Ce livre a tout faux. On dirait une caricature.
La fille ne laisse Nicolas la regarder danser que s'il joue à la poupée toute une journée (chantage).
Mais jouer à la poupée, c'est trop la honte (sexisme, jouets genrés).
A partir de cette intrigue, on pourrait faire un revirement de situation, pour rentrer justement dans une morale saine : les garçons joueraient tous à la poupée et Marie-Edwige se retrouverait à danser toute seule, apprenant que ses camarades ne sont pas des marionnettes à ses pieds.
Spoil : il n'en est rien. Ca restera la honte de jouer à la poupée du début à la fin et c'est normal qu'un enfant oblige un autre enfant à faire ce qu'il désire (parce que c'est "une chipie").
Un livre à fuir, je n'ai même pas envie de le remettre dans une cabane à livres...
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Premier souvenir de lecture, le héros ou l'héroïne de son enfance, le livre qu'elle aurait aimé écrire, est-elle organisée ou brouillonne, plutôt ordinateur ou crayon... 4 minutes en tête à tête avec Emmanuelle Kecir-Lepetit.