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sur 723 notes
Dans le livre de P.D. James, on reprend la vie heureuse de Elizabeth Darcy, mariée depuis quelques années et mère de deux délicieux petits garçons. Dans son château aura lieu un assassinat, l'assassinat d'un proche de la famille , et ce sera un ami d'enfance de Mr Darcy qui sera accusé du meurtre. Ceci est prétexte pour faire le procès de personnages déjà connus et de découvrir des turpitudes insoupçonnées chez les uns et les autres. Peinture sociale d'un certain milieu, celui de la gentry campagnarde avec ses loisirs, ses rites , ses devoirs aussi. Et un procès retentissant qui occupe presque tout le roman, le rendant un peu lourd, un peu fastidieux et finalement un peu long.
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Vous aurez surement compris que je suis dans une phase nostalgique des romans de Jane Austen. Et lorsqu'on m'a prêté ce titre qui a fait coulé beaucoup d'encre sur les blogs, je n'ai pu résister. Je dois avant tout vous dire que c'est le premier roman de P.D. James que je lis, je ne pourrais donc pas faire de comparaison avec ces autres titres.
Le début s'annonce bien. P.D. James reste fidèle aux personnages dessinés par Jane Austen. Elle rappelle d'abord les éléments clés de l'histoire d'Orgueil et préjugés, avant de tisser rapidement les fils de leur destinée jusqu'aux jours qui nous intéressent ici, quelques 4 ou 5 années après le mariage de Lizzie et Darcy. Si au début donc, on retrouve l'atmosphère si agréable de l'oeuvre originelle, très vite, on s'embourbe dans du cliché vivant.
Nos deux héros ont eu 2 enfants, qu'ils ne voient guère qu'en allant visiter la nursery. J'aurais cru Elizabeth plus attachée à la famille et donc à prendre une part active dans l'éducation de ses propres enfants. Darcy, quant à lui, n'a plus le charme de l'impossible, maintenant qu'ils sont mariés. Plus de taquineries. Il semble quelque peu ennuyeux et rigide. C'est surtout lui que nous allons suivre d'ailleurs puisqu'en tant qu'homme, il est le seul à pouvoir gérer les conséquences de ce drame qui s'est produit sur ses terres. D'où peut-être l'ennui que le lecteur traine tout au long de sa lecture. le couple que Darcy forme avec Lizzie est assez plat, quelconque et sans étincelles. Seul l'infâme Wickham est au final plein de vie : il a fait la guerre d'Irlande, en est revenu avec honneur, avant de quitter l'armée et de reprendre sa course aux jupons, pendant que sa femme papillonne et ne sait toujours pas se tenir. Par contre, les personnages secondaires originaux sont bien utilisés par l'auteur, et ceux qu'elle ajoute sont parfaitement intégrés.
Quant à l'intrigue policière, elle est assez facile. Avec la réputation de l'auteur, on pourrait s'attendre à une tornade dans le monde si calme de Pemberley. Eh bien non, tout sera au final assez convenu. On se doute tout de suite que le comportement du colonel Fitzwilliam n'est pas normal et qu'il va jouer un rôle dans le drame qui se déroule sous nos yeux. de même, l'ambiance du bois de Pemberley et cette famille qui y vit quasiment isolée donnent au lecteur beaucoup d'indices. Enfin, en prenant pour cible Wickham, P.D. James ne se met pas en danger : ce personnage est le moins aimé de toute la littérature austenienne. Il aurait été plus courageux de choisir une autre cible. L'intrigue est lente et répétitive : on assiste d'abord à l'audience préliminaire, puis au procès, qui reprend exactement les mêmes témoignages. Alors, certes, on sent un vrai travail sur l'exercice de la justice à cette époque, mais j'ai un peu eu l'impression par moment de me retrouver devant le cercle de la croix de Iain Pears.
Je suis, vous l'aurez compris, assez déçue : j'aime Orgueil et Préjugés, j'aime les polars, et je n'ai pas trouvé ici chaussure à mon pied. L'auteur n'a pas osé, ni exploité jusqu'au bout la matière qu'elle s'est créé. Dommage. J'en resterai là en littérature para-austenienne, de peur d'aller de Charybde en Scylla. Et lorsque j'aurai une envie de Darcy, soit je relirai le roman, soit je me tournerai vers les adaptations télé/ciné.
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Publié en anglais en 2011 et traduit en français l'an passé, "La mort s'invite à Pemberley" est la suite criminelle, imaginée par la romancière anglaise P.D James, au célèbre classique "Orgueil et préjugés" de Jane Austen.

