La principale protagoniste a tout quitté et tout laissé derrière elle, sans trop se retourner ni s'appitoyer sur son sort, elle se bat pour se reconstruire. Deux proches semblent importants pour elle.
Ce livre dénonce les blessures de l'affect, et soulève la question d'une résilience pas toujours possible même avec beaucoup de volonté, en fonction des évènements et des actes des autres.
Si l'enfer c'est les autres, j'aurais répondu à
Jean-Paul Sartre de lire
Milan Kundera afin d'analyser les failles de l'inconscient et la tentation de perversité instinctive chez beaucoup d'individus ,lorsque leur potentielle cible souffre déjà en silence, et semble proche de l'implosion.