C'est une situation inédite en France ! Et elle excite autant qu'elle inquiète l'opinion publique et les professionnel.les de tous les secteurs, y compris dans le milieu de l'édition ! Comment les Jeux Olympiques vont-ils impacter la rentrée littéraire qui se prépare à cette même période ? Comment les livres seront-ils imprimés, puis acheminés jusqu'à leurs point de vente ? Et avant cela, comment les maisons d'édition pourront-elles communiquer sur leur parution alors que les médias risquent de tourner en boucle sur le sport ?Eric Dupuy, journaliste à Livres Hebdo, nous raconte son enquête dans les coulisses du stade de la rentrée littéraire avant les épreuves des JO. Dans la deuxième partie de l'épisode, Lauren Malka nous emmène à Arles, qui se révèle par surprise la capitale du son (et pas seulement de l'image), mais aussi la ville où Emilie a décidé d'installer une librairie à l'histoire très atypique : Les grandes largeurs. Enfin, place aux critiques de Livres Hebdo qui se réunissent autour de la table pour dévoiler non seulement leurs coups de coeur mais aussi les livres qui, à leur avis, reflètent comme des miroirs l'horizon littéraire du printemps 2024 : Les Olympes, publié aux éditions Albin Michel Jeunesse, sous la direction de Carole Trébor ; Un choix d'amour, de Valérie Forgues, publié aux éditions Triptyque ; Julia, de Sandra Newman, publié chez Robert Laffont et Les suffragettes de l'art, d'Anaïd Demir publié chez Beaux-Arts éditions.Un podcast réalisé en partenariat avec les éditions DUNOD, l'éditeur de la transmission de tous les savoirs.Cet épisode est soutenu par les éditions Casterman, qui nous font découvrir les coulisses de la création d'une bande dessinée. Tous les mois, des auteurs et autrices nous reçoivent chez eux ou dans leur atelier, cet espace personnel et infiniment créatif, pour parler de leur dessin, vivant et contemporain, de leurs inspirations, leurs influences et leurs techniques favorites. Studio à Suivre, le podcast qui dessine à écouter tous les premiers vendredis du mois, sur votre plateforme d'écoute préférée !Dans l'introduction du podcast, on a quelques secondes de ces trois émissions : “Paris 2024, faut-il craindre le pire dans les transports en Ile de France”, épisode de l'Heure du monde de Diane Jean. Réalisation : Florentin Beaume. Habillage et musiques : Amandine Robillard et Epidemic Sound. Rédaction en chef et présentation : Margaux Lannuzel.https://open.spotify.com/episode/14ivXs1axwtZnWaCmlz9Ft (https://open.spotify.com/episode/14ivXs1axwtZnWaCmlz9Ft)Eliott SAMUEL, émission Les évènements de 2024 : les jeux olympiques et paralympiques à Paris • FRANCE 24https://www.youtube.com/watch?v=_0B9axNpvhI (https://www.youtube.com/watch?v=_0B9axNpvhI)JO Paris-2024 : la France est-elle prête ? • FRANCE 24https://www.youtube.com/watch?v=BAT3ekJYjVU (https://www.youtube.com/watch?v=BAT3ekJYjVU)Enregistrement : mars 2024 Réalisation : Lauren Malka Musique originale : Ferdinand Bayard Voix des intertitres : Antoine KerninonProduction : Livres Hebdo
0:00 Les Jeux Olympiques vont-ils retarder la rentrée littéraire ? (https://podcast.ausha.co/les-voix-du-livre/les-jeux-olympiques-vont-ils-retarder-la-rentree-litteraire)
9:41 A la rencontre de la librairie Les grandes largeurs (https://podcast.ausha.co/les-voix-du-livre/les-jeux-olympiques-vont-ils-retarder-la-rentree-litteraire)
20:40 L'équipe critiques de Livres Hebdo (https://podcast.ausha.co/les-voix-du-livre/les-jeux-olympiques-vont-ils-retarder-la-rentree-litteraire)
Margaux Lannuzel/5
6 notes
Résumé :
Braquage, meurtre, viol ou terrorisme… Derrière des dossiers criminels, dix avocats pénalistes parlent à coeur ouvert du client ou de la cliente qui les a touchés, effrayés, déçus… Celui ou celle qui, souvent, les a poussés à réfléchir au sens de leur métier.
