée. C'est un peu court mais ça suffit à P.Jaenada qui nous habille tout ça avec l'humour lourdingue de celui qui a peur de passer le périphérique.
Commenter  J’apprécie          91
Alléchée par la taille de ce livre (J'aime les pavés...), j'ai commencé sa lecture avec une belle humeur: un nouvel auteur à découvrir - c'est mon premier livre de Jaenada - un sujet interessant, et 640 pages à lire.
Une semaine plus tard, je n'ai toujours pas dépassé la page 150 et je déchante.
L'auteur ne cesse des faire des digressions épuisantes (allant du pneu peut-être dégonflé de sa voiture à des considérations peu aimables sur Simone Signoret - qui n'a par ailleurs rien à faire dans ce livre), et de sauter d'une époque à l'autre sans vraiment prévenir.
Et quand enfin il entre dans le vif du sujet (le crime annoncé en début de roman), on se retrouve noyé dans une avalanche de détails concernant le traitement de l'affaire. Tout est soigneusement décortiqué et tous les éléments passés au crible, c'est un peu vertigineux.
J'ai fini le tout péniblement, mais satisfaite de ne pas avoir abandonné, Néanmoins je vais attendre un peu avant de lire un autre livre de cet auteur:)
Commenter  J’apprécie          92
Henri Girard est-il l'auteur des trois assassinats perpétrés, avec une serpe, une nuit d'octobre 1941 au château d'Escoire ?
Philippe Jaenada a-t-il résolu l'énigme ?

Incité par son ami Manu (petit-fils d'Henri Girard) à écrire sur son grand-père, aventurier, écrivain, journaliste mais aussi mis en cause dans l'assassinat de trois personnes, Philippe Jaenada accepte de s'intéresser à ce personnage. Après avoir pris connaissance des journaux de l'époque il décide d'enquêter sur place. Il part pour le Périgord "en Opel Mériva" . Il y est accueilli par Sylvie et Françoise des archives départementales de la Dordogne. Elles lui permettent d'accéder à la totalité du dossier judiciaire (entièrement numérisé).

La première partie de l'ouvrage est à charge. Henri Girard est présenté comme un jeune homme de 24 ans, antipathique, dépensier surtout de l'argent de ses proches (Père et Tante), violent, peu apprécié par les villageois voisins du château.

Les conditions dans lesquelles les meurtres ont été commis (château fermé, pas de trace d'effraction, serpe empruntée la veille aux gardiens) et l'attitude indifférente d'Henri à l'arrivée de la police et des voisins (joue du piano et boit de l'alcool) l'accusent. Il est emprisonné dans l'attente du procès. Défendu par Me Maurice Garçon il est acquitté à la surprise générale.
Héritier d'une grande fortune, il va la dissiper en moins de deux ans, s'exile au Venezuela, revient au France en 1951, publie sous le nom de George Arnaud un roman "le salaire de la peur" dont Henri-George Clouzot fera un film.

La deuxième partie est à décharge. A la lecture de documents, particulièrement les échanges de correspondances entre Henri et son père, Philippe Jaenada dessine un Henri totalement différent. Il aime et est aimé de son père, de sa tante et de leurs amis. Courageux il aurait participé au début de la Résistance.
L'auteur décortique l'ensemble des pièces judiciaires, compare les témoignages rédigés au cours de l'enquête à ceux répétés lors du procès, refait les trajets des témoins, visite les lieux. Son enquête est si fouillée qu'il arrive à démontrer que l'un des témoins pourrait être le vrai coupable.


La Serpe est le premier livre que je lis de Philippe Jaenada. J'ai apprécié son écriture, j'ai aimé les interruptions dans son récit pour parler de son quotidien, de ses rencontres, pour dire son amour à sa femme et son fils, ainsi que les allusions à ses précédents ouvrages....

Un petit bémol toutefois, j'ai été un peu perturbée par la présentation du texte trop serré et par l'absence d'interlignes entre les paragraphes. La longueur de certains chapitres occasionne un petit embarras pour trouver le bon passage pour poser le livre lorsque la vie quotidienne m'a contrainte à des activités plus prosaïques !!(634 pages ne se lisent pas d'une traite).





