Le corps

✔️Mon ressenti : Je remercie Babelio.com et Éditions Albin Michel pour l'envoi de ce roman dans le cadre de la Masse Critique Jeunesse. Ce roman est destiné aux plus de 13ans.
Alors première découverte en ouvrant le roman, cette nouvelle a déjà été publiée dans le recueil Différentes saisons, je file dans ma bibliothèque, eh oui, c'est bien ce qu'il me semblait, le livre en fait partie et le cornage de pages (oui à l'époque j'étais bête, et je faisais du mal aux livres) me prouve que je l'ai déjà lu. Aucun souvenir ne me reviendra même au cours de la lecture.
En 1962, un groupe d'adolescents suivent le chemin de fer car l'un d'eux à entendu parler d'une chose qu'ils doivent absolument voir de leurs yeux.
On retrouve le club d'adolescent cher à Stephen King dans une aventure qui alterne entre frissons et humour. Son talent de conteur fait que les images se déroulent devant nos yeux, comme si l'on était entrain de regarder un film. Les adolescents nous font évidement entrer dans une phase de nostalgie, que faisions nous à leur âge, comment aurions nous agit à leur place. L'un des personnages adore écrire et raconter des histoires et nous offre par la même occasion une pause durant l'action. Lire un Stephen King, c'est un peu les montagnes russes, il alterne les moment calmes et drôles avec les moment angoissants et stressants. Ce roman est un très bon Stephen King mais trop court 😉
🎯Mots Clefs : Adolescent / Club / Cadavre / Eté / Amis
🏆Ma note : 17/20

J'aurais beaucoup moins de choses à dire sur cette nouvelle puisque je l'ai trouvée assez peu intéressante par rapport à Brume : on est ici vraiment dans la narration et les flashbacks du début à la fin, et ça m'a un peu déçue puisqu'on ne parle du fameux corps que dans le dernier quart. Avant ça, on suit les personnages dans leurs vies, dans leurs passés, et pour le coup je n'ai pas du tout trouvé ça passionnant… L'ensemble était redondant et il n'y a pas de gros événements comme dans Brume, au contraire je me suis ennuyée une bonne partie du livre et j'avais juste envie de le terminer pour passer à autre chose. Je n'ai pas ressenti d'émotion pour les persos, l'intrigue était plate et sans grand intérêt et c'est bizarre de dire ça après avoir autant accroché avec un autre de ses ouvrages MAIS BON. ça me surprend aussi un peu vu les avis très très enthousiastes, peut-être que je suis passée complètement à côté…
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Première lecture d'un roman de Stephen King qui m'a laissé un peu sur ma faim. Roman intéressant avec une atmosphère réussie d'été caniculaire du Maine des années 60, problèmes sociaux (alcoolisme, choc post-traumatiques, violence familiale) mais pas d'ambiance vraiment effrayante. J'ai trouvé quelques disgressions de "l'auteur" inutiles. Lecture mitigée.

Castle Rock, Maine, 1960. Gordie LaChance and his three friends hang out in this hot summer, waiting for the school year to start. Not far from where they live, a boy their age, 12 years old, has disappeared. The eldest brother of one of these boys has seen this child's body, dead, near the railway tracks. The four friends decide to go on an excursion to find this body. When they finally get there, they will have to confront the older, tougher boys of their town, as suddenly, everyone wants to claim having found this dead boy. I was a little afraid of reading Stephen King because I had nightmares after reading “Shining,” but this one was not spooky. An ordinary story of ordinary boys in a little town lost in the middle of the US. A story about finding one's place in a society that condemns quickly those that don't walk straight.
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Ce livre est en fait une nouvelle de Stephen King originellement parue en 1982 dans le recueil « Différentes Saisons ». C'est une nouvelle quelque peu autobiographique puis que le personnage principal, Gordon LaChance, détient de nombreux points communs avec l'auteur. Par ailleurs, l'histoire a également été adaptée au cinéma sous le nom de « Stand by Me », un film de Rob Reiner : Vous connaissez sans doute la célèbre chanson !