Bien des années après que Lydia Bennett se soit enfuie avec George Wickham et que Jane et Lizzie aient trouvé en Bingley et Darcy deux maris aimants, voilà que, la veille du bal d'automne de Lady Anne, un terrible accident vient troubler le calme de Pemberley.
Durant le dîner réunissant les Darcy, les Bingley, Giorgiana Darcy, le colonel Fitzwilliam et le jeune avocat Henry Alveston, l'attention des convives se porte tout à coup sur la route du bois qu'emprunte un cabriolet malmené par la tempête faisant rage.
Du véhicule émerge une Lydia plus hystérique que jamais, clamant haut et fort qu'à la suite d'une série de coups de feu, Wickham est mort de la main de son ami le capitaine Denny.
Wickham est-il vraiment mort ? Pemberley et ses habitants se relèveront-ils de l'enquête et du procès à venir ?

Lorsque j'ai eu vent de la sortie de ce roman en mars dernier, j'ai beaucoup hésité à me le procurer, craignant surtout que P.D James (que je ne connaissais pas alors) dénature l'univers austenien au profit d'une enquête policière tirée par les cheveux.
Je remercie Audiolib de m'avoir donné l'occasion de constater que j'avais doublement tort, tout d'abord parce que P.D James a vraiment su selon moi se réapproprier la langue et l'esprit de Jane Austen, mais également en raison de l'aspect policier du roman qui s'est avéré beaucoup moins complexe que prévu.

Le roman s'ouvre sur un rappel des faits et des personnages d'Orgueil et Préjugés à qui P.D James offre une "seconde vie" en imaginant ce que chacun est advenu. Ces supposés chemins de vie prêtent parfois à sourire mais concordent toutefois avec les traits de caractère de chaque protagoniste.
En Jane résident encore la même douceur et la même bienveillance qu'autrefois. Bingley se distingue toujours par sa jovialité. Si Darcy se montre moins secret qu'auparavant, il n'en reste pas moins cet homme taciturne soucieux de préserver sa famille.
Bien que mariée, Lydia n'a toutefois rien gagné en sagesse ni en retenue. de même, Lady Catherine est restée fidèle à elle-même.

" Je n'ai jamais approuvé les agonies qui n'en finissent pas. Dans l'aristocratie, c'est de l'affectation. Dans les classes inférieures, ce n'est que prétexte pour se dérober au travail (...) Les gens devraient prendre la décision de vivre ou de mourir et faire l'un ou l'autre avec le moins de désagrément possible pour autrui."


Le seul personnage qui semble avoir changé est Lizzie, toujours curieuse, intègre et perspicace mais très embourgeoisée (le couple ne voit les enfants que lors des visites à la nursery), constamment exténuée et effacée tout au long d'une histoire qui semble avant tout une affaire d'hommes !
J'ajouterais que le couple qu'elle forme avec Darcy m'a déçue dans le sens où je me disais qu'une fois le mariage consommé, ils se tutoieraient et adopteraient un comportement moins guindé. Or il n'en est rien ici.
La première partie est donc principalement consacrée aux personnages et aux retentissements que provoque l'accident en chacun d'eux. Emergent de douloureux souvenirs et de vieilles rancunes que même le bonheur conjugal n'a pas réussi à effacer.
Comment Darcy aurait-il pu oublier la trahison de Wickham qui fut autrefois un frère pour lui ? Il découvre qu'il ne suffit pas d'éloigner un homme pour le rayer de son existence. Ainsi, certaines responsabilités se rappellent-elles à lui.

A l'accident succède une enquête judiciaire malheureusement bâclée faute de preuves ou d'indices probants. Seuls quelques témoignages éclairent quelque peu les circonstances de l'accident mais sans pour autant en faire toute la lumière.
Le lecteur assiste rapidement au procès lors duquel, à part une audition inattendue, les témoignages sonnent comme de faibles redites.
Beaucoup d'espace est consacré aux rumeurs de la foule avant que n'arrive un premier coup de théâtre.
Trop d'éléments sont restés inexpliqués et ce n'est que dans les dernières pages du roman que les langues se délient, donnant lieu à une série de révélations coup sur coup expliquant le rôle de chacun dans l'affaire.

