La Terre est devenue inhospitalière, la population à du fuir. La flotte groupée des français et des anglais a mis le cap stellaire vers la planète Sylaris. Mais celle-ci est déjà densément peuplée et les habitants ne sont pas ravis de voir débarquer ces réfugiés.
Une histoire assez basique de militaire se tapant dessus. Avec son lot de bagarre, d'armes à feu et de sacrifices.
Les personnages restent assez impersonnels. le scénario n'essaye pas vraiment de développer les liens entre eux.
Pour une fois ce n'est pas les terriens qui débarquent en force, ils sont dans le rôle des réfugiés dont personne ne veut. C'est un sujet d'actualité.
Le dessin est efficace et bien réalisé.
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Dans ce dixième tome de « Conquêtes », on retrouve des français et anglais alliés (et oui ! Tout est possible en science-fiction !) qui arrivent sur la planète Sylaris et sont accueillis par les Kern. Malgré des tensions logiques entre les deux peuples, les Kern acceptent de fournir un lieu de vie aux humains en échange des connaissances technologiques des terriens…
Ce qui est intéressant dans cette série, c'est la variété des histoires qui arrivent aux différentes colonies humaines. Ici, les franglais (le terme est de moi, mais pas dans la BD) rencontrent une planète et une civilisation sensiblement la même que sur Terre avec une technologie militaire plus faible que les humains atterrissant sur leur planète.
Un récit plutôt intéressant, très riche en actions - peut-être trop d'ailleurs car les scènes de combats prennent toute la place de l'histoire : on oublie les informations sur cette colonie et les détails sur leur survie. On apprends pas grand-chose non plus sur cette planète Solaris et ses habitants… Bref, ceux qui aiment les histoires ou cela pétarade de partout seront satisfait, les autres objecteront que l'histoire manque cruellement de fond, d'émotions et d'intrigues ; tout simplement d'intérêt.
Pour ma part, je me situe entre ces deux critiques.
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Dernier opus de la deuxième saison de la série "Conquêtes", "Sylaris" en est, pour moi, le meilleur.
Scénario classique mais qui fonctionne toujours aussi bien, graphisme et colorisation agréables et clairs. Comme quoi, il n'y avait pas besoin de pondre des scénarios tarabiscotés, comme dans les précédents tomes, pour obtenir de bons albums !
Les Français et les Anglais font flotte commune. C'est étrange mais c'est comme ça ! Ils sont arrivés à proximité de la planète Sylaris qui malheureusement appartient déjà à une fédération extraterrestre, légèrement moins bien développée technologiquement. En échange d'un transfert de technologies, les Sylariens ont accepté que les Terriens s'établissent sur leur planète, qui est, au passage, parfaitement adaptée à la vie humaine.
Nous allons suivre le devenir de quelques légionnaires français et pilotes anglais qui vont se trouver mêlés aux événements qui vont secouer la planète. Même si leurs deux nations sont ennemies depuis la nuit des temps et qu'ils s'échangent mandales et injures quand ils se croisent dans un bar, ces soldats sont frères d'arme et vont se battre côte à côte quand l'humanité sera en grand danger d'extinction. Car, en vérité, les Sylariens vont-ils vraiment laisser s'installer sur leur planète une race extraterrestre (les humains) ? Est-ce que nous, les humains, laisserions-nous des E.T. coloniser une partie de la Terre ?
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La flotte franco-anglaise est en orbite autour de Sylaris, une planète jumelle de la terre.
Presque tout le corps expéditionnaire et les civils ont débarqué, et se sont installés dans une ville abandonnée que les Kerns ont bien voulu mettre à leur disposition.
Les tractations durent entre les deux peuples, et en attendant, les anglais et la Légion leur donnent un coup de main pour repousser, et anéantir une attaque d'une tribu rivale.
Mais à qui peut-on se fier aussi loin dans l'espace, quand même les rivalités ancéstrales entre les deux puissance terriennes sont toujours latentes.
La science-fiction n'est pas le genre que j'affectionne particulièrement, mais cette série, ainsi que quelques autres j'avoue, a quand même trouvé grâce à mes yeux, et cet album est tout simplement parfait à tous points de vue.
J'ai adoré l'ambiance, le suspense, ainsi que le dénouement, bref, du début à la fin, je me serai bien vu dans un uniforme de légionnaire !
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Sylaris est une planète qui a été choisi pour accueillir les français et les anglais.
Mais elle est habitée par une intelligence semblable aux humains, les kerns, qui craint les nouveaux arrivants et ne souhaitent pas les laisser s'installer sans contrepartie, la technologie humaine. Mais les tractations trainent.
Un soir une bagarre éclate entre les français et les anglais, ils sont arrétés par les kerns. Ils découvrent que ceux ci ont des intentions particulières, le lendemain, l'attaque brutale est déclenchée contre les futurs colons. Les kerns ou du moins une partie d'entre eux, ont choisis de ne pas accueillir.
Louan, capitaine de la légion étrangère, sait se battre et c'est ce qu'il va faire pour sauver ce qui peut encore l'être.
Une intrigue de baston avec une réflexion sur l'accueil des réfugiés, la volonte de se preserver plutôt que de partager. Rien de neuf sous les étoiles, hélas! Un album dynamique et sombrement réaliste.
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- Salomon : Tu nous accompagnes, sergent ?
- Louan Le Tallec : Pas le choix, sinon qui veillera sur une bande de primates comme vous ? Yangtse, t’as le bonjour de ma sœur.
- Ikatza : Et nous, on sent mauvais ?
- Yangtse : C’est toi qui poses cette question, Ikatza ?
- Ikatza : Les pieds ça compte pas ! La queue ou le cul, je dis pas, mais les pieds, c’est juste Dieu qui m’a fait comme ça.
- Yangtse : Aussi con, tu veux dire ?
- Capitaine Faure : Rafistole-moi ça rapidement, que je puisse y retourner.
- Infirmier : Vous venez de perdre un œil !
- Capitaine Faure : Et alors, pourquoi tu crois qu’on en a deux ?!
Et si nous sommes un si vieil empire, c’est parce qu’à chaque épreuve, nous sommes sortis vainqueurs, et même renforcés !
Nous avons su anticiper les problèmes avant même qu’ils se présentent !
Et il en sera de demain comme d’hier !
Nous savons tous que cette main que les humains nous tendent aurait un jour brandi une arme contre laquelle nous aurions été impuissants !
Deux espèces dominantes ne peuvent cohabiter sur le même territoire !
Au nom de la survie de l’empire Kern et de Sylaris, je déclare ce jour comme celui de l’extermination de l’espèce humaine !
On pourrait croire à une vaste blague, anglais et français, ces frères ennemis de toujours, traversant ensemble l'univers.
D’expérience, je peux vous dire qu’il n’y a pas pire chieur qu’un type qui se pense compétent.
Terres d'Ogon 4 Guerres d'Arran 2