Tunis, janvier 2011. Pour la première fois dans le monde arabe, des soulèvements populaires chassent un dictateur. On parle alors du « printemps arabe », et même parfois de « révolution arabe ». Sans connaissance des situations et de leurs enjeux, on propose, de loin et de haut, quelques prédictions, alors que les principaux intéressés peinent à comprendre ce qui se passe et ce qui leur arrive. De quoi et de qui parle-t-on ? Du monde arabe ? Cette expression est la ... >Voir plus