J'ai adoré cette aventure, une aventure d'amitié, de secrets, de découverte. Gordon, Chris, Vern et Teddy sont quatre adolescents qui apprennent un jour qu'un de leur camarade a disparu, et que son corps se trouverai le long de la voie ferrée, à plusieurs kilomètres de la ville. Voulant se faire héros, ils décident de partir à la recherche de ce corps, à leurs risques et périls. Avant d'être un roman flippant, c'est surtout une histoire d'amitié qui m'a beaucoup rappelé le club des ratés dans Ça. En soit, le roman n'est pas du tout effrayant, l'histoire relate particulièrement le chemin parcouru par les garçons jusqu'à la découverte du corps, ainsi que les conséquences.

Petit coup de coeur pour moi, étant une fan de Ça, j'ai adoré me retrouver dans cette même ambiance. Les personnages sont intéressants, et je n'ai pas trouvé « trop de détails » dans le récit de l'auteur. J'adore la couverture, le style de l'écriture, tout. Ce livre est parfait pour faire découvrir l'oeuvre de King aux plus jeunes ! Il me tarde de découvrir la prochaine nouvelle qui rejoindra cette magnifique collection jeunesse des éditions Albin Michel ! Rendez-vous en mars…

On retrouve dans ce court roman l'univers fétiche de Stephen King : Castle Rock, un groupe d'enfants, les années 60, des adultes bourrus et une nature pleine d'aventures pour ce groupe d'amis. Il y a en plus une mise en abîme, parce que le narrateur est un écrivain de romans fantastiques à succès qui revient sur un épisode de son enfance, et on a souvent l'impression d'y voir Stephen King enfant. Ç'a donc été une lecture très agréable, même si j'ai trouvé l'ensemble un peu trop bon enfant, juste l'histoire de gamins qui partent en quête d'un corps qui a été vu à quelques dizaines de kilomètres de chez eux. Il y a tout de même quelques épisodes de forte intensité, et là quelle force contient l'écriture de Stephen King ! mais j'aurais aimé qu'il y en ait plus.

Encore un Stephen King, mais assez différent de ses romans habituels. Cette nouvelle est plus auto-biographique. En effet, Stephen King nous raconte une période de son enfance, sous les traits de Gordon Lachance. Ce qui est certain, c'est qu'il était déjà soif d'aventure et d'imagination à douze ans.
Une petite note de suspens et d'effroi légère, en plus de l'aventure que l'on découvre.

Si vous lisez "Le corps" de Stephen King en pensant vous faire de belles frayeurs, vous vous trompez de roman.

Mais, si vous recherchez un King plus intimiste, un King où l'auteur nous donne un peu de lui, de son enfance, de ses pensées, alors vous y êtes.
Si vous cherchez un King où il nous parle de ces amitiés d'enfants , de ces liens si puissants que l'on a l'impression que plus jamais on ne retrouvera ça au cours de notre vie, alors vous avez choisi le bon livre.

Pas de fantastique, pas de surnaturel, pas de tour de passe-passe. Juste la vraie vie avec ses joies, ses peines et ce qu'elle peut avoir de cruelle et que l'on découvre à l'aube de ses treize ans.

La re-lecture de cette nouvelle, issue du recueil "Différentes saisons", a eu quelque chose de magique parce que, plus on prend de la bouteille, et plus on comprend où King a voulu nous emporter. Dans ces lieux lointains mais inoubliables qui ont fait battre nos coeurs adolescents, battre de joie mais aussi consumés par la peine et la colère.
Il nous renvoie à ces moments où nous n'étions déjà plus tout à fait des enfants mais pas encore des adultes avec tout ce que cela comporte de douceur mais aussi de douleur. La fin de l'insouciance mais pas tout à fait encore...

Pour finir je citerai une des plus jolie phrases de ce récit : "Les choses les plus importantes sont les plus difficiles à dire, les mots les amoindrissent. Il est difficile de faire en sorte que des inconnus s'intéressent aux bons moments de votre vie".