Voici une lecture qui avait très bien commencé mais qui malheureusement s'est avérée décevante pour moi à partir de l'ouverture de l'enquête. Une enquête qui n'a cessé de piétiner jusqu'à un dénouement crédible mais décidément trop maladroitement précipité.
J'ai regretté ce manque de possibilité laissé au lecteur de pouvoir deviner la suite de l'histoire.
Comme je l'ai dit plus haut, P.D James maîtrise selon moi les différentes composantes de l'univers austenien. Stylistiquement ce roman est irréprochable et l'on peut d'ailleurs compter sur la voix de Guila Clara Kessous (plus d'une vingtaine de personnages à elle seule, il fallait le faire !) pour reléguer cette espièglerie d'entre les lignes et favoriser une écoute très agréable.
Mais là où le bât blesse, c'est lorsque l'auteure glisse de cet univers vers son univers propre qui est celui des romans policiers.
Une transition malheureusement bancale, comme si "la reine du crime" s'était tellement laissée posséder par l'univers d'Austen qu'elle en avait tout simplement oublié son intrigue.
Je ne saurais dire si les amateurs d'Austen y trouveront leur compte. En revanche, je pense que les lecteurs du genre policier risquent de sortir déçus de cette lecture.
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Roman agréable a lire, mais je reste déçue de l'histoire même si ça m'a fait plaisir de retrouver Darcy et Elizabeth (bien que j'ai trouvé que leur caractère soit un peu différent du livre de Jane Austen).
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L'idée de mêler une intrigue policière et l'univers de Jane Austen m'a semblée originale et audacieuse, cela m'a plu. Concernant l'utilisation de l'univers austenien, l'exercice m'a semblé plutôt réussi : les caractères des personnages ont été globalement respectés et leurs réactions sont crédibles. J'ai beaucoup apprécié certaines interprétations de « Orgueil et préjugés » faites par l'auteure, notamment lorsqu'elle imagine ce que Mr Darcy a pu ressentir.

En revanche, l'intrigue policière m'a semblé très (trop) légère. Elle me semble être davantage un arrière-plan, un prétexte pour utiliser l'univers de Jane Austen qu'une fin en soi. Ainsi, l'identité du coupable nous est révélée quelques dizaines de pages avant la fin du roman. de plus, il y a des répétitions, nous assistons à une audience préliminaire puis au procès, et beaucoup de choses se répètent. de même, nous adoptons le point de vue de différents personnages, qui reviennent chacun sur les mêmes évènements, ce qui est un peu lassant. Néanmoins, l'auteure semble avoir bien étudié la justice de l'époque (nous sommes au tout début du XIXe siècle), ce qui est plutôt intéressant. Mais il me semble tout de même que ce roman est davantage destiné à plaire aux lecteurs qui ont aimé « Orgueil et préjugés » qu'aux amateurs de policier.

Concernant les personnages, ils sont fidèles à ce qu'en avait fait Austen, dans l'ensemble. Ainsi, Mr Darcy est tel que je me l'imagine, un homme droit, conscient de ses responsabilités et de la réputation de sa famille. Wickham est également fidèle à lui-même, un coureur de jupons satisfait de lui-même. Lydia est toujours aussi expansive, et Jane entièrement dévouée à ceux qu'elle aime. C'est également un plaisir de voir évoluer Georgiana, jeune fille autrefois très renfermée. En revanche, le colonel Fitzwilliam est rendu moins sympathique, et le personnage d'Elizabeth manque de relief. Elle est davantage une bonne épouse inquiète pour sa famille que la jeune fille un brin intrépide d'autrefois. En ce qui concerne les nouveaux personnages, ils s'insèrent bien dans cet univers.

Pour ce qui est de l'écriture, nous ne sommes pas dans le style habituel du policier. L'écriture se rapproche davantage de celle d'un classique, essayant non pas d'imiter exactement celle de Jane Austen mais de coller à son univers. C'est plutôt bien fait, et il y a notamment de très belles descriptions. Quant aux dialogues, ils respectent bien les manières de parler de l'époque. Au final, il ne manque que l'humour de Jane Austen pour que la réussite soit complète.

J'ai donc passé un agréable moment de lecture en compagnie de ce roman au concept original. Il est dommage que l'intrigue policière soit si effacée, mais j'ai aimé retrouver ces personnages chers à mon coeur et imaginer leur futur. Quoi qu'il en soit, je le conseillerais aux fans de Jane Austen (mais pas non plus aux « puristes »), mais beaucoup moins aux amateurs de roman policier. Il me semble que PD James, grande dame du policier âgée de 92 ans à ce jour, a voulu avant tout se faire plaisir avec ce titre, et elle a eu bien raison !
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Quel plaisir de retrouver tous les personnages du fameux "orgueil et préjugés" de Jane Austen. Les années ont passé, les couples ont vieilli, sont aussi heureux que la fin de Jane Austen l'annonçait. Des enfants sont nés, la vie a suivi son cours. Les Wickham n'ont, eux non plus, pas changé. Et si il y a un drame à Pemberley, ce ne peut qu'être à cause d'eux!
Pemberley est la demeure des Darcy, de Fitzwilliam et Elisabeth, qui s'apprêtent à donner un bal. les Wickham arrivent par surprise, n'ayant pas été invités. Et la mort avec eux!

Roman très plaisant à lire par le plaisir qu'on a à retrouver les Darcy. Seulement voilà, le scénario est un peu tiré par les cheveux, et on aurait aimé un peu plus d'imagination dans le devenir des héros.

