Faut pas croire qu’on passe sa vie à pleurer chez les Saulnier avec le grand « Colère », les Bensedrine ou les Tomassi.
Copains de chantier, patrons, chiens, soif… Tant pis si le pain est dur, les factures impayées et les rêves oubliés.
Seul importe de se tenir à hauteur d’homme même et surtout quand nécessité fait loi. Colère et tous les autres vont posséder une richesse dont ils n’avaient pas idée, la solidarité. Cette histoire commence dans la rum...
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