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3,82

sur 1745 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
J'ai fini sac d'os hier soir et je peux dire que je me suis pris un sacré uppercut dans la mâchoire. Quelques images restent tenaces dans mon esprit. En partant au travail ce matin, j'avais comme un gout d'amertume.

On ne sort pas indemne de la lecture de sac d'os. Ca remue.
Stephen King m'a bien eue avec son bouquin que j'ai failli abandonné et pourtant passé un certain cap, la lecture devient complètement addictive.

Démarrage long même si les 50 premières pages étaient prenantes, et puis bam la sauce prend. On est happé par la lecture. le roman de Stephen King est construit comme une toile d'araignée. Tout est cohérent. Chaque fil est important et quand on est pris dans l'histoire impossible d'en sortir, le piège se referme.

La grande force de ce roman, ce sont avant tout les personnages.
Bien sûr Mike Noonan, un romancier à succès de 40 ans, est terriblement humain et attachant. Johanna sa femme décède subitement en sortant de la pharmacie où elle vient d'acheter un test de grossesse.

Stephen King aborde vraiment bien la question du deuil. J'ai souffert avec Mike. L'écrivain connaît alors la panne d'écriture. Il s'en sort avec quelques subterfuges. Pendant 4 ans pas une ligne (c'est ce passage qui a failli me faire baisser les bras).

Mike décide alors de s'installer dans sa maison de vacances et se retire à Sara Laughs, sa maison en bordure du Dark Score.
Là, il rencontre une jeune femme Mattie et son adorable bout de chou, Kira, une petite fille de 4 ans.
Mike décide de les prendre sous son aile et d'aider Mattie à se défendre de son ex et richissime beau père, Max Devory, qui veut lui retirer la garde de Kira.

Mike malgré lui met les deux pieds dans les problèmes.
Non seulement, il s'attaque à un tyran qui manipule à coups de dollars les gens du coin mais en plus il réveille de vieux secrets. La maison cache de lourds secrets tout comme il s'en rend compte, sa défunte femme Johanna.

Je n'ai vraiment pas regretté d'avoir repris ma lecture.
Tous les éléments s'emboîtent parfaitement.
Stephen King aborde le deuil, la peur de la page blanche, le racisme ... avec beaucoup de justesse. Il nous ramène des générations en arrière pour comprendre la mentalité de l'époque.

Je savais que la maison cachait quelque chose de grave mais j'ai vraiment été touchée par le dénouement.

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Ce qui est frappant avec Stephen King, c'est qu'on sait dès le début que c'est de l'horreur mais que, finalement, on entre dans ses romans en commençant par l'oublier totalement. L'histoire racontée par M. King est simplement incroyablement bien ficelée, bien racontée, mue par le bon tempo. Quelques retours en arrière mais pas trop, des allusions historiques juste à la bonne dose, des fins de chapitres qui laissent entrevoir un drame futur . . .Le ton d'une histoire qu'on se raconterait entre amis le soir au coin du feu.
Si l'on fait abstraction des revenants, des esprits frappeurs et autres spécialités du TR 90 dans le Maine, c'est simplement un drame dont les protagonistes nous paraissent proches parce que leurs ressorts sont très humains. La galerie de personnages dessine une société qui nous ressemble diablement, ou renvoie à des types de connaissances que nous avons maint fois fréquentés, en famille, en amitié, en littérature.
Mike Noonan l'écrivain personnage principal du roman, sa femme Johanna, Kyra et Mattie Devory, à des degrés divers selon le lecteur, s'adressent à une part de notre mental qui réagit tout de suite, notre cerveau primitf sans doute. Stephen King, par l'entremise de ses personnages, nous traite en vieil ami, en confident de l'âme humaine. Il semble nous dire à chaque page : « tu sais bien ce qu'on ressent lorsqu'un tel truc arrive ». Et c'est vrai qu'on le sait, qu'on le sent . . . c'est tellement évident.
On est pris dans sa narration parce que ce n'est qu'une succession d'actions de bon sens, de pragmatisme terrien ancré dans une réalité géographique solide. C'est du lourd, des instantanés de vraie vie.
Et ceci alors qu'il va nous faire sortir de son chapeau des monstruosités qu'on n'a jamais rencontré fort heureusement.
C'est du grand art.
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Vous connaissez le schéma narratif du récit fantastique ?

1 - On plante le décor... La femme de Mike Noonan, auteur de best seller, meurt d'une rupture d'anévrisme. Il apprend alors qu'elle était enceinte. Depuis ce décès, il souffre du syndrome de la page blanche et est pris de violentes crises de panique dès qu'il tente d'écrire.

2 - de nombreux avertissements, de petites touches d'irréel dans le réel, devraient mettre la puce à l'oreille du héros pour lui faire comprendre que quelque chose va se produire... le quotidien de Mike est bien morne, il ne fait plus que des mots croisés mais il se met aussi à faire d'étranges rêves récurrents qui le ramènent toujours au même endroit : Sara Laughs, leur maison de vacances au bord du lac de Dark Score.

3 - Faisant fi des avertissements, le héros se jette pourtant dans le mystère... « J'étais décidé : j'irai m'installer dans le lieu identifié par mon inconscient comme un abri contre l'obscurité grandissante, et cela, même si mon esprit m'avait aussi laissé entendre que ce séjour ne serait pas sans risques. » (p.100) Quelle magnifique transgression ! Persuadé que c'est à Sara Laughs qu'il trouvera une résolution à son problème, c'est en toute conscience que Mike s'y rend pour y passer l'été.

4 - S'ennchaînent alors les péripéties et la montée en puissance du fantastique... Mike rencontre Mattie, une jeune veuve et sa fille Kyra. Max Devory, le richissime grand-père de la petite, veut en obtenir la garde par tous les moyens. Mike sent qu'il doit les aider alors même que les manifestations étranges s'accumulent dès l'arrivée de Mike à Sara Laughs jusqu'à...

5 - La résolution... que je vais taire ici bien entendu.

De fait, comme je l'ai lu dans plusieurs critiques, un récit tel que celui-ci, construit sur le schéma tout à fait classique du récit fantastique, peut tenir dans une nouvelle de cinq, quinze, vingt pages ou dans un roman bien moins volumineux que les 725 pages qui constituent « Sac d'os ».

Oui... MAIS...

C'est l'art de Stephen King qui se manifeste encore une fois. Il accumule assez de détails pour ancrer son récit fantastique d'un cadre réaliste. Il donne l'impression de faire traîner les choses pour créer le suspense et faire croire que rien ne se passe alors que de petites touches nous mettent (ou devraient nous mettre) la puce à l'oreille pour nous prouver que ce n'est pas le cas. Il nous présente des personnages bien réels tout en sachant qu'un de ses personnages est assez angoissant pour en devenir surréaliste. Il choisit un lieu apparemment paisible mais pourtant chargé d'une histoire ancienne bien sombre qui revient hanter le présent. Il fait monter la pression jusqu'à créer l'horreur, qui ne se cache pas dans seulement dans les éléments surnaturels mais aussi en chacun d'entre nous.

Long, ce récit ? Non, non...Pas une seconde je ne me suis ennuyée. le suspens est bien là et, plusieurs fois, j'ai dû poser à regret le roman pour vaquer aux tâches obligatoires du quotidien ou pour dormir tout en lorgnant dessus avec impatience, attendant de pouvoir bien vite m'y replonger.
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Ce bouquin est encore très vivace encore en moi alors que lu il y a plus de 30 ans
Mais alors que nous raconte-t-il
Reclus à Sara Laughs, Dans le Maine Mike Noonan, romancier à succès, n'écrit plus depuis la mort de sa femme. La rencontre de la petite Kyra, puis de sa mère Mattie, amorce-t-elle pour Mike un nouveau départ ? Il le croit, mais c'est sans compter sans les ombres qui hantent Sara Laughs...
Ici Stephen King nous conte, car c'est un sacré conteur, le combat d'un écrivain à succès de 40 ans, en proie à une grave panne d'écriture à la suite de la mort soudaine de sa jeune femme.
Il nous fait vivre une fascinante histoire de deuil et d'amour perdu et ressuscité.
Les pages enfiévrées de ce roman ont été salué par la critique mondiale comme le chef-d'oeuvre de Stephen King et bien pour une fois je suis d'accord avec la critique.
Si il ne faut lire qu'un luvre du maître c'est celui-ci !
Lien : https://collectifpolar.blog/..
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« J'ai perdu mon goût pour les Hou, fais-moi peur » p. 726

Je viens de terminer Sac d'Os. C'est ma première lecture du challenge l'Automne avec Stephen King.

Dans ma bibliothèque depuis des années, il était tombé aux oubliettes, je ne me souviens même pas du moment où je l'ai acheté. Me voici donc depuis une semaine en compagnie du King qui met encore une fois en scène un romancier...


Mike Noonan habite à Derry, dans le Maine, c'est un auteur à succès à qui tout réussit, une carrière prospère et un mariage heureux jusqu'à ce que Johanna, sa femme, décède brutalement. À partir de ce moment c'est le chaos, non seulement Mike n'arrive plus à écrire, mais il découvre que Jo est partie en emportant des secrets. le temps passe et la situation reste la même, il prend l'habitude du chagrin. C'est sans compter sur l'appel d'un lieu qu'il chérissait du temps du bonheur, « Sara Laughs » leur maison en rondin du bord d'un lac en forêt. Résigné à prendre sa retraite littéraire, il se décide toutefois à passer quelques temps dans le chalet au cas où l'inspiration reviendrait…

Sac d'Os est un roman extraordinaire. Encore une fois Stephen King prend le temps de développer une histoire très riche, jonchée de personnages complexes et attachants. L'imaginaire du lecteur est sollicité non stop à travers ce récit qui évoque des lieux « habités », des deuils impossibles, la dynamique familiale mais aussi et surtout l'Amour.


C'est un livre assez long, 726 pages dans mon édition, bourré de références de littérature américaine mêlée à l'univers propre à l'auteur. J'ai pris le temps d'en savourer chaque passage. J'ai adoré retourner encore une fois dans le Maine pour y vivre cette aventure au coeur d'un été étouffant. Mais qu'est-ce qui a été le plus oppressant, la moiteur des lieux? Leur histoire? Ou encore la drôle d'impression que laisse la petite communauté locale et ses leaders? Je vous invite à le découvrir par vous même. Je range immédiatement Sac d'Os dans la catégorie des chef d'oeuvre du King. Un excellent voyage.
Lien : https://leschroniquesdeminui..
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"Sac d'Os" est absolument un fabuleux roman que j'admire toujours autant après une énième relecture.
Une trame très riche avec du suspens et notamment deux types de peurs mélangés : la peur d'événements réels et la peur d'événements
fantastique.
Savez-vous comment écrivait jadis Edgar Allan Poe ? Et bien, en décrivant de façon inquiétante les évènements qui n'était pas si inquiétants que cela.
Ainsi par exemple dans sa nouvelle "Le Scarabée d'or", le comportement du héros inquiétait ses amis, car ils le croyaient fous alors que ce n'est pas du tout le cas. Poe décrivait le décor d'une petite île où se déroulait l'action (je précise que tout se passait en pleine nuit) tout en insistant sur les formes sinistres des arbres. Autre exemple : dans "Le Chat noir", il décrivait un miaulement inquiétant qui était un phénomène impressionnant mais "banal". Un miaulement inquiétant, du genre comme l'appel d'une chatte en chaleur ou aussi bien une bagarre de chats. Sous la plume d'Edgar Allan Poe, ce ledit phénomène "banal", prenait une ampleur effrayante !
En gros, il existait dans les descriptions, une tension qui donnait toute son horreur à la normalité. Eh bien, dans "Sac d'Os", cette tension dans les descriptions est très omniprésente, sauf que là bien sûr, il s'agit d'un phénomène purement et 100% Kingien.
L'aspect fantastique se distille subtilement comme il se doit dans cette bonne "Ghost Story".
Un succulent bouquin que l'on avale toujours avec grand plaisir, d'autant que le style Stephen King / Mike Noonan est extrêmement bien fouillé et bien recherché. Les personnages ont tous une vraie profondeur psychologique, sont attachants et bien campés avec en guise, une intrigue qui ne manque pas de rythme. Il y en a qui ont tendance a toujours objecter que le Maître rabat un peu trop sur les mêmes thèmes typiquement américains dans ce superbe roman : la culpabilité, la
rédemption, le sexe considéré comme un péché, l'athéisme considéré pratiquement comme une folie ou mieux, comme de l'inconscience suicidaire, la fidélité comme seule capable de maintenir les liens dans un couple et... bref, j'en passe, la liste est trop longue pour tous les énumérés. Mais quelle importance ? Dès lors que ces prémisses sont admis, il suffit juste de se laisser porter par l'histoire qui est tout simplement géniale.
C'est purement un agréable moment de retrouver des sujets tel que le deuil, la rage, l'amour, l'amitié et la folie qui sont menés avec brio, surtout avec cette touche de surnaturel dans la narration. Et il y a notamment des trouvailles stylistiques et des images mentales qui m'ont plus ou moins bien marqué.
En revanche, durant ma toute première lecture (qui remonte à loin déjà), j'avais eu comme l'impression que l'histoire était basculée trop brutalement dans une violence dévastatrice. Comme si tout le contenu du livre n'était qu'une espèce de concentration de la violence qui allait suivre.
Mais avec le recul, je me dis que cette partie était essentiellement indispensable et bigrement efficace pour la compréhension du récit.
Une oeuvre angoissante, époustouflante, terrifiante, impitoyable et pleine d'émotions, racontée dans un style absolument étourdissant et unique.
Bref, c'est l'excellence de la plume à l'état pure au niveau de la saveur de l'écriture. "Sac d'Os" est assurément un chef-d'oeuvre démesuré.
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Un écrivain ayant perdu sa femme quelques années plus tôt se trouve à la fois confronté à des fantômes hantant sa résidence et à un multimillionnaire qui veut priver une mère de son enfant. le roman a remporté le prix Locus du meilleur roman d'horreur, le prix Bram Stoker et le prix British Fantasy, ce qui en fait le livre de King ayant gagné le plus de prix littéraires.
Mike souffre du mal de l'écrivain à la mort de sa femme, victime d'une rupture d'anévrisme. Suite à des cauchemars récurrents se déroulant dans sa résidence secondaire, il décide de se rendre sur place pour l'été.
L'histoire m'a fortement rappelé Rebecca de Daphné du Maurier. Un autre de mes livres cultes. Très grand moment.
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10e livre de @stephenking achevée - Mike Nooman écrivain a grand succès perds sa femme dans un accident, et depuis il arrive plus tout a écrire, avec son aimée ils avaient un petit rituel, ils buvaient une petite coupe de champagne et elle disait " une bonne chose de faite" , il s'est que maintenant, ce rituel, n'auras plus lieu, quand il essaye d'écrire, il as des nausées. il arrive a donner le change avec sa maison d"édition, puisqu'il as deux trois manuscrits d'avance, mais ça iras pas bien loin. Il fait aussi des rêves étranges ou il se trouvent dans leur résidence secondaire qu'il s'appelle SARA LAUGHS, c'est aussi le nom d'une chanteuse célèbre, c'était sa maison. Il décide d'y aller y vivre, et dés son arrivée des phénomènes paranormaux surviennent, comme des lettres qui se déplacent sur le frigo et qui forme des mots. Mais il recommence à écrire, plus de nausée. Et un jour il vois sur la rue une petite fille, il l'as prends, et discute avec elle, en attendant sa maman, qui se prénomme Mattie, cette mésaventure va changer sa vie, et va décider de prendre soin de la petite fille et de la mère.
Pavé de 700 pages, mais vraiment époustouflant, c'est la première fois que l'auteur parle vraiment d'amour, d'abord pour sa défunte épouse, le sujet du deuil est largement développer dans cet opus, et aussi connait on vraiment la personne avec qui as vécu plusieurs années ? Et puis l'amour après un deuil et comment supporter d'avoir toute une ville contre soi, j'ai beaucoup aimer le personnage de Mike, écrivain au grand coeur et la douceur et la sensibilité du personnage de Mattie. Livre a conseiller sans aucun doute
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Stephen King, nous emmène dans ce livre, dans un combat pour une garde d'enfant tout en y mélangeant des esprits.

Un veuf écrivant, retourne dans sa maison de campagne, pour faire le point sur sa vie. Quand il tombe sur une jeune mère et sa petite, qui se bat pour garder son enfant. En même temps il se rend compte qu'il y a des esprits qui le hante ainsi que la petite.

Alors débute, un combat entre le bien et le mal. Avec les esprits et les vivants.

Et avec comme questions :

- Que savais sa femme ?
- Que s'est-il déroulé dans le passé, pour que les spectres hantent ainsi la zone ?

Un superbe livre, comme aime nous écrire le maître de l'horreur.
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Alors que sa femme décède subitement sur le parking de la pharmacie, Mike Noonan peine à se remettre de ce drame. Sa carrière d'écrivain, qui jusque là lui permettait de vivre à l'abri du besoin, lui file entre les doigts. le syndrome de la feuille blanche est arrivé sans prévenir, en même temps que d'étranges cauchemars, qui paraissent plus vrai que sa morne existence. le décor principal de ses terreurs nocturne est Sarah Laugh, leur résidence secondaire situé sur le TR90 dans le Maine.
Comme si ce lieu l'appelait, il décide de s'y rendre afin d'éclaircir ces mystères et il ne sera pas déçu du voyage.

Le personnage principal fait l'objet de toute l'attention de l'auteur sur les 200 premières pages pour bien camper sa personnalité, son âme d'écrivain et l'amour qu'il porte à Johanna, sa femme.
Ensuite, le roman déroule et prend vite la direction du fantastique, et comme toujours avec Stephen King, c'est intégré avec brio dans cette quête de la vérité. Celle que Mike tente de découvrir : pourquoi sa femme faisait des recherches sur sa famille? Et sur le passé de Sarah Laugh et des habitants du TR90? Et surtout, quelle raison l'a poussé à lui cacher son début de grossesse?

Notre héros, après avoir sauvé une petite fille sur le bord de la route qui avait échappé à la surveillance de sa mère, va aider celle ci. Son beau père, vieil homme immensément riche, veut récupérer la garde de la petite et il s'en donnera les moyens. Malheureusement pour lui, le grain de sable Mike Noonan grippe ses projets.

Au milieu des entités de Sarah Laugh, Mike se rend compte qu'il a un lien particulier avec la petite fille, lien qui va littéralement le pousser dans le sombre passé du TR90.

Certaines scènes resteront gravées dans vos mémoires, par leurs violentes réalités venues tout droit des heures sombres de l'Amérique, du temps de la ségrégation. Je prête désormais une attention toute particulière aux femmes seules à proximité de bosquet, si un homme se trouve dans les parages.

Ce livre gardera une place particulière dans mon imaginaire et je ne doute pas un seul instant qu'il ne laissera pas insensible les nouveaux lecteurs.
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