Bref, livre dévoré, mais décevant quand même.
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Quand deux grandes dames de la littérature britannique se rencontrent...
P.D. James fait de Pemberley le théâtre d'un mystérieux événement qui fait se retrouver Darcy et son meilleur ennemi Wickham. Ici peu de traces d'Elisabeth, les hommes reprennent le devant de la scène mais il est vrai que le système judiciaire au XIXe est une affaire exclusivement masculine. On retrouve avec plaisir le style de Jane Austen ainsi que ses personnages, mais se livre ravira aussi les fans des enquêtes de P.D. James, qui, ici, fait un exposé de la machine juridique anglaise. Quelques réserves cependant : l'intrigue n'est pas haletante, le dénouement semble alors un peu rapide, et le changement de caractère de Fitzwilliam, même s'il est expliqué, reste un peu surprenant.
Malgré tout, c'est une lecture vraiment plaisante, très respectueuse de l'univers de Jane Austen, qui m'a permis de relire Orgueil et Préjugés pour la énième fois, et de retrouver ses personnages qui sont au centre de mon panthéon littéraire.
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j'ai pris ce livre car je ne connaissais pas P.D. James, et beaucoup plus car on me promettait une suite aux histoire de Jane Austen.
Mais là grande déception je n'ai retrouvé ni les personnages ni l'ambiance....en ce qui me concerne je l'avoue j'ai lâché mon livre a la page 198....trop lent, trop long, une intrigue que l'on attend toujours....
bref très déçue ! (ça faisait longtemps que je n'avais pas fini un livre par ennui...).
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Je n'avais jamis lu un roman de PD James. Peut-être n'est-ce pas celui-ci que j'aurais dû lire en premier. Peut-être est-ce un roman de trop. Toujours est-il que je n'ai pas été emballée par ce roman.
Prolonger un roman à succès est toujours une gageure. Des décennies plus tard, cela l'est encore plus. Mais ici, PD James a aussi changé de genre littéraire puisqu'il en fait un policier.
George Wickham est le coupable idéal. Personnage ambigu, menteur, il a le profil type du coupable. N'était-ce pas un choix facile d'en faire le principal suspect ?
PD James s'est plongée avec plus ou moins de bonheur dans une époque qui n'est pas la sienne et elle n'y est pas à l'aise. Cela se sent, cela se lit.
Quant à l'intrigue, elle m'a laissée sur ma faim.
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Et si "Orgueil et préjugés" avait une suite, façon polar ? L'une des "Reines" du policier britannique a relevé le défi. On retrouve dans la suite qu'elle a imaginée la famille Bennet, Darcy et les autres personnages familiers du roman de Jane Austen. Nous sommes en 1803. Napoléon a déclaré la guerre à l'Angleterre. Elizabeth et Darcy vivent heureux en leur domaine de Pemberley, entouré de charmants bambins. On s'apprête à donner le "bal de Lady Anne". Oui… mais. Juste avant ce moment festif, qui doit réunir la haute société des environs, se produit un terrible événement… J'ai pris beaucoup de plaisir à lire la première partie de ce roman, dans laquelle l'auteure déploie un incontestable brio littéraire pour nous replonger à travers l'écriture et l'univers de Jane Austen. Sans oublier cet humour caustique, qui est la marque de P.D. James. le portrait cruel de Mary Bennet (à la fin du prologue) et celui sarcastique de Sir Selwyn Hardcastle (et de sa famille), dans le chapitre « Un corps dans le bois », sont des moments savoureux. Pour autant, en même temps que les qualités de ce roman sont évidentes (style, sens de la narration, humour), la sauce n'a pas réellement pris. Sans doute à cause d'un certain désintérêt qui m'a gagné à la lecture de la seconde partie. Dont la cause est peut-être à chercher du côté de personnages secondaires, juste esquissés, mais qui s'avéreront déterminants ; d'un manque de suspense ; d'un manque de mystère et d'atmosphère (sans doute le point faible de l'auteure, très à l'aise dans les réflexions, les dialogues et les descriptions factuelles, mais peu dans ce que j'appellerais les "descriptions atmosphériques" des personnages ou des lieux, propres à créer une ambiance de mystère, de pesanteur), élément indispensable pour moi du policier réussi. Quant à la fin du roman, les introspections ou projections dans l'avenir des principaux personnages, sorte de récapitulatif, allongent de manière ennuyeuse et artificielle l'histoire. En l'état, il s'agit d'une suite tout à fait honorable au roman de Jane Austen. Mais j'ai de loin préféré "La malédiction de Manderley", de Susan Hill, suite au "Rebecca" de Daphné du Maurier, nappé, lui, de mystère et envoûtant. Plutôt que Pemberley, optez pour Manderley !

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