Dans le premier tome, Michel, “clampin moyen” était devenu irrésistible vis à vis des femmes, grâce à une hypnose. Ce bienfait était devenu bien trop lourd à porter, il est parvenu à s'en débarrasser. le voici redevenu un homme ordinaire, sauf que sa réputation reste. Un mafieux l'engage, sous la contrainte, pour séduire sa fiancée, pour la tester. C'est de la bonne comédie de boulevard, pleine de quiproquos, manigances et rebondissements... La jalousie, le machisme, la séduction en prennent pour leur grade, c'est drôle et irrésistible. Un bon moment de rigolade.
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Comme c’est souvent le cas, ce tome deux n’apporte pas grand-chose de fondamentalement nouveau ou d’indispensable à la série. Le contre-pied se révèle néanmoins intéressant en dépit d’un déroulement un peu trop attentiste et attendu.
Lire la critique sur le site : BDGest
Michel est un diptyque vraiment plaisant, drôle et subtil, car les auteurs n’oublient pas de porter en passant quelques coups de pattes à notre cher vingt-et-unième siècle. Anonymes et pauvres de tous les pays, unissez-vous ? Ah c’était pas le message ? Un peu, quand même, peut-être…
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Dans le 172e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Barcelona, âme noire, que l’on doit au scénario conjoint de Denis Lapière et Gani Jakupi ainsi qu’au dessin de Ruben Pellejero, Martín Pardo et Emmanuel Torrents et qui est édité chez Dupuis sous le label Aire libre. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie du premier tome sur deux de Sans Francisco 1906 un album baptisé Les trois Judith que l’on doit au scénario de Damien Marie, au dessin de Fabrice Meddour et c’est à retrouver aux éditions Grand angle
- La sortie de l’album Sang neuf que l’on doit à Jean-Christophe Chauzy et aux éditions Casterman
- La sortie de l’album Carcajou que l’on doit au scénario d’ElDiablo, au dessin de Djilian Deroche et c’est édité chez Sarbacane
- La sortie de l’album Vivre libre ou mourir que l’on doit au scénario d’Arnaud Le Gouëfflec, au dessin de Nicolas Moog et c’est publié chez Glénat dans la collection 1000 feuilles
- La sortie de l’album Oh, Lenny que l’on doit à Aurélien Maury et aux éditions Tanibis
- La réédition en intégrale du diptyque Le convoi que l’on doit à Denis Lapière au scénario, Emmanuel Torrents au dessin et c’est publié chez Dupuis dans la collection Aire libre.
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