Recueillies par Margaux Lannuzel, ces confidences rares nous plongent de manière inédite dans la relation complexe et fascinante entre un avocat et son client et soulèvent les questions que nous nous pos... >Voir plus
Recueillies par Margaux Lannuzel, ces confidences rares nous plongent de manière inédite dans la relation complexe et fascinante entre un avocat et son client et soulèvent les questions que nous nous pos... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2)
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Je suis une grande amatrice de podcast criminels (qui l'aurait cru avec tous les livres policiers que je lis ? 😉 ). Mais je ne connaissais pas celui là. Pourtant les procès, j'apprécie cela aussi. Alors je me suis laissée tenter par ce livre pour le découvrir.
Margaux Lannuzel est journaliste à Europe 1 et a en envie d'interviewer des avocats. Par pour qu'ils racontent leurs procès les plus célèbres, ça, pour les amateurs comme moi, on les connait déjà presque tous, mais pour qu'ils parlent du lien qu'ils ont avec leurs clients. Et plus particulièrement un lien qui les a marqué et qui a peut-être changé leur vie, ou du moins leur façon de voir la vie.
Je connais très peu le métier d'avocat. J'en sais ce que l'on voit des séries, en plus, je regarde surtout des séries américaines en plus. Et ce que l'on voit dans les séries est bien souvent tronqués. J'en ai appris un peu plus avec ce livre. Surtout sur cette relation particulière entre un avocat et son client. J'ai aussi découvert que ces avocats partagent bien souvent la même valeur : celle de croire que tout le monde a le droit d'être défendu quelque soit le crime pour lequel il est accusé. Je n'étais pas d'accord avec cela au début de ma lecture, et ils m'ont fait changer d'avis. À part dans les cas extrêmes, derrière chaque accusé, il y a un homme ou une femme qui bien souvent menait une vie comme vous et moi avant qu'il/elle ne commette cet acte qui l'a mener en prison.
Ces histoires sont tout en nuance et elles sont à lire par ceux qui aiment les enquêtes polici
Lien : https://mutietseslivres.com/..
Margaux Lannuzel est journaliste à Europe 1 et a en envie d'interviewer des avocats. Par pour qu'ils racontent leurs procès les plus célèbres, ça, pour les amateurs comme moi, on les connait déjà presque tous, mais pour qu'ils parlent du lien qu'ils ont avec leurs clients. Et plus particulièrement un lien qui les a marqué et qui a peut-être changé leur vie, ou du moins leur façon de voir la vie.
Je connais très peu le métier d'avocat. J'en sais ce que l'on voit des séries, en plus, je regarde surtout des séries américaines en plus. Et ce que l'on voit dans les séries est bien souvent tronqués. J'en ai appris un peu plus avec ce livre. Surtout sur cette relation particulière entre un avocat et son client. J'ai aussi découvert que ces avocats partagent bien souvent la même valeur : celle de croire que tout le monde a le droit d'être défendu quelque soit le crime pour lequel il est accusé. Je n'étais pas d'accord avec cela au début de ma lecture, et ils m'ont fait changer d'avis. À part dans les cas extrêmes, derrière chaque accusé, il y a un homme ou une femme qui bien souvent menait une vie comme vous et moi avant qu'il/elle ne commette cet acte qui l'a mener en prison.
