AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Les duchesses tome 9 sur 9
EAN : 9782290141311
J'ai lu (26/04/2017)
3.77/5   11 notes
Résumé :
Le duc de Trent a trouvé la femme idéale : Merry Pelford, une héritière de Boston. Avec sa beauté exotique et sa franchise, elle est l’opposée de ces fades et fragiles Anglaises prisonnières du carcan de l’étiquette britannique. Merry est drôle, spontanée, sensuelle. Oui, parfaite, décidément. Sauf qu’elle vient de se fiancer à Cedric, le jumeau de Trent.
Depuis l’enfance, les deux frères sont à couteaux tirés. Furieux, Trent jure que cette fois il ne se lais... >Voir plus
Que lire après Les duchesses, tome 9 : Ma duchesse américaineVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Si l'histoire de Jack et Merry est réellement intéressante dans la première moitié du roman (héroïne impertinente dans une impasse sentimentale qui s'interroge sur sa constance en amour). Encore une fois, c'est dans les dialogues des premières rencontres que l'autrice excelle. Ses personnages ont toujours une répartie qui fait sourire. L'idée de personnages jumeaux très différents de caractère était également intéressante. Ce qui l'est moins, c'est tout le reste... qui tombe dans la banalité et le déjà-vu.
Commenter  J’apprécie          30
encore un super roman.
une auteur avec une plume exptionnelle , je n'avais jamais vu une auteur qui arrive a faire une saga qui ne deviens pas répétitif ou cucu la praline , et franchement je suis bien etonné , je recommande encore et toujours cet auteur et je suis dans l'hate de decouvrir d'autre roman de cet auteur
Commenter  J’apprécie          00
Première remarque: contrairement à ce qui est noté sur la couverture, ce roman ne fait pas partie de la série Les duchesses. C'est un stand-alone, même si on a une courte allusion au duc De Villiers.

Notre héros fait la rencontre de Merry, une jeune américaine. Tout de suite, le courant passe entre eux et Trent aimerait bien en faire sa duchesse. Seul problème: la jeune femme vient de se fiancer avec le frère jumeau du jeune homme. La rivalité entre les deux frères s'installe…

Romance sympathique comme Eloisa James sait le faire. On est pris par l'histoire entre Trent et Merry. La première partie raconte la rencontre entre les deux héros et la deuxième se situe après le mariage.

Ce roman se lit rapidement. Et on passe un bon moment. le fait que Merry soit américaine apporte de la fraicheur à l'histoire. et puis ce n'est pas une héroïne conventionnelle puisqu'elle en est à ses troisièmes fiançailles au début du roman. Ce n'est pas courant dans les romances.

Un roman parfait à lire cet été pour profiter du soleil!

Lien : http://lemondedemara2.canalb..
Commenter  J’apprécie          00
Ça faisait longtemps mais je suis déçue par ce tome qui sur le papier avait tout pour me plaire mais la réalisation hasardeuse ne m'a pas convaincue. Les héros sont intéressants tout comme leur histoire mais leurs choix sont souvent agaçants et frustrants. Trent ne s'ouvre pas assez. Merry se laisse trop porter par les événements et ses amours. J'ai connu mieux.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
Commenter  J’apprécie          00

Citations et extraits (1) Ajouter une citation
— Je suis à Londres depuis peu, mais je me suis tout de même aperçue que beaucoup de gentlemen en sont au contraire enchantés.

Sur quoi, elle le gratifia d’un grand sourire, avant de se rappeler qu’une femme du monde n’était pas censée montrer ses dents.

— Je présume que vous faites allusion à ceux qui cherchent à épouser une jeune fille riche. Vous n’avez donc pas de coureurs de dot en Amérique ?

Sous-entendu : il n’en était pas un. Merry en avait assez de ces hommes qui insinuaient plus ou moins subtilement que sa fortune compensait avantageusement sa nationalité.

— Bien sûr que si. Mais chez nous, ils ont au moins l’intelligence de ne pas se montrer condescendants. À Londres, ils se comportent comme s’ils vous faisaient une faveur alors que, convenez-en, c’est plutôt le contraire.

— Vous marquez un point, concéda-t-il.

— Mais je suis injuste, poursuivit-elle. Les gentlemen anglais ont des titres à vendre, tandis que mes cousins – des Cabot, qui ont donc du pouvoir – ne portent pas cette particule nobiliaire qui oblige le commun des mortels à ramper devant eux.

— J’en déduis que vous n’êtes pas du genre à faire la courbette.

— Effectivement. Je préfère juger un homme sur son caractère et ce qu’il a accompli. Navrée d’être aussi directe, monsieur, vous portez peut-être un titre de noblesse…

Il esquissa un sourire, d’où elle conclut que ce n’était pas le cas.

— Avez-vous rencontré beaucoup d’aristocrates… des ducs, par exemple ? s’enquit-il.

— J’ai fait la connaissance du duc de Villiers et, pas plus tard qu’hier soir, du prince de Galles. Pour être franche, ajouta-t-elle en baissant la voix, chacun de ces messieurs semble se prendre pour le sel de la terre. Mais je reconnais que la tenue vestimentaire du duc est digne d’un empereur et mérite à elle seule une profonde révérence.

Il éclata de rire, ce dont il parut le premier surpris.

— Maintenant, je dois vraiment retourner dans la salle de bal.

Cédric n’avait pas d’inquiétudes sur sa fidélité, elle en était certaine, mais ce n’était pas une raison pour prolonger ce tête-à-tête et provoquer un petit scandale.

Il ne bougea pas.

— Dites-moi une chose… êtes-vous représentative des femmes américaines ?

Merry hésita.

— Eh bien… oui, à certains égards.

— En quoi les Américaines diffèrent-elles de leurs congénères anglaises ?

— Nous parlons normalement, au lieu de gazouiller, répondit-elle avec malice. Nous ne nous évanouissons jamais, nous sommes de constitution robuste. Les Anglaises sont si fragiles, n’est-ce pas. Et nous buvons notre lait avec un nuage de thé.

— Vous trouvez que les dames qui se bousculent dans la salle de bal de lady Portmeadow se caractérisent par leur fragilité ?

Merry fit la moue, songeant à ces créatures aux yeux de rapace qui faisaient la pluie et le beau temps dans la bonne société londonienne.

— Il serait plus exact de dire que les Anglaises aspirent à la fragilité, ce qui n’est pas le cas des Américaines. Personnellement, j’estime qu’une femme doit rester elle-même. Je ne suis pas du genre à avoir des vapeurs, et je n’ai pas l’intention de changer.

— Pour ma part, je n’ai encore jamais vu une dame s’évanouir devant moi.
Commenter  J’apprécie          30

Video de Eloisa James (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Eloisa James
Eloisa James and Maya Rodale on American Ladies in London
autres livres classés : romance historiqueVoir plus
Les plus populaires : Roman d'amour Voir plus


Lecteurs (33) Voir plus



Quiz Voir plus

Les Amants de la Littérature

Grâce à Shakespeare, ils sont certainement les plus célèbres, les plus appréciés et les plus ancrés dans les mémoires depuis des siècles...

Hercule Poirot & Miss Marple
Pyrame & Thisbé
Roméo & Juliette
Sherlock Holmes & John Watson

10 questions
5271 lecteurs ont répondu
Thèmes : amants , amour , littératureCréer un quiz sur ce livre

{* *}