Milo, armé de son carnet et de son crayon, embarque fébrilement, comme chaque dimanche du mois, dans le métro. Pour passer le temps de ce long trajet, il imagine des vies aux personnes qu'il croise : des vies parfois tristes, parfois banales, parfois merveilleuses, dessinées dans son carnet avec son imaginaire d'enfant. Et pourtant…
Pourtant, Milo, à la fin, prendra conscience qu'on ne peut peut-être « pas connaitre vraiment quelqu'un juste à regarder son visage ». C'est exactement ce que ressentira le lecteur s'il se laisse surprendre par cette histoire très touchante, sans lire le résumé sur la quatrième de couverture…
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Interview de Matt de la Pena (en anglais)