Ces histoires sont tout en nuance et elles sont à lire par ceux qui aiment les enquêtes polici
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Un livre assez simple de prime abord : 10 histoires, 10 accusés, 10 avocats. Et pourtant, nous passons par toutes les émotions de la joie à la peine en passant par l'indignation, ces avocats tombent la robe et viennent nous cueillir d'Homme à Homme. Comment défendre une personne que la société a catégorisé comme un monstre ? Ce livre aborde de manière complexe cet équilibre, cette confiance si fragile entre un client et son avocat. On ne cherche pas à excuser les accusés, on cherche à comprendre sans jugement et c'est la raison pour laquelle je me suis laissée happer par ce livre. Une belle leçon sur la justice qui peut parfois être injuste et décevante mais qui fait de notre société ce qu'elle est.
critiques presse (1)
Dans un livre qui paraît ce mercredi, la journaliste Margaux Lannuzel décrit la complexité des relations qui se tissent entre les criminels et ceux qui les défendent.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (14)
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Comment définir, de manière générique, celui ou celle qu’ils défendent, accompagnent, sortent d’une mauvaise passe ou ont, au contraire, le douloureux sentiment de décevoir ? Après quelques secondes de réflexion, plusieurs m’ont répondu que le terme (« personne qui reçoit d’une entreprise, contre paiement, des fournitures commerciales ou des services », selon le Larousse) les gênait. Pas parce que le règlement de leurs honoraires est loin d’être une science exacte. Mais parce que cette définition ne reflète que l’aspect financier d’un échange le dépassant largement.
Pour telecharger + d'ebooks gratuitement et légalement veuillez visiter notre site : www.bookys-ebooks.com
Ce qui dépasse, c’est précisément ce qui m’intéresse. Journaliste à Europe 1, j’ai d’abord eu la chance de couvrir de « grands » procès médiatiques pour le Web. Sur Twitter et dans mes articles, j’ai raconté les dépositions, les interrogatoires et les plaidoiries, mais aussi les attitudes, les messes basses et les regards qui en disent long. Souvent, je les surprenais entre l’homme ou la femme dans le box et celui ou celle qui assurait sa défense. Dans le théâtre du tribunal ou de la cour d’assises, chacun était dans son rôle, pour quelques heures ou quelques jours.
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Ce qui dépasse, c’est précisément ce qui m’intéresse. Journaliste à Europe 1, j’ai d’abord eu la chance de couvrir de « grands » procès médiatiques pour le Web. Sur Twitter et dans mes articles, j’ai raconté les dépositions, les interrogatoires et les plaidoiries, mais aussi les attitudes, les messes basses et les regards qui en disent long. Souvent, je les surprenais entre l’homme ou la femme dans le box et celui ou celle qui assurait sa défense. Dans le théâtre du tribunal ou de la cour d’assises, chacun était dans son rôle, pour quelques heures ou quelques jours.
« Je sais que toute personne qui fait l’objet d’une grave accusation criminelle va être tentée de mentir pour se défendre. C’est vieux comme le barreau, ça n’est pas du cynisme de le dire. La question de savoir si un client bluffe se pose à chaque instant. »
Avec la même colère. Il rappelle sa maladie, les soins dont il doit bénéficier, le sort réservé aux auteurs d’agressions sexuelles en détention, en usant de mots très durs envers l’institution judiciaire. Oui, l’époux de la concierge est coupable, mais son incarcération serait injuste et menacerait sa vie. « Je plaide pour lui. Même si finalement, dans la première partie de ma plaidoirie, je le défendais aussi. Parce que la justice n’est pas qu’une confrontation artificielle : parfois, il faut que les gens puissent se rencontrer.
« Ici, on défend des coupables ou des innocents qu’on accuse, on ne fait pas beaucoup de victimes, précise d’emblée Romain Boulet. Si tu ne veux faire que ça, dis-le-moi, mais il n’y aura pas beaucoup de dossiers. » Clémence secoue la tête. « Je veux faire ce que vous faites. » Romain Boulet appelle la mère de la jeune fille, mineure, pour s’assurer que ses parents sont au courant de son initiative. « Je me souviens de notre dernier échange et ce n’est pas un coup de fil facile… »
Clémence a des envies, des projets. Elle tombe amoureuse, elle aime le cinéma. Elle ne s’est pas laissé enfermer dans ce qu’il perçoit comme un « statut » de victime. « Je ne vais pas tirer la couverture à moi en disant que j’avais raison. Mais cette petite fille avait su démontrer par des gestes géniaux qu’elle était plus forte et intelligente que son agresseur. Elle est blessée, mais elle avance. »
Videos de Margaux Lannuzel (2)
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