On tourne en rond…
Bernie,égal à lui-même : cynique, impertinent, maniant l'humour sans considération de ses interlocuteurs, prêt à tout pour un petit moment à l'horizontal avec une femme.
L'âge aidant, se rajoute la dimension des regrets, des regrets, des compromissions pour être toujours de ce monde.
Kerr, désormais concierge dans un hôtel de luxe de la Côte d'azur. Va avoir l'occasion, grâce à un écrivain anglais de se voir confier la tâche de régler un petit problème de chantage auquel il est exposé.
De fil en aiguille, la suite s'engage sur les terrains de d'espionnage, de la guerre froide, et des espions du KGB infiltr
és au sein de l'élite britannique.
Les intervenants finassent, les doubles ou triples jeu d'espions conduisent à des imbroglios sans grand intérêt.
Les protagonistes principaux sont usés, vieux, racornis. Ils s'ennuient et nous aussi. C'est contagieux.
J'ai l'impression de découvrir DERRICK, remarquez, quand on connait la jeunesse de l'acteur, la boucle est bouclée.