Cet avis sera sûrement plus court qu'à l'accoutumé, puisque je vais parler d'une nouvelle et non d'un roman. Pourtant, il y en aurait des choses à dire sur cette histoire, mais je préfère ne pas trop le faire, histoire que vous gardiez un peu de surprise avec le Corps.
Je préfère tout de même vous mettre en garde. Cette lecture pourra vous déstabiliser, vous faire penser que celle-ci est mauvaise, inutile, lourde et j'en passe, mais il n'en est rien. le Corps est le genre d'histoire qui ne plaît pas à tout le monde et qui ne pourra parler aux amateurs de Stephen King, car il parle de lui ici, mais je reviendrai dessus dans quelques instants.
Le Corps est une histoire assez simple qui se passe dans le Maine, dans les années 60, sur seulement quelques jours. Cette histoire est racontée par Gordie LaChance, lorsque celui-ci est adulte. Il nous embarque alors dans ses souvenirs d'enfance et plus particulièrement ceux de l'été 62, lorsqu'il partit à la recherche du corps d'un enfant disparu avec trois de ses amis.

L'histoire est donc simple, en apparence, mais Stephen King nous livre ici une oeuvre quasi autobiographique sur ses souvenirs d'enfance. Il est indéniable que Gordon LaChance soit son alter-ego dans le Corps. le style qui est utilisé dans cette histoire peut ne pas vous plaire, tant elle semble simpliste, parfois lourde, voire à côté de la plaque, mais il ne faut pas oublier que le narrateur n'est autre qu'un enfant de 13 ans. Si on passe sur cet aspect, Stephen King nous propose une histoire pleine de nostalgie sur une bande d'amis devant faire face à des problèmes d'adultes. Cette quête pour retrouver le corps de cet adolescent disparu est en quelque sorte un rite initiatique permettant à chacun de devenir grandir, tout en mettant en jeu leur amitié. Comme King le dit si bien : “Plus jamais je n'ai eu d'amis comme à douze ans.” Je me suis retrouvé dans cette idée et dans cette histoire, je me suis revu au même âge parcourir mon village sur mon vélo, partant à l'aventure avec mes amis et devant esquiver les brutes. Nous étions à un stade où l'insouciance faisait face à l'expérience de la dureté de la vie. le corps, c'est exactement cela au final et c'est ce qui en fait une oeuvre importante à mes yeux.

Je ne peux vous en dire plus de cette nouvelle et je ne peux que vous conseiller de la lire, même si je prends un risque sur ce coup. Je sais qu'on ne peut pas tous être touché par ce côté nostalgique, surtout si on n'a jamais vécu de moments comme celui-ci, mais le Corps reste une nouvelle grandiose. En tout cas, cette nouvelle se trouve dans le recueil Différentes Saisons, mais n'hésitez pas à vous la procurer dans son nouveau format chez Albin Michel dans la collection jeunesse, tant la couverture est magnifique. N'hésitez pas non plus à voir ou revoir Stand By Me, la merveilleuse adaptation cinématographique signée Rob Reiner. Idéal pour le challenge Automne du King.
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Je me suis littéralement endormie en le "lisant" ! Ça ne m'arrive "jamais", quand je m'endors je le sens et je pose le roman. Ici, ma lecture m'a tellement ennuyée que je me suis endormie.

Pourtant le titre et le petit résumé donnent envie de découvrir cette histoire qui promet un peu des frissons. Spoiler il n'y a rien de tout ça.

C'est long, lent et extrêmement ennuyant. L'histoire ne donne pas envie de continuer la lecture, les personnages encore moins. Ma maman (qui aime beaucoup les écrits de SK) avait elle aussi essayé de le lire, elle avait abandonné en me disant que ça ne servait strictement à rien de le lire. Elle avait raison..

Je ne recherchais pas une histoire de vie mais plutôt une aventure / découverte frissonnante et horrifique.

J'ai passé énormément de pages on pourrait même qualifier ça d'abandon.

Le seul moment intéressant à lire c'est la fin.