Commenter  J’apprécie          90
Voila un livre somme !
650 pages pour que Philippe Jaenada nous parle du triple meurtre d'Escoire et d'Henri Girard.
En 1941 , dans le château d'Escoire en Dordogne Georges Girard ( père d'Henri) Amélie ( Tante d'Henri) et la bonne sont sauvagement assassinés à coup de serpe.
Henri présent sur les lieux est le seul survivant de cette tuerie. Il en sera accusé , il fera 19 mois de prison , sera jugé et acquitté de ces trois meurtres.
Par la suite l'enquête sera abandonnée et ce triple meurtre restera non élucidé.
Henri Girard aura une vie avant les meurtres et une autre après
Au moment des meurtres il a 24 ans. Il a une vie de patachon faite de dépenses d'arrogance.
Après son inculpation , son passage en prison et son acquittement Henri Girard devient un autre homme.
D'abord il change de nom. Il prend le Prénom de son père et le nom de sa mère. il devient Georges Arnaud , écrivain , journaliste. Il est entr autre l'auteur du Scénario du film le salaire de la Peur .
Il part vivre 7 ans en Amérique du Sud , il revient en France puis part en Algérie. Il rencontre Jacques Vergès et sa vie de journaliste et d'écrivain sera dédiée maintenant à la défense des minorités.
Dans ce livre Philippe Jaenada nous raconte cette vie à la lumière de ce triple meurtre d'Escoire.
Cela aurait pu être un livre long , documenté et ennuyeux.
A certains moments nous ne sommes pas loin de ces qualificatifs. Il n'est pas toujours facile de suivre la chronologie des faits quand il s'agit de détails tels que des horaires , des pièces allumées ou éteintes , des loquets ouverts ou fermés.
Mais le charme de ce livre vient de Philippe Jaenada lui même.
Pour cette contre enquête , il se met en scène et cela éclaire le livre différemment.
Philippe Jaenada nous apparaît comme un tendre Nounours.
Un de ses amis Manu Girard est le petit fils d'Henri Girard . Il lui parle de ce qu'a vécu son grand père lors de ce triple meurtre . Bon copain Philippe Jaenada n'est pas seulement intéressé, il va reprendre l'enquête et essayer de comprendre les arcanes de ce mystère.
Le voila parti pour Périgueux. A bord de sa Mériva ou l'électronique liée à la pression des pneus l'interroge.
Notre Nounours n'est pas un as de la mécanique. Notre Nounours est affectif !
Il préfère nous parler de son fils Ernest ado de 16 ans et s'enfouir dans le foulard de soie de sa femme qu'il a emmené avec lui.
Il préfère nous expliquer qu'en bon parisien , la marche le fatigue et que de façon totalement irrationnelle il pense arriver dans une région ennemie en Dordogne.
Il doit sûrement être épié , lui le parisien qui revient enquêter sur un meurtre vieux de 75 ans.
Il a aussi peur de cette bâtisse , de ce château aux grilles fermées et aux bruits sûrement étranges.
Philippe Jaenada est un étrange écrivain qui devient détective , inspecteur.
On le verrait bien avec l'imper de Columbo. le cigare est remplacé par le Whisky. Si possible Oban sinon Talisker.
Et comme Columbo , sous son air de ne pas y toucher son enquête est très fouillée et documentée.
Et cette enquête respecte les protagonistes et le lecteur.
Il nous ouvre des pistes
Le personnage d'Henri Girard est tellement multiple. L'époque l'est tout autant.
Devant quelle réalité sommes nous ?
Henri Girard a été acquitté par un jury populaire en moins de 10 minutes alors que sa culpabilité ne semblait faire aucun doute. Son avocat Maître Garçon maître du barreau de l'époque a retourné le jury. Mais sur quelle vérité ?
Suite à cet acquittement l'enquête a été abandonnée . 3 meurtres et pas d'assassin
Henri Girard s'est accusé des meurtres bien plus tard dans sa vie, auprès de Gérard de Villiers auteur célèbre des SAS. Quelle est la réalité de ce témoignage.
Henri Girard parlait de son père avec beaucoup d'affection de tendresse et de connivences partagées. Qu'en est il de ce lien avec "son vieux Georges"
Qu'en est il des gardiens du château . Doulet père et fils. Qu'elle lien avec ces 3 meurtres. ?
Philippe Jaenada dans sa Mériva rentre sur Paris , nous nous sortons du livre.
chacun avec ses réalités.
Commenter  J’apprécie          90




Lecteurs (2449) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2883 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *}