Journal d'un (dé)gonflé, tome 16 : Un coup de génie

Ce nouveau tome du Journal d'un dégonflé fut une bonne surprise, malgré les nombreux tomes qui sont sortis, peu sont mauvais. Après oui l'auteur à pu manqué d'idées et certains sont moins bons que d'autres, mais globalement ça passe.

Ce tome est assez particulier, car Greg parle moins de son quotidien, tel que sa famille etc. Robert est d'ailleurs quasiment inexistant, certains vont trouver cela dérangeant, mais personnellement moi je trouve cela bien, cela fait du changement. Sa famille est aussi peu présente, à part sa mère qui est elle assez importante dans ce tome.

Dans ce tome Greg, rate des olympiades au collège car ce fut une catastrophe, entre lui qui faisait n'importe quoi et les mauvais coéquipiers. Il se retrouve donc à s'inscrire dans une équipe de Basketball, qui est très mauvaise, à part un joueur qui est le fils de l'entraineur. Malheureusement lors du premier match ce dernier se blesse et ils vont devoir faire de leur mieux pour réussir la saison.

Tout le tome est basé sur le sport, et sur le basket, peu d'anecdotes sur son passé ou sur ses proches comme les tomes précédents, j'avoue que cela est assez dommage, car parler QUE de sport, peu être lassant. Après ceci donne un nouveau "format" et cela fait du changement dans la série, après il faut savoir bien le maitriser, Jeff Kinney à déjà fait des tomes sur un thème en y insérant des anecdotes ou des moments d'actions qui ont un lien avec le thème, ou non. Comme l'excellent tome 9, que j'adore! Il se base sur un voyage en voiture mais pourtant il se passe pleins de choses qui n'ont pas vraiment de rapport avec le fait de s'ennuyer en voiture. Là les péripéties sont quasiment QUE sur le basket et son équipe, les péripéties restent intéressantes mais cela peut être redondants, mais n'empêche que, on s'ennui pas en lisant ce qui se passe et les membres de l'équipe sont assez attachants au final. On prend plaisir à les connaitre.

L'entraineur est aussi un personnage sympathique mais pas inoubliable, il reste assez exaspéré de son équipe mais il y est attaché quand-même et fait tout pour les motiver.

Bon livre, mais la fin est assez bof par contre et m'a assez laissé sur ma faim Greg participe avec son équipe à un tournoi pour "perdants" mais en faite il trahit son équipe et rejoint l'autre et le livre se finit avec Greg qui mange une glace avec "sa nouvelle équipe", c'est tout. C'est comme cela que ca se finit et j'avoue c'est décevant, gros point noir du tome.

Pour conclure, il s'agit d'un bon tome ! Mais avec quelques mauvais point.

Heureux de retrouver Greg Heffley avec cette nouvelle illustrée de Jeff Kinney. Une histoire basée uniquement sur le basket, en délaissant la famille avec ses deux frères absents. L'écrivain américain nous conte une aventure avec quelques bons gags, certaines situations confuses, une morale hypothétique mais des illustrations amusantes.
Dans cette histoire on apprend que Greg n'aime pas du tout le sport. Après de multiples tentatives dans différentes disciplines, il a opté pour le sport d'équipe qui lui permettra de passer plus inaperçu. Poussé par sa mère qui en a fait au collège, il a opté pour le Basket-ball. Toujours aussi mauvais, elle lui apprendra que l'échec fait de vous quelqu'un de meilleur. Si Greg rêve de devenir un héros adulé il va souffrir et transpirer pour y arriver, et en plus il faut courir. Après maintes défaites, tout semble perdu ; jusqu'a ce qu'arrive le coup de génie.

Plutôt adepte des jeux vidéo que des jeux en extérieur, Greg a décidé de prendre sa retraite d'athlète. Mais c'est mal connaître sa mère qui lui propose un challenge : il choisit un sport et si vraiment, il est nul, elle ne l'embêtera plus. Comme Greg a réussi un jour à lancer une serviette mouillée dans le verre d'un camarade, il choisit le basket. Mais l'équipe qu'il intègre ne comporte que des bras cassés.
Impossible de ne pas se régaler aux (més)aventures de Greg. Son équipe de basket est juste tordante, les Harlem Globetrotters à l'envers. Et se pose aussi la problématique des parents qui transfèrent sur leurs enfants ce qu'ils n'ont pas pu accomplir eux-mêmes. Les ados devraient apprécier.